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Cette collection de vidéos a été mise à jour le Jeudi 12 Juin 2025 à 8h 43m 45s
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Agriculture intensive, industrie agroalimentaire, animaux maltraités, productivisme, et concurrence déloyale :
"Les secrets du poulet premier prix"
ou quelques conséquences désastreuses du capitalisme, de la mondialisation, et de la cupidité sans fin
Vidéo # 8564 en Français () insérée le Dimanche 1 Janvier 2017 à 9h 03m 34s dans la catégorie "OGM, Produits Chimiques, Agriculture, et Alimentation"
Durée : 55 min 05 sec
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Synopsis :
Pour offrir dans le commerce du poulet à 3 euros le kilo, la manière de l'élever est rationalisée à l'extrême. Mais est-ce sans risques ?
Ces volailles grandissent à plusieurs dizaines de milliers dans des espaces très restreints. Conséquence : cette promiscuité et le manque d'hygiène provoquent des infections à répétition. Pour les soigner, les éleveurs utilisent des quantités massives d'antibiotiques. En bout de chaîne, ces traitements mettent-ils en péril notre santé ?
Ce poulet d'entrée de gamme, nous le consommons également beaucoup sous forme de nuggets, saucisses de poulet ou cordons bleus.
Quelle viande mangeons-nous alors ?
Avec ce document, nous vous proposons une enquête inédite sur ce produit que nous consommons en masse.
Source : Programme TV.
Une très bonne enquête, qui vous fera pénétrer dans l'univers abominable de l'élevage intensif où les droits des animaux sont bafoués sur des échelles industrielles.
Décidément, la cupidité est l'un des fléaux majeur de cette Humanité.
À voir absolument !
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Dumping social et concurrence déloyale des travailleurs détachés :
"Salariés à prix cassé : le grand scandale" - Cash investigation
Vidéo # 8325 en Français () insérée le Samedi 26 Mars 2016 à 4h 54m 40s dans la catégorie "Économie, Commerce, Entreprises, et Travailleurs"
Durée : 02 hr 19 min 59 sec
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Les travailleurs détachés : une expression pudique pour décrire une méthode européenne de dumping social qui détruit nos emplois et pousse les entreprises à délocaliser leurs employés dans les pays européens où les charges et les salaires sont minuscules et indécents : par exemple, un salaire de 237 € pour 56 heures de travail...
Synopsis :
Depuis son instauration en 1996, la directive européenne 96/71/CE sur le détachement des travailleurs a bénéficié à plusieurs millions de salariés.
En quinze ans, le recours à ces travailleurs n'a cessé d'augmenter. La fraude sociale des entreprises s'est, elle aussi, envolée.
En 2010, en France, on estimait à 300 000 le nombre de travailleurs détachés non déclarés contre un peu plus de 200 000 «salariés légalement détachés». Soit un manque à gagner estimé à 380 millions d'euros pour le système de protection sociale.
Le premier reportage de ce numéro de «Cash investigation» fait découvrir le chantier du terminal méthanier de Dunkerque, où des travailleurs détachés ont été exploités et dont la vie a parfois été mise en danger.
Source : Programme TV.
Une enquête excellente montrant bien certains dysfonctionnements majeurs de l'Union Européenne dont la loi sur les travailleurs détachés a été inspirée par de grandes entreprises et l'idéologie économique dévoyée et perverse du libéralisme et du mondialisme. Pire, certains patrons ponctionnent leurs salariés de frais, soi-disant pour verser des charges, mais ne reversent pas ces sommes aux organismes publics concernés. Des malfaisants, des escrocs, qui ne se présentent même pas à leur procès. C'est incompréhensible que de tels nuisibles ne soient pas recherchés et arrêtés par Interpol.
On regrettera cependant le manque de professionnalisme du documentaire, avec notamment :
Tout cela décrédibilise le sujet, qui est pourtant grave et sérieux, c'est très dommage. Il est navrant et non professionnel qu'Élise Lucet ne recadre pas son réalisateur. Je pense même que le narrateur est inapte pour un sujet aussi important.
Une très bonne enquête cependant, exposant bien les problématiques posées par les travailleurs détachés.
À voir absolument !
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Alimentation saine, Bio, rejet de la grande distribution par des circuits courts :
"Qualité et prix : faut-il consommer local ?"
Vidéo # 8058 en Français () insérée le Samedi 10 Octobre 2015 à 4h 00m 11s dans la catégorie "OGM, Produits Chimiques, Agriculture, et Alimentation"
Durée : 01 hr 51 min 38 sec
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Cette vidéo est une émission de la série "Capital" de la chaine française privée M6, portant sur la consommation alimentaire locale et les circuits courts.
Sommaire :
L'arnaque des circuits classiques :
les pigeons sont les producteurs (qui sont sous-payés, ne ne gagnent pas dès lors assez leur vie, et sont obligés de faire de la relative mauvaise qualité)
et les consommateurs (qui payent 2 à 3 fois le prix de production, pour au final manger des aliments de qualité médiocre).
