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Max Keiser : "Goldman Sachs c'est de la vermine, [...] et ils sont vraiment malhonnêtes"
Vidéo # 1513 en Anglais, sous-titrée en Français ( ST
), insérée le Jeudi 10 Juin 2010 à 11h 40m 40s dans la catégorie "Argent, Banques, États, et Organisations mondiales"
Durée : non renseignée
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Cette vidéo est un débat organisé le 14 juillet 2009 par
la chaîne "France 24" sur le thème "Est-ce que Wall Street a retenu sa
leçon ?", avec comme invités Max Keiser
(), analyste financier, et
Moncef Cheikh Rouhou
(
), professeur de finances internationales à HEC.
Max Keiser compare la banque Goldman Sachs a "un ramassis de voleurs", et les les dirigeants de cette sinistre banque de "terroristes financiers", et il a bien raison.
Déjà, le thème de l'émission est absolument grotesque et très révélateur de l'ambiance de pensée unique qui règne dans les rédactions, et dans l'opinion publique en général : les gens croient que la bourse, le monde financier, Wall Street, etc., sont nécessaires à l'économie, et que sans tout cela on ne pourrait pas vivre, on ne pourrait pas produire, acheter, etc. C'est démentiel !
À cela, il faut ajouter que les requins de la finances ne tirent aucun leçon ! : ils sont là juste pour s'en mettre plein les poches, et peu leur importe que des nations entières meurent de faim, ou que tel ou tel pays se serre la ceinture pendant des années ! Tout ce qui importe pour eux, c'est l'argent facile, vitre gagné, sans rien faire, sans rien produire, sans rien apporter aux autres. Alors pour ce qui est de retenir la leçon, c'est une notion délirante, absolument incompatible avec ce genre de personnes...
Quelques compléments intéressants pour se forger sa propre opinion :
Le Sénat américain démontre que Goldman Sachs s'est enrichie grâce à la crise :
In
Goldman Sachs we trust
Une commission du Sénat américain a rendu public plusieurs courriels échangés par des responsables de Goldman Sachs et qui apportent la preuve que la banque d'investissement a empoché plusieurs dizaine de millions de dollars grâce à la crise.
AFP - Une commission du Sénat américain a publié samedi à un moment embarrassant pour Goldman Sachs des courriels montrant comment la banque Goldman Sachs a bénéficié de la crise des crédits immobiliers à risques pour empocher des dizaines de millions de dollars.
"UN CONFLIT D'INTÉRÊT INTERNE EST REPROCHÉ À LA BANQUE"
Par Emmanuel SAINT-MARTIN, correspondant à New York
Les messages n'apportent pas de preuve que la banque ait enfreint la loi, mais montrent ses dirigeants se gargarisant de profits réalisés grâce à la crise en 2007. Ces révélations tombent à un mauvais moment pour la banque, qui cherche à défendre son image alors qu'elle est visée par une plainte en justice pour fraude.
"Les banques d'investissement comme Goldman Sachs n'étaient pas de simples courtiers, elles étaient les promoteurs intéressés de produits financiers risqués et complexes qui ont favorisé l'éclosion de la crise", écrit Carl Levin, le président de la Sous-Commission sénatoriale permanente d'enquête, dans un communiqué accompagnant la publication de ces documents.
Dans un de ces messages, le PDG de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, écrit: "Nous n'avons bien évidemment pas échappé à la pétaudière des crédits immobiliers à risque. Nous avons perdu de l'argent et ensuite nous en avons gagné plus que nous n'en avons perdu grâce à nos positions courtes".
Les positions courtes sont des opérations boursières permettant à celui qui les passe de réaliser des gains en cas de baisse des titres sur lesquelles elles portent. Elles peuvent être prises dans un but purement spéculatif comme dans un souci de se protéger (lorsque l'investisseur détient lui même des titres sur lesquels portent ces positions).
