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Les laboratoires pharmaceutiques hébergent en toute impunité d'odieux criminels coupables de crimes contre l'humanité
Vidéo # 1961 en Français () insérée le Mercredi 6 Octobre 2010 à 1h 45m 25s dans la catégorie "Argent, Banques, États, et Organisations mondiales"
Durée : 03 min 48 sec
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Cette vidéo est un montage amateur très pertinent sur la politique de fond des laboratoires pharmaceutiques.
Nom de code : RU 58668 : La santé ou les superprofits ?
L’Humanité avait révélé, le 12 juin 1996, l’abandon de la RU 58668, un anti-estrogène très prometteur dans le traitement des cancers du sein, issus de dérèglements hormonaux. Deux cent cinquante mille femmes affrontent, chaque année dans le monde, cette maladie hautement mortelle.
Mais pour la direction, le RU 58668 n’était pas susceptible de générer suffisamment de profits. Jean-Pierre Godard, le président de Roussel UCLAF nous avait avoué à l’époque que la "question fondamentale" pour lui, c’était : "Où en est le besoin médical non satisfait, qui a un potentiel suffisamment attractif pour que je mette mon argent dessus ?". Pas attractif, le RU 58668 ? Il dispose pourtant de hautes potentialités pour faire régresser les tumeurs, mais aussi pour réduire les métastases.
Jamais le divorce n’avait été aussi flagrant entre les besoins de santé et la course aux profits. Désormais, la seule obsession des dirigeants d’HMR, c’est de satisfaire l’appétit des fonds de pension américains. Objectif avoué, un taux de profit de 20 % à 30 % annuel ! C’est d’autant plus scandaleux qu’en France, HMR réalise 80 % de son chiffre d’affaires avec la Sécurité sociale.
Hier, les laboratoires étaient dirigés par des scientifiques et/ou des capitaines d’industrie. Voici venue l’ère des financiers, tenanciers de molécules. Pourtant, sur 40 000 maladies identifiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), seules 15 000 bénéficient de traitements. Écœuré, un chercheur de HMR nous confie : "Arrêter une molécule n’a rien de scandaleux, si c’est sur des critères scientifiques, en cas de toxicité, par exemple. Mais actuellement, les recherches sont stoppées sur des critères économiques. HMR estime qu’un produit doit être abandonné s’il ne rapporte pas au minimum 2,4 milliards de francs".
Tous les hypergroupes pharmaceutiques adoptant la même logique, ils se ruent sur les productions les plus rentables, destinés aux pays riches. Un autre scientifique de HMR déplore cette concurrence désastreuse : "On vend des médicaments comme des aspirateurs. Les coûts de marketing deviennent dix fois plus élevés que ceux de la recherche. Il y a dix ans, si un produit n’était pas au " top ", il passait à la poubelle. On lance désormais un produit même s’il n’est pas tout à fait au point, même s’il y a déjà dix médicaments identiques sur le marché. Cela se résume à une guerre à coups de pub. Il y a une perte de l’éthique. Je ne comprends pas l’intérêt de ce gigantisme. Il existe des petits laboratoires qui vivent bien." Avec d’autres chercheurs et salariés d’HMR, il réfléchit à une solution alternative à la vente programmée du site de Romainville.
Cette logique du tout profit mène à une catastrophe planétaire. Les pays pauvres sont livrés à eux mêmes. Le prix Nobel de la paix 1999, Médecins sans frontières dénonce cette dérive : sur plus de 1 200 médicaments nouveaux, commercialisés depuis 1975, onze seulement servent à soigner une maladie tropicale. Ainsi la maladie du sommeil, transmise par la mouche tsé-tsé. L’OMS estime à 55 millions les personnes exposées dans la seule Afrique de l’ouest ; 300 000 cas par an. Sans traitement, la mort est inéluctable. Il en existait un, très risqué. Le médicament contient de l’arsenic, un poison qui achève jusqu’à 5 % des personnes traitées. Les chercheurs ont mis au point un médicament non toxique, l’Eflornithine. HMR qui a récupéré le produit, l’a finalement estimé trop coûteux et l’a retiré du marché !
L’allemand Hoechst (le H de HMR) et Rhône-Poulenc ont annoncé qu’ils renonçaient à la recherche d’un vaccin contre le sida. Parce qu’il est plus rentable de soigner lorsque la maladie est déclarée ?
Il y a des crimes qui mériteraient d’être inscrits dans le Code pénal.
Mina Kaci et Serge Garde du journal du parti communiste français "l’Humanité."
Une vidéo où tout est dit, ou presque, car pourquoi la justice ne se saisit-elle pas de ces criminels pour les inculper de crimes contre l'Humanité, ou du moins, de non assistance à personnes en danger, car enfin, ces odieux cadres supérieurs sont au courant de l'existence de centaines milliers de malades dans le monde, et aussi de l'existence d'un traitement efficace découvert dans leur propre laboratoire ???!!.
À voir, afin de bien comprendre la nature du monde mercantile atroce dans lequel nous vivons, et que nous les citoyens nous avons laissé se mettre en place à notre nez et à notre barbe. En avant pour dénoncer, combattre et punir tous ces gens qui vendent nos santés et nos vies pour de l'argent !
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