Les fautifs : les spéculateurs que sont les grossistes, les centrales d'achats, et la grande distribution
qui se gavent sur le dos des producteurs et des consommateurs en s'intercalant entre eux. Des parasites qui vont finir tôt ou tard par disparaître,
car de plus en plus gens ne veulent plus de ces vampires de la mondialisation qui nuisent à l'économie, à la prospérité, et à la qualité de vie de tous.Du champ à l'assiette : les nouveaux circuits.
Acheter des aliments frais c'est l'espoir de manger plus sainement, de savoir d'où vient ce que l'on consomme et de le payer au juste prix.
Et c'est exactement la promesse de nouveaux points de vente qui se multiplient partout en France : ils s'appellent « La Ruche qui dit Oui » ou « O'Tera ».
Leur principe : supprimer les intermédiaires entre producteur et consommateur.
Derrière cette belle affiche, comment fonctionnent ces circuits courts ? Peut-on croire aux arguments de qualité et de juste prix mis en avant ? Comment les grandes surfaces ripostent-elles face à cette nouvelle concurrence ?
Que cachent les cuisines des cantines ?
Concevoir des menus équilibrés et savoureux avec un budget très serré, c'est le défi que se lancent chaque jour les cantines scolaires de France pour tenter de satisfaire les 6 millions d'écoliers qui y déjeunent.
Pour faire baisser les coûts sans rogner sur la qualité, l'approvisionnement local semble être la solution. Mais entre les contraintes sanitaires et logistiques, est- ce vraiment possible ?
D'où viennent les aliments servis à vos enfants ?
Comment sont-ils préparés ?
Capital a repris le chemin de la cantine pour y répondre.Labels régionaux, un gage de qualité ?
Impossible d'y avoir échappé car elles occupent une place de choix dans les rayons des supermarchés.
Les marques collectives régionales font de plus en plus recette.
À chaque région son label, comme « Saveurs en'Or » pour le Nord, « Gourmandie » pour la Normandie, ou encore « Terroirs de Picardie ».
Des marques collectives qui prônent toutes les mêmes valeurs : la défense de l'emploi dans leur région ainsi qu'un gage d'authenticité et de qualité des produits.
Mais ces labels régionaux sont-ils tous aussi exigeants sur le caractère « local » de leurs produits et leur fabrication ?
Comment les labels sont-ils attribués ?
Qui se cache derrière ces logos ?
Est-ce un vrai gage de qualité ?
Oeufs bio : l'envers de la coquille
Durs, brouillés, au plat ou en omelette, les Français mangent en moyenne 216 oeufs par an.
Et depuis quelques temps, nous privilégions les oeufs bios.
Ils coûtent 2 fois plus cher que les àeufs standards, pourtant leur consommation augmente de 8% par an.
Il faut dire que la grande distribution s'est emparée du phénomène.
Aujourd'hui, 60% des oeufs bios sont achetés en supermarché.
Alors quelles recettes producteurs et distributeurs ont-ils mises en place pour nous vendre des oeufs bios ?
Ne paye-t-on pas les àeufs bios trop chers ?
Quelles sont nos garanties d'avoir un oeuf 100% bio dans notre assiette et quelles sont les vertus nutritives de ces oeufs ?Source : Programme TV.
Une transaction saine : du producteur au consommateur, par le système des
paniers.
Le local et les circuits courts ont le vent en poupe, et c'est tant mieux. Puisque les politiciens sont des traîtres, vendus à l'Europe de Bruxelles, aux mondialistes genre Jacques Attali, aux marchés, aux multinationales, et aux banques, et bien organisons-nous nous-mêmes !
Un tour d'horizon enthousiasmant, mais qui montre aussi comment la saloperie de grande distribution et certaines entreprises cupides ont commencé à s'adapter à cet engouement des français pour le sain et naturel, le bio, les circuits courts, et les productions locales.
Le local est l'avenir des peuples et de l'Humanité !
Très intéressant.
À voir !
Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 5 dB.
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Cupidité sans fin de l'industrie pharmaceutique :
pour gonfler ses profits, un laboratoire américain augmente le prix de ses comprimés de 5500 % !!!
Vidéo # 8029 en Anglais, sous-titrée en Français ( ST
), insérée le Mardi 29 Septembre 2015 à 2h 47m 59s dans la catégorie "Santé & Médecine"
Durée : 02 min 07 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
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Contrairement à ce qu'affirme le présentateur de la chaîne Russia Today, l'augmentation n'est pas de 5000% mais de 5500% : 750$ divisés par 13,50$ = 55,55...
Cette vidéo est une preuve supplémentaire, si cela était encore nécessaire à certains débiles (et il y en a encore pas mal..) et aux libéraux, que sans un endrament strict des marchés, ce sont toujours les forces exécutives des marchés qui dominent le monde. Elles ne vont pas s'auto-discipliner d'elles-mêmes, l'expérience l'ayant prouvé à satiété.
Tant qu'il n'y a pas de contre pouvoir, les humains (et les Êtres en général) font n'importe quoi. Sans force opposante, rien ne les arrêtent : il n'y a pas de limites. Si la tasse ne tombe pas sur le sol, c'est uniquement parce-que la table lui impose une limite. Car c'est dans la nature même de la tasse, placée dans un champ de gravitation, de tomber inexorablement, fatalement, mathématiquement, sur le sol. Il faut comprendre cela une fois pour toute.
À voir !
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