Daté du 18 novembre 2007, le message de M. Blankfein est une réponse à un responsable de la banque l'avertissant de la publication d'un article dans le New York Times tendant à montrer que Goldman Sachs a échappé à la crise des crédits immobiliers à risque ayant éclaté quelques mois plus tôt.
M. Blankfein ajoute néanmoins: la crise "n'est pas terminée, donc qui peut dire comment cela se finira?"
Un autre des quatre courriels publiés par la sous-commission est daté du 25 juillet 2007 et écrit par David Viniar, le directeur financier de la banque. M. Viniar répond à un cadre de la maison montrant comment Goldman a empoché environ 50 millions de dollars en pariant sur la baisse de titres liés à des créances immobilières.
"Ca dit bien ce qui pourrait arriver à ceux qui ne sont pas blindés en positions courtes", écrit-il.
Un des courriels est daté de mai 2007, avant l'explosion de la bulle immobilière, et montre, selon M. Levin, que Goldman a gagné 2,5 millions de dollars grâce aux protections qu'elle avait prises contre la baisse de titres qu'elle vendait à ses clients.
Aucun porte-parole de Goldman Sachs n'avait pu être joint en milieu de journée pour réagir à la publication de ces documents .
L'autorité de régulation des marchés boursiers américaine (SEC) a porté plainte pour fraude contre Goldman Sachs le 16 avril.
La SEC accuse la banque d'avoir trompé des investisseurs en leur faisant faire des placements sur des titres risqués dont elle savait qu'ils allait baisser, sans les informer qu'elle-même pariait sur la baisse des produits qu'elle leur faisait acheter.
MM. Viniar et Blankfein doivent témoigner mardi devant la sous-commission présidée par M. Levin, avec Fabrice Tourre, employé français de Goldman Sachs au centre de la plainte de la SEC.
Selon le Washington Post de samedi, les dirigeants de la banque doivent déclarer à cette occasion que la banque d'affaires n'a pas cherché à tromper ses clients, ne sachant pas comment allait évoluer le marché des prêts immobiliers à risque.
Source : France
24 ().
Goldman Sachs affiche des profits en hausse de 92 % :
Par Pierre-Yves Dugua - 20/04/2010
Le géant de Wall Street est actuellement mis en cause par l'autorité américaine des marchés financiers.
De notre correspondant à Washington
Goldman Sachs a rendu compte de profits trimestriels de 3, 46 milliards de dollars, bien supérieurs aux anticipations. Le pilier de Wall Street a continué depuis janvier de gagner des parts de marché dans les métiers où il excelle: ceux des émissions de titres et du trading. Dans ce contexte, l'accusation de fraude portée contre Goldman Sachs par l'autorité américaine des marchés financiers, la «Securities & Exchange Commission» (SEC) semble prendre une tournure de plus en plus politique.
La SEC se révèle en effet divisée sur le bien fondé d'attaquer le géant de Wall Street au civil pour fraude. On a appris après coup que les deux commissaires républicains de la SEC ont voté contre cette décision, alors que leurs trois collègues démocrates, dont la Présidente Mary Schapiro, ont voté pour. Ce clivage partisan est surprenant dans le cas de la plus grande procédure intentée depuis une génération par la SEC contre la plus puissante banque de Wall Street.
Voilà qui renforce l'impression que le dossier sera difficile à plaider devant le tribunal civil du district sud de New York. L'absence de poursuites pénales contre Goldman Sachs à ce stade peut aussi être interprété dans ce sens. Cela rassure les avocats de l'institution la plus riche et la plus
vilipendée de Wall Street. Greg Palm, co-directeur juridique de Goldman Sachs, s'est déclaré mardi «très déçu» de la procédure lancée. Il maintient que la banque n'a rien à se reprocher et «n'a jamais trompé» ses clients sur la nature des titres qu'ils achetaient. Lloyd Blankfein, le patron de la banque
assiégée, a demandé à ses employés dans un message électronique vocal de «maintenir le degré de concentration sur les besoins de nos clients qui est au
cœur de notre réussite depuis 140 ans». Il a été convoqué la semaine prochaine devant une
commission d'enquête du Sénat. Il compte défendre Goldman Sachs et son rôle d'intermédiaire ambigu entre investisseurs aux vues
divergentes sur la tendance d'un même marché.
