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Développement des plantes : "Comment peut-on influencer la croissance d'une plante grâce à la musique ?"
Vidéo # 1038 en Français () insérée le Mercredi 14 Avril 2010 à 5h 34m 20s dans la catégorie "Science & Technologie"
Durée : 18 min 37 sec
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Cette vidéo est une étude réalisée par Antoine Lassauge et Charles Marton.
Ils nous expliquent d’une manière accessible comment la musique peut favoriser le développement des plantes en se basant sur les publications scientifiques de Joel Sternheimer, dont un interview a été rajouté à la suite.
Joel Sternheimer, qui est docteur en physique théorique, est l'un des chercheurs spécialisés dans les "protéodies", ces mélodies spécifiques liées à une protéine donnée. Il étudie depuis vingt ans leurs propriétés. La validité de son travail dans ce domaine a été reconnue par un jugement de la chambre de recours de l'Office Européen des brevets en date du 8 mars 2004.
"Les protéodies sont une "proto-musique" intérieure à la cellule vivante, rendue à présent accessible par le décryptage des génomes. Ces suites de fréquences associées in situ à l'élongation des protéines exercent sur leur biosynthèse un rôle régulateur, que conserve, remarquablement, leur transposition dans la zone audible. Leur emploi sous cette forme permet, au-delà de la prédiction in silico des fonctionnalités de proche en proche de ces protéines, d'agir sur elles de façon contrôlable en temps réel par le sujet écoutant, et corroborable par différentes mesures. Leurs propriétés harmoniques, mélodiques et rythmiques amènent à les identifier comme sources biologiques de l'inspiration musicale, laquelle demeure cependant limitée à une étroite fenêtre d'accès, due à leurs différences spécifiques au plan cognitif. Au total, elles fournissent une méthode de tests et de prise en charge personnelle dont la précision moléculaire et l'efficacité résultante requièrent de soigneuses précautions, qu'autorise la fiabilité de leur reconnaissance subjective."
Protéodie, ou le rôle de la musique dans les processus de vie, d'après les recherches du physicien Joël Sternheimer :
"Avec les ondes d'échelles, Joël Sternheimer montre qu'il est possible de guérir d'une pathologie non pas en éliminant le virus, mais en dialoguant musicalement avec lui. (Nous sommes très très très loin de Monsieur Pasteur !)
Si un patient trouve un sens à une mélodie, s'il la trouve logique, belle, si elle est en résonance avec lui, c'est l'expression de son besoin pour cette protéodie à ce moment. En ce sens, la " mesure " se traduit par une forme de dialogue entre le sujet et " l'objet " qui est à l'origine de la pathologie. L'amplitude de l'effet est d'ailleurs corrélée avec l'ampleur de la réaction subjective du patient. Par contre, il se peut très bien que, plus tard, le patient n'ait plus besoin de cette protéodie ; il la percevra alors très différemment, ce qui peut aller jusqu'à être incapable de la reconnaître quelques temps plus tard.
Dans les notes des paroles de " j'ai trouvé l'eau si belle " de " À la claire fontaine " correspondent à une protéine qui dénitrifie l'eau.
Les exemples de résultats positifs à l'écoute de protéodies sont nombreux. Ainsi le cas d'une personne, quasiment aveugle et sourde : " Cette personne n'entendait plus que dans la bande des 8 kHz, là où nous entendons qu'un sifflement. Elle était également aveugle, ne voyait plus que les ombres. Avec l'aide d'un acousticien, elle a écouté la transposition de deux protéodies : celle de l'endorphine et celle du cytochrome dans la bande des 8 kHz. À l'écoute de la protéodie d'endorphine, qui favorise normalement l'endormissement, elle a eu des nausées ; par contre à l'écoute de la protéodie du cytochrome, elle s'est écriée : "Mais... je vois... je vois du bleu ! " Effectivement, il y avait des volets bleus devant elle. Elle avait retrouvé un début de vision ".
Des résultats ont également été obtenus dans les cas du cancer. Ici encore, on constate que c'est l'organisme qui trouve sa propre stratégie. En effet, suite à l'écoute de protéodies, plusieurs effets ont été observés, qui ont été mis en évidence par des analyses cytologiques. " Dans les meilleurs cas, rapporte Sternheimer, il y a réversion des cellules tumorales vers la normale : ce qui signifie qu'il ne faut pas forcément les détruire.
Dans d'autres cas, les défenses immunitaires se sont réveillées. Mais dans tous les cas, c'est l'organisme qui fait le choix : pas le médecin ". Médecin auquel il peut toutefois arriver d'intervenir d'une manière pour le moins inattendues : " parfois, il arrive qu'en présence de la personne qui souffre, la mélodie vienne d'elle-même, c'est d'ailleurs ce processus qui est à l'œuvre dans les chants destinés à provoquer la guérison dans les traditions chamaniques ". (Voir le livre de Mircea Eliade : Le chamanisme et les techniques archaïques de l'extase. Dans le chamanisme, la manifestation du Sacré peut se trouver dans une pierre, ou dans un arbre. Voir aussi la figure du koilon à la page Temps).
