LIENS & INFORMATIONS DIVERSES ET VARIÉES DU MOMENT |
Cette collection de vidéos a été mise à jour le Jeudi 12 Juin 2025 à 8h 43m 45s
Les mots tapés dans les champs TITRE et/ou COMMENTAIRE, et qui doivent être séparés par des espaces, représentent des mots clés, partiels ou complets, qui peuvent ainsi être contigus ou disjoints dans le texte. Tri : Catégorie : Présentation du résultat : Normale En LISTE Un total de 9 vidéos sélectionnées et présentées par groupes de 4 répartis sur 3 pages 1 2 3 Suiv |
Inégalités croissantes de plus en plus scandaleuses :
de plus en plus d'écarts entre les riches, les milliardaires, et les pauvres :
8 milliardaires détiennent autant de richesses que 50% de la population mondiale - Janvier 2017
Vidéo # 8579 en Français () insérée le Mardi 17 Janvier 2017 à 0h 12m 09s dans la catégorie "Économie, Commerce, Entreprises, et Travailleurs"
Durée : 01 min 24 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
Afin de ne pas désinformer autrui, merci d'avoir la gentillesse et la sagesse de ne voter qu'après avoir regardé entièrement cette vidéo. |
Cette vidéo est une capsule du journal de la chaine nationale française France 2 sur un scandale de plus en plus grand : les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres avec un triste record : 8 milliardaires possèdent autant que 3,6 milliards de pauvres.
Patrimoine : 8 milliardaires possèdent autant que 3,6 milliards de pauvres :
L'ONG Oxfam estime que 8 personnes plus riches du monde possèdent autant de richesse que la moitié la plus pauvre de la population mondiale. Elle demande aux dirigeants qui vont se réunir à Davos (Suisse) de prendre des mesures
« Il est indécent que tant de richesses soit concentrée dans les mains d'une si infime minorité, quand on sait qu'une personne sur dix dans le monde vit avec moins de 2 dollars par jour », affirme Manon Aubry la porte-parole de l'ONG, Oxfam France. Cette ONG publie avant l'ouverture du Forum économique de Davos, qui rassemble les plus grands dirigeants de la planète, un rapport selon lequel le patrimoine cumulé des 1% les plus riches du monde a dépassé l'an dernier celui des 99% restants.
« L'écart entre la frange la plus riche et le reste de la population s'est creusé de façon spectaculaire au cours des douze derniers mois », constate Oxfam. L'an passé 62 personnes possédaient autant que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, c'est à dire plus que 3,6 milliards d'individus sur la planète. Un phénomène qui prend de l'ampleur. « Elles étaient encore 388 il y a cinq ans.» Aujourd'hui, ils ne sont plus que huit...
Les huit personnes les plus riches du monde
(Classement Forbes mars 2016)
- Bill Gates : américain, fondateur de Microsoft (patrimoine de 75 milliards de dollars)
- Amancio Ortega : espagnol, fondateur d’Inditex qui détient la chaîne de prêt-à-porter Zara (patrimoine de 67 milliards de dollars)
- Warren Buffet : américain, PDG et premier actionnaire de Berkshire Hathaway (patrimoine de 60,8 milliards de dollars)
- Carlos Slim Helu : mexicain, propriétaire de Grupo Carso (patrimoine de 50 milliards de dollars)
- Jeff Bezos : américain, fondateur, président et directeur général d’Amazon (patrimoine de 45,2 milliards de dollars)
- Mark Zuckerberg : américain, président, directeur général et cofondateur de Facebook (patrimoine de 44,6 milliards de dollars)
- Larry Ellison : américain, cofondateur et PDG d’Oracle (patrimoine de 43,6 milliards)
- Michael Bloomberg : américain, fondateur, propriétaire et PDG de Bloomberg LP (patrimoine de 40 milliards de dollars)
Selon l'ONG, à ce rythme, le premier « super-milliardaire» du monde «pourrait voir son patrimoine dépasser le millier de milliards de dollars dans 25 ans à peine».
