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Cette collection de vidéos a été mise à jour le Jeudi 12 Juin 2025 à 8h 43m 45s
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"Vaxxed : de la dissimulation à la castastrophe" :
des chercheurs dénoncent un complot scandaleux contre la santé
et révèlent la vérite sur les vaccins et l'autisme
Vidéo # 8602 en Anglais, sous-titrée en Français ( ST
), insérée le Vendredi 10 Février 2017 à 3h 54m 52s dans la catégorie "Santé & Médecine"
Durée : 01 hr 30 min 47 sec
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Synopsis :
Le Dr Wakefield brise le silence sur la violence vaccinale faite aux enfants.
En 2013, le docteur et biologiste Brian Hooker a reçu un appel d'un scientifique du Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) qui a dirigé en 2004 une étude sur le vaccin contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) et son lien avec l'autisme.
Le scientifique, le Dr William Thompson, a avoué que le CDC avait omis des données cruciales dans son rapport final qui ont révélé une relation de cause à effet entre le vaccin ROR et l'autisme. Pendant plusieurs mois, le Dr Hooker enregistre ses appels téléphoniques avec le Dr Thompson, cet homme qui lui fournit des données confidentielles détruites par ses collègues au CDC.
Le Dr Hooker appel à l'aide le Dr Andrew Wakefield, un gastroentérologue britannique accusé à tort en 1998 d'avoir lancé le mouvement anti-vaccins alors qu'il rapportait que le vaccin ROR pouvait provoquer l'autisme. Dans son effort continu pour plaider en faveur de la santé des enfants, Wakefield dirige ce documentaire en examinant les éléments de preuve camouflés par l'agence gouvernementale chargée de protéger la santé des citoyens américains.
Les entrevues avec des initiés de l'industrie pharmaceutique, des médecins, des politiciens et des parents d'enfants tombés malades suite à des vaccinations révèlent que cette dissimulation a contribué à l'augmentation alarmante et exponentielle de l'autisme et est potentiellement l'épidémie la plus catastrophique de notre époque.
Réalisé par Andrew Wakefield et produit par Del Bigtree.
Source : AgoraVox.tv
Cette vidéo n'a pas encore été évaluée complètement mais s'annonce déjà comme très intéressante e tout à fait passionnante.
Nota Bene : merci à F.B. pour m'avoir signalé la vidéo
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Simulation informatique : ce que verrait l'oeil de Dieu des galaxies et de l'Univers
Vidéo # 8036 en Anglais, sous-titrée en Français ( ST
), insérée le Vendredi 2 Octobre 2015 à 10h 08m 55s dans la catégorie "Science & Technologie"
Durée : 03 min 23 sec
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Nébuleuse de l'Hélice ou "L'œil de Dieu".
Une courte vidéo sans prétention, mais pleine de beauté et de mystères, à l'échelle de l'Univers.
À voir !
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Simulation informatique du cerveau par des super-ordinateurs : "Square : la guerre du cerveau" - Version avec son rehaussé
Vidéo # 7226 en Français () insérée le Vendredi 16 Mai 2014 à 10h 32m 33s dans la catégorie "Science & Technologie"
Durée : 25 min 59 sec
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Synopsis
D'un côté, il y a les Européens.
Le " Human Brain Project " (HBP), l'un des projets phare de l'union Européenne. Il projette de: construire un modèle informatique du cerveau humain, une cartographie en haute résolution à l'aide d'un supercalculateur d'ici 10 ans.
De l'autre côté de l'Atlantique, il y a le projet du Président Obama, le " Brain Activity Map Project ".La course est lancée.
On en parle dans Square avec le Professeur Cornelia Bargmann de l'université de Rockfeller aux États-Unis, à la tête du " Brain Activity Map Project " et Sean Hill, co-directeur du " Human Brain Project " de Lausanne et co-directeur de neuroinformatique à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne. (EPFL).
Source : Programme TV.
Des projets ambitieux et coûteux mais qui ne serviront pas à grand chose en réalité parce-qu'une donnée fondamentale a été oubliée (ou plutôt qui est inconnue des scientifiques): le cerveau n'est pas le support de la conscience mais juste une interface et une mémoire holographique physique entre les sens et la conscience située hors du corps physique (une simple sortie astrale de quelques secondes suffit à le vérifier directement par soi-même). C'est la raison pour laquelle, jamais un ordinateur ne pourra simuler la conscience dont l'une des caractéristiques fondamentales est d'avoir conscience de soi. Un calcul ne peut en aucun avoir conscience de lui-même, parce-que c'est un processus mécanique dénué de toute conscience. Même la machine qui effectue le calcul, l'ordinateur, ne sait pas ce qu'elle est en train de faire...
Quand aux applications que ces simulations pourront engendrer sous l'impulsion de quelques scientifiques et décideurs dominateurs de l'armée au cerveau malade, ça donne le frisson.
Une vidéo très intéressante sur des projets un peu fous qui vont demander du temps.
Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 7 dB.
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"Illustris", la simulation informatique la plus détaillée de notre Univers
Vidéo # 7220 en Anglais () insérée le Mercredi 14 Mai 2014 à 10h 52m 31s dans la catégorie "Science & Technologie"
Durée : 06 min 44 sec
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Synopsis :
Le projet Illustris a permis de modéliser l'apparition d'environ un million de galaxies et leur évolution sur plus de 13 milliards d'années.
