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"Global Sushi, demain nos enfants mangeront des méduses"
Vidéo # 2407 en Français () insérée le Mercredi 2 Février 2011 à 0h 52m 52s dans la catégorie "OGM, Produits Chimiques, Agriculture, et Alimentation"
Durée : non renseignée
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Cette vidéo est un documentaire de Jean-Pierre Canet et Damien Vercaemer sur le phénomène de la surpêche, qui intervient paradoxlement au moment même où les ventes des sushis sont en train sont en train d'exploser un peu partout dans le monde.
Synopsis :
En moins de vingt ans, une petite boulette de riz couverte d’une tranche de poisson cru a conquis le monde. Ce drôle de mini-sandwich n’est ni américain, ni chinois, encore moins européen. Le sushi est japonais.
Sans tapage, sans publicité. le sushi est sorti des frontières du Japon pour devenir l'un des emblèmes de la «world food». Pourtant, sa consommation en particulier et celle du poisson en général n'est pas sans conséquences sur la biodiversité marine.
La folie du sushi coïncide en effet avec la pire période de l’histoire des océans : la disparition programmée de la majeure partie de la biodiversité marine.
La plupart des scientifiques considèrent en effet que, d'ici à 2050, 75 % des espèces de poissons auront
disparu, et selon la FAO (une agence de l'ONU), si rien n’est fait d’ici à 2050, 75 % des espèces de poissons
auront disparu pour toujours... Ils estiment en outre que la flotte mondiale de bateaux de pêche a une capacité de capture deux à trois fois supérieure à ce que la mer peut fournir chaque année à l'espèce humaine.
En remontant la filière du sushi, Jean-Pierre Canet, Damien Vercaemer et Jean-Marie Michel expliquent en quoi la pêche intensive et destructrice malmène les océans.
En bateau, par avion, des ports de Méditerranée aux meilleures tables de Dubaï ou Los Angeles, avec les pêcheurs sénégalais, au fond des fast-food de Shanghai (« shousi »), et sur l’île Chiloe, au Chili, nous dresserons le portrait de ce petit sushi qui en dit tellement long sur la nature humaine et l’état du monde.
Pour en savoir plus :
Résolument engagé dans la défense de la biodiversité marine, GLOBAL SUSHI nous interpelle sur notre rapport à la nourriture et à la nature. Entre plaisir et caprice, il semble qu’une bonne part de notre système agroalimentaire ait clairement choisi de nous inciter au caprice : pouvoir manger exactement ce que l’on veut, n’importe quand et n’importe où. Un constat particulièrement vrai en ce qui concerne les produits de la mer avec, comme symbole de cette apparente corne d’abondance, le boum mondial du sushi.
Une folie du sushi qui coïncide malencontreusement avec la pire période de l’histoire des océans et avec la disparition programmée de la majeure partie de la biodiversité marine dans les inquante prochaines années. La plupart des scientifiques considèrent en effet que, d’ici à 2050, 75 % des espèces de poissons auront disparu. Ils estiment en outre que la flotte mondiale de bateaux de pêche a une capacité de capture deux à trois fois supérieure à ce que la mer peut fournir chaque année à l’espèce humaine.
Bien sûr, tous les poissons pêchés ne finissent pas leur vie en sushi. Loin de là. Mais ce dernier est symptomatique de notre rapport à la nourriture dans le contexte d’une industrie agroalimentaire intensive : ingurgiter des aliments qui semblent déconnectés de la nature.
Jean-Pierre Canet, Damien Vercaemer et Jean-Marie Michel, les réalisateurs, ont choisi de remonter la filière du sushi jusque dans les profondeurs des océans, d’où proviennent les poissons et les crustacés qui se retrouvent à défiler sous nos yeux, en tranches, dans les bars à sushi. Ils entendent lever le voile sur cette économie de la pêche bien souvent intensive et destructrice, qui règle sa marche sur le profit à court terme et met en péril la biodiversité des océans.
Derrière le sushi se cache ce que les scientifiques appellent la « surpêche » ; ce documentaire souhaite la mettre en évidence, en démonter les mécanismes. Pêcheurs, éleveurs de poissons, scientifiques, industriels, multinationales, restaurateurs, célébrités, responsables politiques et consommateurs anonymes : au comptoir du sushi bar, chacun, à son niveau, joue un rôle majeur.
Source : mixing personnel depuis CapaTV () et TelleEstMaTélé ().
Surpêche au Japon - Et ne nous leurrons pas, c'est partout pareil...
La surpêche est un problème simple qui illustre parfaitement certaines problématiques liés aux défauts humains récurrents (comme la cupidité et l'égoisme), pourtant si facile à résoudre d'un point de vue pratique pour la planète : d'une part, il est suicidaire de surpécher, puisque que cela tarit la source d'abondance qui nous nourrit, et l'assèche définitivement, c'est-à-dire de manière irréversible, mais en plus cette surpêche engraisse les grandes et moyennes sociétés de pêche, qui emploient des millions d'esclaves sous-payés.
La solution est pourtant simple :
La priorité, c'est la planète, car sans elle, il d'y a pas d'Humanité. Donc, il faut imposer par la loi (et par la force armée s'il le faut) des quotas de pêche qui assurent de façon certaine la régénération des espèces d'une année à l'autre, de manière à reconstituer les sources de poissons sans qu'elles ne puissent jamais disparaître.
Après la planète, la priorité, c'est homme, et non le profit en faveur de quelques uns au détriment de toute la Terre et de la très grande majorité de l'Humanité. Il faut donc interdire de par la loi toutes les grosses et moyennes sociétés de pêche afin de donner ce business aux pêcheurs physiques (et non à des personnes morales de type industriel), c'est à dire à des familles qui ont au plus 1 ou 2 bateaux de pêche (1 ou 2 : cela demande une étude pour le déterminer. Si un seul bateau permet de faire vivre décemment, convenablement, un pêcheur et sa famille, alors il faut limiter ce nombre à un seul). En procédant ainsi, il n'y aura pratiquement plus de sociétés commerciales qui exploitent la mer à leur profit exclusif, et de nombreuses familles à travers le monde pourront vivre de la pêche. En fait, tous les profits des sociétés de pêche iront désormais dans la poche de personnes physiques beaucoup plus nombreuses du fait de la disparition de ces sociétés et des techniques industrielles qui pillent la mer. Car enfin, tous ces poissons appartiennent à l'Humanité et non à quelques uns. Comment des sociétés commerciales privées peuvent-elle s'accaparer une telle richesse qui ne leur appartient pas ??? Comment laisse-t'on de pareils cupides iniques voler cette fabuleuse manne marine planétaire ??? Il faut en finir définitivement avec tous ces voleurs !!!
Comme on le constate, la solution au problème de la surpêche et des pécheurs est simple. C'est juste une question de volonté politique. Tout le reste n'est que justifications et artifices mentaux pour ne pas mettre en oeuvre cette solution juste, viable, et durable pour la planète et pour l'homme.
Cette vidéo n'a pas encore été évaluée.
Nota Bene : voir absolument cette page sur l'état des lieux désastreux de notre planète : http://www.oca.eu/gemini/pagesperso/nardetto/PlaneteBleue.htm (). Édifiant !
Le 21 Février 2013, vers 11h00, ma chaîne
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