Des chiffres chocs
Dans son rapport, l'ONG rapport dénonce la pression qui s'exerce sur les salaires partout dans le monde. Là aussi des chiffres chocs. Un PDG d'une entreprise cotée à Londres touche autant que 10 000 ouvriers dans l'industrie textile au Bangladesh. Oxfam demandent aux gouvernements de prendre des mesures pour garantir que le travail soit rémunéré équitablement à tous les échelons. Cela implique, selon l'ONG, de faire évoluer le salaire minimum vers un salaire décent et de réduire l’écart salarial entre les femmes et les hommes.
« Partout dans le monde, des femmes et des hommes sont laissés pour compte. Leurs salaires stagnent, mais les grands patrons s’octroient des primes qui se chiffrent en millions de dollars. Leurs services de santé et d’éducation sont réduits pendant que les grandes entreprises et les plus fortunés se soustraient à l’impôt. Leurs voix ne sont pas entendues, alors que les gouvernements se mettent au diapason des grandes entreprises et d’une élite nantie », poursuit l'ONG.Comme l'an passé, selon Oxfam, les inégalités se creusent. Le patrimoine des plus pauvres a chuté de 942 milliards d'euros depuis 2010 alors que la population mondiale a augmenté de 400 millions de personnes.
Si cette méthode de calcul est parfois contestée par des économistes, elle a le mérite de mettre en lumière cette concentration des richesses aux mains d'un petit nombre. « Les entreprises optimisent leurs profits, notamment en allégeant le plus possible leur fardeau fiscal, privant ainsi les États des ressources essentielles pour financer les politiques et les services nécessaires pour réduire les inégalités. »
Une priorité : la lutte contre les paradis fiscaux
Pour l'ONG, comme l'an passé, l'une des priorités est de lutter contre les paradis fiscaux. «De plus en plus d’entreprises et de particuliers ont recours aux centres offshore afin d’éviter de verser leur juste contribution à la société. Cette pratique prive les États de précieuses ressources nécessaires pour lutter contre la pauvreté et les inégalités», poursuit l'ONG en soulignant que sur les 201 plus grandes entreprises, 108 ont des antennes dans les paradis fiscaux.
L'an passé Oxfam estimait que 7 163 milliards d'euros seraient détenus dans ces paradis fiscaux, soit un douzième de la richesse mondiale. «Si des impôts étaient payés sur les revenus générés par ces avoirs, les États disposeraient de 190 milliards de dollars de plus par an», ajoute l'ONG. 30% des avoirs financiers africains seraient placés dans les paradis fiscaux, soit un manque à gagner de 13 milliards d'euros pour ce continent. «Cette somme suffirait à couvrir les soins de santé maternelle et infantile qui pourraient sauver 4 millions d’enfants par an. Elle permettrait également d’employer suffisamment d’enseignants pour scolariser tous les enfants africains», constatait Oxfam.
Source : Le Parisien.
Une situation intolérable.
On ne peut continuer comme cela : il faut mettre un terme à l'accumulation par un plafond. Tout cet argent manque cruellement à des milliards de gens.
À voir !
|
Inégalité des revenus et oligarchie :
un exemple d'humour et de cynisme des banksters psychopathes qui dirigent le monde
Vidéo # 8004 en Anglais, sous-titrée en Français ( ST
), insérée le Lundi 14 Septembre 2015 à 11h 36m 56s dans la catégorie "Argent, Banques, États, et Organisations mondiales"
Durée : 55 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
Afin de ne pas désinformer autrui, merci d'avoir la gentillesse et la sagesse de ne voter qu'après avoir regardé entièrement cette vidéo. |
Le banquier : "Vous avez vu commet on le creuse bien l'écart ?"
Synopsis
L’inégalité des revenus..vue par des ex-banksters américains.
Très court extrait d’une conférence organisée par le Milken Institute en avril 2015.