C'est une recette bien connue des astrophysiciens: prenez une cuillère de matière, une grosse louche d'énergie, arrosez de quelques équations et d'une pincée de paramètres cosmologiques, puis laissez mijoter dans un supercalculateur. Avec beaucoup de savoir-faire et un peu de chance, vous réussirez peut-être à reconstituer l'aspect de l'univers tel que nous l'observons aujourd'hui, 13,8 milliards d'années après le Big Bang.
Dans un article publié jeudi dans Nature, les chercheurs du projet germano-anglo-américain Illustris présentent la tentative la plus aboutie de tambouille cosmique: une simulation reconstituant la fine évolution d'une belle portion de l'univers visible (un cube de plus de 300 millions d'années-lumière de côté, soit un cent-millième de tout l'univers visible!) pendant 13,4 milliards d'années (voir vidéos ci-dessus et ci-dessous). Avec un ordinateur classique, il aurait fallu deux mille ans pour obtenir un tel film. Les supercalculateurs utilisés (l'un allemand, SuperMUC, l'autre français, CURIE) n'ont eu besoin «que» de trois mois.
La matière ordinaire plus difficile à modéliser que la matière noire.
La modélisation démarre 400 millions d'années après le Big Bang. À cette époque reculée, la matière noire, une substance de nature mystérieuse sensible uniquement à la gravité, commence à former de minces filaments. La structure de cette toile primordiale est tirée de la carte du fond diffus cosmologique, la première lumière émise par l'univers 300 000 ans après le Big Bang (les petites fluctuations du rayonnement fossile traduisent en effet la présence des premiers grumeaux de matière qui donnent naissance aux filaments).
Dès le début de la simulation, ce réseau (en bleu-violet) attire la matière noire environnante. Les filaments grossissent, puis se contractent sous l'effet de leur propre poids. Ces phénomènes purement gravitationnels forment des colliers de perles très denses (les tâches blanches). Ces halos de matière noire attirent la matière ordinaire, essentiellement de l'hydrogène et de l'hélium. En se refroidissant, ces nuages s'effondrent pour former des galaxies (il y en a environ un million dans cette simulation) contenant chacune des milliards d'étoiles. À titre de comparaison, une galaxie comme notre Voie lactée est environ vingt fois moins volumineuse que le halo de matière noire dans lequel elle s'est formée (en masse, il y a environ cinq fois moins de matière ordinaire que de matière noire dans l'univers).
À partir de là, les choses se compliquent. «La matière noire n'est sensible qu'à la gravité, elle est donc très facile à modéliser et ne représente que 5 % du temps de calcul», explique Frédéric Bournaud, chercheur au CEA. «En revanche, pour la matière ordinaire, il faut prendre en compte les collisions, la température, le rayonnement et bien d'autres phénomènes physiques. C'est une tâche beaucoup plus complexe.»
La simulation Illustris intègre plus finement qu'auparavant les explosions d'étoiles (les fameuses supernovæ) ainsi que l'effondrement des gigantesques nuages de gaz dans les trous noirs supermassifs nichés au cœur des galaxies. Ces phénomènes extrêmement énergétiques créent des ondes de choc (les bulles rouges-orange) qui dispersent et réchauffent le gaz intergalactique. «Ce mécanisme permet de réduire le taux de formation d'étoiles», note Françoise Combes, astronome à l'Observatoire de Paris, spécialiste de la dynamique des galaxies. «Mais leur nombre est encore un peu trop élevé dans ce modèle par rapport à la réalité.» Conséquence: trop de galaxies, trop massives, qui se forment trop tôt.
Cette simulation parvient néanmoins à former tous les types de galaxies (spirales, elliptiques, irrégulières). «Les résultats sont magnifiques, ils reproduisent même les teintes des galaxies, les bras des spirales et beaucoup de détails très fins, s'enthousiasme Yohan Dubois, membre d'un projet français concurrent, Horizon. La distribution, le nombre et la forme des galaxies se rapprochent de plus en plus des observations. Les modèles classiques semblent bel et bien suffire à expliquer les grandes structures de l'Univers.»
Les différents types de galaxies.Les auteurs parviennent ainsi avec leur simulation à construire des images comparables à celles qu'a prises le télescope spatial Hubble. Aux grandes échelles, la concentration en éléments lourds, notamment métalliques, est également compatible avec les observations.
Tous ces résultats très positifs sont à mettre au crédit du code utilisé. Plutôt que de découper l'échantillon d'univers en petit cubes fixes sur lesquels on effectue des calculs, le maillage est «flottant» et suit les déplacements de matière. Chaque maille contient quelques millions de masses solaires de matière ordinaire. «La grille se déforme en fonction de la densité: plus la concentration en matière est forte, plus elle s'affine», explique Yohan Dubois. Cette ruse est un peu plus coûteuse en temps de calcul, mais elle est de toute évidence efficace.Source : Le Figaro.
Des images magnifiques de notre Univers, impossibles à voir sans la puissance des ordinateurs.
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