Le fait que la SEC n'ait pas donné à Goldman Sachs l'occasion de s'expliquer avant de rendre public l'accusation de fraude montre aussi le désir de l'agence de faire en passant un coup médiatique. La SEC a effectivement besoin de redorer son blason terni par ses échecs à piéger de grands fraudeurs comme Bernie Madoff et par son incapacité à contrôler les excès qui ont
déclenché la crise. La Maison blanche affirme en tout cas ne pas avoir piloté la procédure. Elle rappelle que la SEC est «une agence indépendante». Pour autant le scandale peut aider les démocrates à convaincre quelques républicains de se rallier rapidement à une réforme bancaire qui fait débat depuis un an. Barack Obama se rendra demain à New York pour prononcer un discours soulignant l'urgence d'une réforme qui corrige les excès qui ont précipité l'Amérique dans une crise grave.
Pendant ce temps en Grande-Bretagne, l'autorité réglementaire des marchés a lancé sa propre enquête relative aux pratiques de Goldman Sachs sur les marchés de produits dérivés à haut risque.
Source : LeFigaro.fr
().
Goldman Sachs poursuivi pour fraude liée aux «subprimes» :
La banque américaine est soupçonnée d'avoir trompé les investisseurs à propos de produits exposés aux subprimes, produits hypothécaires à risque. Elle a déclaré juger «complètement infondées» les accusations dont elle fait l'objet.
«Il était une fois, les sociétés de Wall Street protégaient les clients». Des propos ironiques de Christopher Whalen, le chef de la recherche du cabinet Institutional Risk analitycs, en réaction à l'annonce par la SEC (Securities and Exchange Commission) - le gendarme de la Bourse américaine - du dépôt d'une plainte pour fraude à l'encontre de Goldman Sachs.
La banque américaine aurait caché des faits cruciaux à propos de produits financiers touchés par la crise des subprimes. La fraude concernerait la structuration de CDO («collateralized debt obligations») liés à des prêts immobiliers à risque «subprime».
L'action Goldman Sachs a immédiatement été fortement touchée par cette poursuite judiciaire. Vers 17h35, le titre chutait de près de 14%, à 160,3 dollars, entraînant dans son sillage de nombreuses valeurs financières et les principaux indices mondiaux.
La SEC accuse la banque et l'un de ses vice-présidents, Fabrice Tourre, d'avoir trompé les investisseurs en dissimulant des faits capitaux sur le produit financier concerné alors que le marché immobilier américain commençait à se dégrader.
«Infondé» selon Goldman Sachs
«Les accusations de la SEC sont complètement infondées d'après la loi et les faits et nous allons les contester vigoureusement et défendre la firme et sa réputation», a déclaré la banque dans un communiqué.
Vers 19 heures, Wall Street était toujours affecté par la nouvelle, le Dow Jones abandonnant 1,31%, à 10.999 points - retombant sous le seuil hautement psychologique des 11.100 points - tandis que le Nasdaq glissait de 1,57%, à 2.476 points - la barre des 2.500 points étant également franchi en baisse - et le Standard & Poor's 500 cédait 1,75%, à 1.190 points, sous les 1.200 points.
Perte colossale pour son fonds immobilier
Ce vendredi matin, une autre mauvaise nouvelle a été mise au jour : le fonds immobilier Whitehall Street International géré par la banque américaine aurait perdu la presque totalité de sa valeur, selon le rapport annuel envoyé aux investisseurs le mois dernier, et publié ce vendredi par le Financial Times.