Invités par Michael Milken (ex-bankster, ex-taulard) pour débattre de l’évolution économique mondiale, trois ex-banksters et anciens Secrétaires au Trésor des Etats-Unis :
Henry Paulson :
- ex-président de Goldman Sachs (1998-2006)
- ancien Secrétaire au Trésor des États-Unis, administration Bush (2006-2009)
Robert Rubin :
- ex-président de Goldman Sachs (1990-1994),
- ancien Secrétaire au Trésor des États-Unis, administration Clinton
(1995-1999),
- ex-président de la banque Citigroup (1999-2009)
Timothy Geithner :
- ex-président de la Federal Reserve Bank de New York
- ancien secrétaire du Trésor des États-Unis au sein de l’administration du président Obama (2009-2013)
Maîtresse de cérémonie, Sheryl Sandberg :
- de1996 à 2001 chef de service au sein du département du Trésor
des États-Unis.
- Actuellement, directrice des opérations de Facebook.
- Classée en 2014, neuvième femme la plus puissante au monde par le magazine Forbes.Source : Rehearsais.
Quand on y pense quel enfoiré et quel faux cul de première ce Henry Paulson : il a travaillé dans la banque la plus inique et machiavélique du monde, Goldman Sachs, qui spécule sur la nourriture et les matières premières, et qui escroque ses propres clients, et il ose dire que dans cette banque il travaillait à réduire les inégalités... Voilà le procédé récurrents des enfoirés de notre monde : ils habillent toujours leurs forfaits et leurs crimes de la tunique du saint.
Une vidéo ultra-courte, mais montrant bien le cynisme effroyable des banksters et de "l'élite" gravitant autour d'eux.
|
Inégalités cachées entre riches et pauvres : "C'est cher d'être pauvre - Envoyé spécial"
Vidéo # 7837 en Français () insérée le Vendredi 28 Novembre 2014 à 9h 15m 39s dans la catégorie "Pauvreté, Misère, SDF, et Charité"
Durée : 54 min 07 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
Afin de ne pas désinformer autrui, merci d'avoir la gentillesse et la sagesse de ne voter qu'après avoir regardé entièrement cette vidéo. |
Synopsis :
En 2012, la France comptait entre 5 et 8,6 millions de pauvres selon le seuil de niveau de vie médian choisi. Mais la spirale de la pauvreté les rend de plus en plus démunis. En effet, avec des moyens réduits, les contrats d'assurance sont moins favorables, et les dépenses de santé sont plus élevées quand la Sécurité sociale a remboursé sa part.
Chauffage, électricité, logement, mutuelle santé, assurance, crédit bancaire, téléphonie mobile : plus on a un budget serré, et plus on paie cher. Un paradoxe qui ne semble choquer personne. Et pourtant, Martin Hirsh, ex-Président d’Emmaüs France, a publié « Cela devient cher d’être pauvre », aux éditions Stock en 2013. Un livre qui dénonce cette double peine. C’est de ce constat que les journalistes d’Envoyé spécial ont enquêté sur ce phénomène qui pénalise les ménages les plus fragilisés. Quand on est pauvre, payer un loyer en ville, alors que le prix au m² est plus cher pour les petites surfaces, est de l’ordre de l’impossible. Mais gagne-t-on à s’installer en banlieue ? Certes, le loyer est moindre, mais pour se rendre à son travail, il faut une voiture, ou une carte de transports multizones. Parfois, il faut les deux ! Au final, entre carburant et passe Navigo, les ménages se retrouvent à payer plus cher.
Inventeur du revenu de solidarité active (RSA), Martin Hirsch explique dans son livre que, sur une année, un ménage avec un enfant, locataire d'un 70 m² et ayant 1.540 euros ressources par mois va, sans s'en rendre compte, payer 1.025 euros de plus de charges fixes diverses que le même ménage gagnant 3.300 euros et louant 90 m²...