En ce qui concerne la démocratisation du procédé, les Japonais ont été les premiers à franchir le pas d'exploiter ce processus dans une dimension thérapeutique. Après une étude pilote au Department of Medical Science de la St Marianna University de Kawasaki au Japon, de 2000 à 2004, une consultation a été ouverte au public en janvier 2005 à la Joshi-Idai université de Tokyo. On y étudie la corrélation entre le goût prononcé des malades pour certains passages de certaines chansons, et les molécules protidiques leur correspondant, avec d'intéressants résultats."
Source : d'après un article du journal NEXUS n° 48 de janvier 2007.
Les protéodies ou la musique du vivant :
"Il y a une trentaine d’années, Joël Sternheimer,
physicien de formation, élève du prix Nobel de physique de 1929 Louis de
Broglie, poursuivait ses recherches sur la physique des particules aux États-Unis.
Joël Sternheimer prédit et mit indirectement en évidence l’existence de ce
qu’il appelle des ondes d’échelle ou protéodies, qui seraient émises par
des particules et notamment, dans les cellules vivantes, par les acides aminés,
à des fréquences inaudibles. La présence de ces ondes, dont il calcule les fréquences,
expliquerait certaines interactions et comportements des molécules entre elles.
Que sont les protéodies ?
Les protéodies sont une ‘proto-musique’ intérieure à la cellule vivante,
rendue à présent accessible par le décryptage des génomes. Ces suites de fréquences
associées in situ à l’élongation des protéines exercent sur leur biosynthèse
un rôle régulateur, que conserve, remarquablement, leur transposition dans la
zone audible.
Des signaux quantiques à l’échelle des acides
aminés :
Suivant les théories et les calculs de Joël Sternheimer, considérons que les
vingt acides aminés, véritables piliers de l’organisation métabolique, émettent
chacun une onde dont on peut calculer la fréquence. Ces ondes sont émises au
moment où ces acides aminés, transportés par les ARN de transfert,
s’assemblent pour former des protéines. Les signaux seraient des ondes de
nature quantique applées “ondes d’échelle”, c’est-à-dire qu’elles
relient entre elles des échelles différentes - ici l’échelle de chaque
acide aminé à l’échelle de la protéine en formation.
Une correspondance avec les notes de musiques :
On peut rendre ces fréquences audibles en les transposant, par exemple, en
notes de musique. Nous obtenons donc pour une protéine, qui est une suite
d’acides aminés, une succession de notes. En fonction de la complexité de la
composition des protéines, qui peuvent regrouper une dizaine d’acides aminés
ou des centaines, nous obtenons une véritable mélodie, une partition variant
donc d’une dizaine à plusieurs centaines de notes.
Des recherches selon les séquences des acides aminés
:
De très nombreuses séquences d’acides aminés sont connues et
disponibles sur différentes banques de données comme celle de la National
Biomedical Research Foundation aux États-Unis. “Chaque protéine peut être
caractérisée par sa musique, qui est une vision de la protéine à une autre
échelle”, précise Joël Sternheimer. Selon les résultats de ses expériences,
la diffusion de la mélodie spécifique d’une protéine ainsi amplifiée, peut
stimuler sa synthèse dans un organisme.
Il suffirait donc de “décoder ” les ondes d’échelle émises par les
acides aminés d’une protéine et à les transposer en notes pour agir sur un
organisme en augmentant la production de la protéine. Se faisant l’écho des
travaux de Joël Sternheimer, Jean-Marie Pelt explique le processus: “Lorsque
les plantes “écoutent” la mélodie appropriée, les ondes acoustiques sont
transformées “microphoniquement” en ondes électromagnétiques elles-mêmes
sources “d’ondes d’échelle”, et elles se mettent à produire la protéine
spécifique à cette mélodie”.
La musique et les Plantes :
Mais Joël Sternheimer va plus loin. Si l’on connaît la succession de notes
correspondant à une protéine, on peut la stimuler; mais on peut aussi
l’inhiber, c’est-à-dire freiner sa fabrication. Il suffit pour cela
d’avoir la mélodie “symétriquement opposée”. Très schématiquement, si
la mélodie qui stimule est dans les “graves “, celle qui inhibera sera dans
les “aiguës “. Chaque acide aminé possédant son équivalent en note
stimulante et en note inhibitrice, on disposera de deux décodages, deux mélodies
pour chaque protéine…
Des recherches reconnues par la communauté scientifique.
En juin 1992, Joël Sternheimer, professeur à l’Université
européenne de la recherche, a déposé le brevet du ” Procédé de régulation
épigénétique de la synthèse protéique” .
La validité de son travail dans ce domaine a été reconnue par un jugement de
la chambre de recours de l’Office Européen des brevets en date du 8 mars
2004.
Selon Jean-Marie Pelt, président de l’Institut Européen d’Ecologie,: ”
Par ces recherches originales à la charnière de la biologie moléculaire et de
la physique quantique, Joël Sternheimer, nous donne peut-être la clef ou
l’une des clefs, des effets de la musique sur les plantes”?
Ainsi, faire régulièrement écouter à un plant de tomates la musique correspondant à une protéine jouant un rôle dans le mécanisme de sa floraison, stimule la production de cette protéine dans la plante, qui donnera plus de fleurs qu’à l’accoutumée !"
Source : http://www.neotrouve.com/?p=523
().
Et naturellement, l’homme est lui aussi sensible à cette mécanique musicale, et on pu déjà constater l'apparition de malaises.
Une étude intéressante qui représente une alternative avantageuse aux engrais qui appauvrissent nos sols. Étonnant. À voir.
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