Cette vidéo est un documentaire de Kenichi Watanabe sur les dessous cachés et les enjeux véritables du développement et du tir de la première bombe atomique sur Hiroshima par les américains.

Synopsis :

Le 6 août 1945, la première bombe atomique de l'histoire détruit une ville de 100 000 habitants en quelques secondes.

Jusqu'à ce jour, Hiroshima et Nagasaki sont les deux seules villes où des armes nucléaires ont été dirigées contre des êtres humains.

«La face cachée de Hiroshima» revient sous un angle inédit sur les faits qui ont entouré les premières explosions atomiques de l'histoire de l'humanité.

Depuis les coulisses du Projet Manhattan jusqu'aux recherches secrètes menées au Japon des décennies durant, le film dévoile l'histoire fascinante des scientifiques qui ont conçu et expérimenté la bombe nucléaire.

Source : Programme TV.

Compléments et critique :

Un documentaire décrypte les enjeux politiques et industriels qui se cachent derrière le largage des bombes nucléaires de 1945.

La Face cachée de Hiroshima revient sous un angle inédit – images d’archives rares et témoignages à l’appui – sur les faits qui ont entouré les premières – et heureusement seules à ce jour – explosions atomiques à vocation meurtrière de l’histoire de l’humanité : celles de Hiroshima et Nagasaki en août 1945. 

Depuis les coulisses du Projet Manhattan jusqu'aux recherches secrètes menées au Japon des décennies durant, le film, signé Kenichi Watanabe, dévoile l'histoire des scientifiques qui ont conçu et expérimenté la bombe nucléaire. 

Et, surtout, il donne à voir tous les intérêts politiques, industriels, militaires et médicaux qui étaient en jeu à cette occasion. Un « mal nécessaire », Hiroshima, comme l’a avancé l’Armée américaine ? Pas si sûr après la vision de La Face cachée de Hiroshima.

« La Région nous a permis de réussir un film exigeant et ambitieux »

« La Région, en apportant son soutien financier au projet, « nous a permis de réussir un film exigeant et ambitieux qui aborde un sujet méconnu et qui nous concerne tous, encore plus après la catastrophe de Fukushima », explique la productrice, Christine Watanabe. Et ce soutien a été d’autant plus appréciable, selon elle, que le film, réalisé entre mai 2010 et septembre 2011, est constitué essentiellement d’archives, « ce qui a occasionné des frais d’acquisition importants et des frais techniques également très coûteux ».

Les tournages ont eu lieu à la fois aux Etats-Unis et au Japon (à Hiroshima). De même que la recherche d’archives. Plusieurs personnes y ont d’ailleurs travaillé durant de longs mois côté américain (au National Archives and Records Administration) en coordination avec une documentaliste basée en France, tandis que c’est le réalisateur qui s’est lui-même chargé de la collecte sur le sol nippon.

Concernant la partie post-production du documentaire (lequel a au final deux versions : l’une pour France 3, l’autre pour la NHK japonaise), elle s’est opérée entièrement en Île-de-France : la conformation des images, qui a demandé « énormément de temps », comme le souligne Christine Watanabe, ou encore le montage, l’étalonnage et le mixage. Le tout confié à des prestataires comme Sylicone, L’Envol et KanaSons essentiellement.

Installé en France depuis 1997, Kenichi Watanabe a réalisé de nombreux films sur les rapports historiques, économiques et culturels entre l'Asie et l'Occident, comme Hanae Mori et les tisserands de Lyon (2000), grand prix artistique du Festival nature et environnement de Grenoble (2004), Toyota à Valenciennes (2005) et Le Japon, l’Empereur et l’Armée, sélectionné au Fipa en 2010.

Source : Ile de France.

Un fait peu connu important à savoir, c'est que que l'avion qui a lâché la bombe sur Hiroshima a été baptisé par le pilote du nom de sa mère : "Enola Gay". D'un point de vue ésotérique, cela signifie que la mère de cette bombe est "La perversité de la multitude", par "Enola" qui est le contraire du mot anglais "alone" (le contraire de "seul" = la multitude) et "gay" (homosexuel) indiquant la perversité. Au final, cela signifie que la mère de cette bombe est la multitude perverse, c'est-à-dire la Légion du Moi pluralisé qui se cache dans l'homme, les Ténèbres, le Mal, la méduse psychologique inconnue de l'humanité que chaque personne de cette infortunée planète porte au dedans de lui -même et qui est résumée par les 7 péchés capitaux : une multitude de parasites infrahumains et pervers qui sont structurés selon les 7 familles de péchés qui infestent secrètement l'âme de chaque être humain.

Un documentaire de premier ordre, montrant le secret, la censure, les opérations et les mensonges innommables dont se sont rendus coupables les américains.

Un must à ne rater sous aucun prétexte qui nous apprend nombre de choses qui nous ont été volontairement cachées.