Même problème pour les forfaits de téléphonie mobile, auxquels les ménages précaires ont difficilement accès car il faut justifier d’un prélèvement automatique mensuel et donc d’un revenu minimum. Seule solution, le recours à la carte prépayée dont le coût de la minute est 50% plus cher que dans un forfait basique. Et les exemples sont encore nombreux. Les journalistes d’Envoyé spécial sont allés à la rencontre de ces Français qui se sentent pénalisés parce que pauvres.
Source : Programme TV.
Une enquête très humaine montrant de manière claire que les pauvres payent tout plus cher que les autres.
Il aussi navrant de constater que même en 2014 il existe encore des enculés de commerçants dans la station française de ski "Les 2 Alpes" qui imposent à leurs salariés de louer obligatoirement leurs propres studios pour leur accorder un emploi chez eux. Mais que fait l'inspection du travail, bordel ??!
À voir !
Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 7 dB.
|
|
|
Inégalités, patrimoine, dette, et libéralisme : "Le capital au XXIe siècle" par Thomas Piketty - Version avec son rehaussé
Vidéo # 7442 en Français () insérée le Jeudi 24 Juillet 2014 à 9h 22m 41s dans la catégorie "Économie, Commerce, Entreprises, et Travailleurs"
Durée : 27 min 01 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
Afin de ne pas désinformer autrui, merci d'avoir la gentillesse et la sagesse de ne voter qu'après avoir regardé entièrement cette vidéo. |
Cette
vidéo est une interview par la radio français privée commerciale "Europe 1"
de Thomas Piketty sur son livre, "Le capital au XXIe siècle", véritable best seller mondial, suivie
:
Le mot de l'éditeur :
La répartition des richesses est l’une des questions les plus débattues aujourd’hui. Pour les uns, les inégalités n’en finiraient pas de se creuser dans un monde toujours plus injuste. Pour les autres, on assisterait à une réduction naturelle des écarts et toute intervention risquerait de perturber cette tendance harmonieuse. Mais que sait-on vraiment de l’évolution des inégalités sur le long terme ? En réalité, les analyses économiques supposées nous éclairer se fondent plus souvent sur des spéculations théoriques que sur des faits établis.
Fruit de quinze ans de recherches, cette étude, la plus ambitieuse jamais entreprise sur cette question, s’appuie sur des données historiques et comparatives bien plus vastes que tous les travaux antérieurs. Parcourant trois siècles et plus de vingt pays, elle renouvelle entièrement notre compréhension de la dynamique du capitalisme en situant sa contradiction fondamentale dans le rapport entre la croissance économique et le rendement du capital.
Si la diffusion des connaissances apparaît comme la force principale d’égalisation des conditions sur le long terme, à l’heure actuelle, le décrochage des plus hautes rémunérations et, plus encore, la concentration extrême des patrimoines menacent les valeurs de méritocratie et de justice sociale des sociétés démocratiques.
En tirant de l’expérience des siècles passés des leçons pour l’avenir, cet ouvrage montre que des moyens existent pour inverser cette tendance.
Directeur d’études à l’EHESS et professeur à l’École d’économie de Paris, Thomas Piketty est l’auteur de nombreux travaux historiques et théoriques qui lui ont valu, en 2013, le prix Yrjö Jahnsson décerné par la European Economic Association.
Données techniques :
Titre : "Le capital au XXIe siècle"
Auteur : Thomas Piketty
Éditeur : Seuil
Date de parution : 5 Septembre 2013
Format : Broché - 976 pages
Dimensions : 21,8 x 14,6 x 4,6 cm
ISBN-10: 2021082288
ISBN-13: 978-2021082289
Prix : 25 €
Ce qu'en dit Wikipédia :
Le Capital au XXIe siècle est un livre d'économie publié en 2013 et écrit par Thomas Piketty, paru aux éditions du Seuil.
Le livre montre que les inégalités de revenu, les inégalités de patrimoine et le rapport capital/revenu dans les pays développés suivent chacun une courbe en U et que l'on retrouve au début du XXe siècle des niveaux d'inégalités comparables aux niveaux d'inégalités du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ces résultats remettent en cause la relation de Kuznets établie dans les années 1950 qui laissait à penser que le développement économique s'accompagnait mécaniquement d'une baisse des inégalités de revenu. Piketty affirme plutôt que le capitalisme, s'il n'est pas régulé, génère des inégalités grandissantes. Il suggère plusieurs mesures politiques pour limiter la hausse des inégalités et notamment la création d'un impôt mondial sur le capital.