Le rapport fait état d'investissements malheureux aux États-Unis, en Allemagne et au Japon. Son actif net serait est tombé à 30 millions d'euros alors qu'il était précédemment estimé à 1,8 milliard d'euros (1.3 millards d'euros).
Source : LeFigaro.fr
().
Goldman Sachs surpasse les attentes :
Le Mardi 20 avril 2010
À droite : Lloyd Blankfein, le patron de Goldman Sachs.
Les revenus tirés des investissements de la firme sur les marchés (le trading) comptent encore pour la grande majorité du chiffre d’affaires chez Goldman Sachs.
Ils ont augmenté de 43% pendant les trois premiers mois de l’année par rapport à un an plus tôt. Et ils sont en hausse de 60% par rapport aux trois derniers mois de 2009.
Goldman Sachs a surpassé les prévisions de profit des analystes par près de 40% en dévoilant un bénéfice par action de 5,59$ mardi matin.
Dans le communiqué qui présente les résultats (et qui est disponible en cliquant ici), le PDG Lloyd Blankfein se dit «encouragé par les perspectives de croissance de l’économie».
Il ajoute aussi que «compte tenu des récents événements au sujet de la firme, nous apprécions l’appui des clients et des actionnaires et le dévouement de nos employés».
Lloyd Blankfein ne doit pas participer à l’appel conférence qui est prévu à 8h.
Il a plutôt délégué le chef du contentieux et le chef des finances pour expliquer davantage les résultats et surtout pour commenter les accusations de la SEC.
Le calendrier économique du jour est plutôt mince. Plusieurs compagnies publient par contre leurs résultats financiers. Il y a, entre autres, Apple, Yahoo, Teck Resources, Coca-Cola, TD Ameritrade, Johnson & Johnson, Harley-Davidson, Novartis, Delta Air Lines, Bank of New York Mellon et State Street.
Citigoup tient aujourd’hui l’assemblée annuelle de ses actionnaires à New York. La banque a surpassé les attentes des marchés lundi en publiant ses résultats trimestriels.
Le président de la Fed, Ben Bernanke, doit témoigner aujourd’hui à Washington devant un comité des finances qui se penche sur la déconfiture de Lehman Brothers.
Vers 9h, la Banque du Canada publiera un communiqué dans lequel elle doit confirmer que le taux cible de financement à un jour restera à 0,25% jusqu’à la fin du deuxième trimestre.
Peu avant 8h, les contrats à terme sur l’indice Dow Jones se négociaient de manière stable, ce qui ne permet pas d’anticiper de quel côté la Bourse de New York va pencher lors de l’ouverture officielle des marchés à 9h30.
Source : LaPresseAffaires.ca
().
Comme vous pouvez le constater, Max Keiser est un sacré bon analyste financier, et il voir clair dans le jeu de cette banque qui volé des milliards au peuple américain, et ruiné des millions de personnes, ainsi que certains de ses propres clients ! C'est ahurissant ! Il faut arrêter tous ces dirigeants-escrocs, les mettre en prison pour le restant de leurs jours, et TOUT leur prendre : maisons, bateaux, autos, argent et valeurs, les vendre et donner le produit aux organisations qui s'occupent des pauvres, des miséreux, des gens qui ne peuvent se soigner.
Une vidéo à voir absolument !
Nota Bene 1 : Des vidéos complémentaires sur le cas Goldman Sachs ont été ajoutées à la suite, afin de vous aider à vous forger votre propre opinion.
Nota Bene 2 : si vous voir toute la fausseté et le mépris que les dirigeants de Goldman Sachs ont pour les gens, ne manquez surtout pas "Le patron de Goldman Sachs Europe trompe les citoyens avec la complicité d'Europe 1", une vidéo également visible sur ce site, [ici].
Le 21 Février 2013, vers 11h00, ma chaîne
UBest1 a été supprimée avec ses 5101 vidéos.
Pour cette raison, si la mention "Error 404" apparait ci-dessous,
il m'est impossible de vous servir la vidéo demandée. Désolé, vraiment.
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