L'ouvrage a obtenu un grand succès public en France d'abord mais surtout aux États-Unis où il est devenu en quelques semaines un best-seller. Il reçoit un accueil critique favorable1, notamment après sa traduction en anglais publiée en 20142.
Thomas Piketty prédit "Le retour d’une société d’héritiers" :
En France, les gens possèdent en moyenne un patrimoine qui correspond à 6 années de revenus : c’est le même niveau que celui de la Belle Époque. En 1950, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le patrimoine était redescendu à l’équivalent de 2 années de revenus. Il n’a pas cessé augmenter depuis. Cette progression, Thomas Piketty l’explique notamment par une hausse des héritages. « En 1950, c’est la reconstruction : il n’y a rien à hériter », indique-t-il.
La hausse des inégalités
La France serait en revanche en passe de (re)devenir une « société d’héritiers, c’est à dire une société où la richesse se transfère de famille en famille. Pour Thomas Piketty, cela ne correspond pas un problème en soi. Le souci, c’est que le patrimoine est toujours beaucoup plus concentré que les revenus, et cette évolution est donc facteur d’inégalités. « En France, les 10% les plus riches possèdent 60 % du patrimoine total. Les 50 % qui possèdent le moins ne possèdent que 5 % », déclare-t-il.
Et si le patrimoine moyen par adulte est de 50.000 euros, cela peut aller de beaucoup à très peu pour certains. « 50 % des gens ne vont posséder que quelques mois de salaire devant eux, quand les 10 % les plus riches ont un patrimoine d’un million ou de plusieurs dizaines de millions », selon Thomas Piketty.
La classe moyenne menacée. Cette inquiétude touche avant tout la classe moyenne. Car l’apparition de cette dernière constitue la principale différence avec les années 20, période durant laquelle les niveaux de patrimoine étaient équivalents.
« La classe moyenne est coincée entre les 50% et les 10%. Est-ce que cette avancée va rester ? Je suis plutôt inquiet. L’augmentation des hauts patrimoines est bien plus rapide que la croissance » (respectivement 7-8% pour la hausse des patrimoines, contre 1-2% pour la croissance).
Cette croissance donne une importance démesurée au patrimoine. « Les héritiers, avec des patrimoines qui viennent du passé, ont l’avenir pour eux », explique l’économiste français. « Si vous ne partez de rien, vous ne pouvez pas devenir propriétaire. »
La solution : taxer le capital
Pour Thomas Piketty, la solution réside dans les impôts. « Il ne faut pas augmenter les impôts », rassure-t-il toutefois. « Il faut réduire les impôts sur les salaires. Mais on a besoin d’autres recettes : ces recettes, ce sont les patrimoines. Lorsqu’on a une telle prospérité patrimoniale, ce serait fou de ne pas les taxer ».
Il s’agit, en d’autres termes, d’arrêter de taxer le travail, pour lui permettre d’accumuler du capital. « J’insiste sur cette contradiction très forte », conclut l’économiste, âge de 41 ans. La solution serait de plus taxer les 10 % pour permettre aux 50 % de les rattraper.
Source : France Info.
L'interview donne envie de lire le livre mais l'auteur semble pas avoir une opinion bien tranchée et claire, comme s'il n'osait pas dire ce qu'il pense au risque de choquer. Dommage, car il doit avoir une vision synthétique proche de la réalité du capital et du capitalisme dans le monde.
Les autres vidéos n'ont pas encore été évaluées.
Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son des deux premières vidéos respectivement de 5 et 7 dB.
|
|
|
1 2 3 Suiv |
Pour toute question ou commentaire, n'hésitez pas à m'écrire en utilisant cette
[PAGE]
.