Cette vidéo, "Camp Fema : le verrouillage de l'Amérique" est un film de William Lewis, co-produit par Alex Jones, sur les camps de la FEMA ("Federal Emergency Management Agency"), un organisme américain chargé à l'origine de subvenir aux besoins en logistique et à la gestion des crises dans le cadre de la protection civile lors de catastrophes, mais qui, depuis les années 90, s'est progressivement transformé de façon malsaine, pour devenir définitivement, sous la présidence de Georges W. Bush, un outil de contrôle des populations, doté de lois iniques permettant, en autre, d'établir une loi martiale, et même de supprimer la constitution américaine et tous les droits constitutionnels garantis par le "Bill of Rights"…

Partant d'un exemple fort et probant, ayant eu lieu lors de la seconde guerre mondiale, de l'arrestation par l'armée américaine, puis de la détention, et enfin de la déportation de plus de 120.000 américains d'origine japonaise, et de toute leur famille, vers des "centres de relogements", vers des "wartime communities", sous le commandement et le contrôle de la "War Relocation Autority", le film montre et démontre comment l'administration américaine a déjà une grand expérience de l'arrestation, de la détention, du maniement, du transport, et de la gestion des populations, lorsque celles-ci deviennent des "indésirables", des gêneuses ou des "risques" pour le gouvernement. Non seulement ces "war relocation camps" étaient entourés de barbelés, mais ils étaient aussi surveillés par une police militaire spéciale, et ces prisonniers étaient "ré-éduqués" et contraints au travail forcé… ; quand on sait que l'attaque sur Pearl Harbour était connue de certains, et que tout a été fait pour laisser les japonais attaquer cette île et permettre ainsi aux États-unis d'entrer en guerre, on ne peut que constater malheureusement, une fois de plus, que la déportation de ces innocents est encore un bel exemple de la nature démocratique et humaniste de ceux qui dirigent effectivement les États-Unis…

La survenue des attentats orchestrés du 11 Septembre 2001 a re-déclenché un processus identique : non seulement cela a permis à l'oligarchie de restreindre les libertés fondamentales par tout un train de lois et de mesures liberticides sous couvert d'accroître la sécurité intérieure pour cause de terrorisme, mais un nouveau ministère le "Department of Homeland Security" a vu le jour, et des citoyens ont commencé à être arrêtés par milliers dans l'hystérie de guerre collective qui a surgi après ces attentats…

1. Le rétablissement national d'urgence.

2. La continuité du gouvernement.

3. La lutte contre la menace de l'ordre politique et social existant.

Dans ces conditions, on ne peut être que très inquiet pour le futur… À fortiori parce-que la devise du "Department of Homeland Security" est de "protéger la nation des gens dangereux", ouvrant par ainsi la porte à tous les abus contre les personnes qualifiées subjectivement ou volontairement de "gens dangereux"…
Dangereux pour qui ? Qui Bono ? (À qui profite le crime ?) Voilà deux questions essentielles parmi les questions fondamentales à se poser...

• La gestion par la FEMA de l'ouragan Katrina qui a obligé 90% de la population de la Nouvelle-Orléans à quitter leur maison, ou ce qu'il en restait, sans même que celle-ci ne leur vienne directement au secours, et leur fournisse finalement des caravanes toxiques empoisonnées au formaldéhyde,

• Le test militaire "Readiness Exercise 1984 (REX84)" de capacité de l'armée américaine à détenir un grand nombre de citoyens américains en cas de troubles civils ou d'urgence nationale, de grandes manifestations ou de grèves pouvant affecter la continuité du gouvernement,

• L'historique de la FEMA et son terrible mémo de 1982 qui prévoyaient d'interner dans des camps toute la minorité noire, considérée alors comme une menace potentielle,

• L'un des rapports du "Department of Homeland Security" qui définit les "anti avortements", de même que ceux qui croient aux prophéties de la fin des temps ou à la sainteté de la vie, à la sainteté du mariage, ou qui sont concernés par les taux exorbitants des divers impôts, etc., comme des "terroristes domestiques",

• Le million d'américains qui sont surveillés et considérés comme de potentiels terroristes,

• La mise en place du "Patriot Act" qui permet d'arrêter n'importe quelle personne sans qu'elle puisse accéder à un juge, à un avocat, ou même à sa famille,

• La "National Security Presidential Directive #51" signée en Mai 2007 par le président Georges W. Bush, et qui permet, dans le cas d'une crise majeure, de remplacer toutes les procédures gouvernementales usuelles par une coopération des pouvoirs fédéraux législatifs, exécutifs et judiciaires, comportant en plus des parties secrètes que le "Homeland Security Commity" a refusé de dévoiler aux représentants de la chambre du Sénat qui l'avaient pourtant demandé,

• Les programmes de la CIA visant à enquêter et à semer la confusion dans les organisations politiques dissidentes à l'intérieur même des États-Unis,

• Certains documents du FBI montrant que ce bureau surveillait les mouvements pacifistes, les organisations prônant la non violence, les droits humains, ou l'égalité raciale, et bien d'autres mouvements légitimes, démocratiques, et inoffensifs,

• Les opérations du FBI visant à infiltrer les organisations mentionnées ci-dessus, dans le but de saper leur moral et de saborder leurs projets, de conduire une guerre psychologique systématique en propageant de fausses histoires dans les médias, ou en envoyant de fausses lettres ou des appels téléphoniques anonymes, en montant également de faux groupes dirigés par des employés du gouvernement, et en en menaçant des parents, des employeurs, etc.

• Les opérations du FBI visant à harceler juridiquement les gêneurs, les dissidents, et les activistes, pour les faire apparaître comme des criminels, et usant même de faux témoignages, et de la fabrication de fausses preuves, réalisés par des officiers assermentés, comme prétextes à des arrestations et à des emprisonnements injustifiés…,

• L'utilisation par le FBI de lois gouvernementales et fiscales pour harceler et emprisonner toutes les personne gênantes,

• L'utilisation par le FBI de la force extra-juridique et de la violence, par des cambriolages, du vandalisme, et des agressions physiques,

• Le projet "Megiddo" du FBI, qui consiste en un fichier, créé à partir de 1999, recensant tous les citoyens qui revendiquent le droit de porter une arme, le droit à la propriété privée, le droit de l'école à la maison, et aussi tous ceux qui supportent la constitution des États-Unis, tous ceux qui pensent que les élections sont truquées, tous ceux qui pensent qu'un nouvel ordre mondial existe, et que des bases militaires seront utilisées comme camps de concentration,

• L'arrestation de personnes ayant un autocollant de Ron Paul (un sénateur qui défend les libertés constitutionnelles) ou de Chuck Baldwin (un pasteur baptiste qui est une figure politique militant au sein du Parti constitutionnaliste),

• La formation de la police dès 1990 à reconnaître les "terroristes domestiques", et notamment, tous ceux qui supportent la constitution, le deuxième amendement (celui qui garantit à citoyen américain le droit de porter des armes), tous ceux qui ont une forte conviction religieuse ou qui sont membre d'un culte quelconque, et d'une manière générale tous ceux qui ont une forte conviction en quelque chose,

• Le "MIAC Strategic Report" publié par l'état du Missouri le 20 Février 2009 appelé "Les milices modernes", qui définit comme "alerte rouge" ceux qui arborent des autocollants politiques du Sénateur Ron Paul, les conspirationnistes qui parlent de l'autoroute reliant le Canada au Mexique, la possession de littérature dite "subversive", ceux qui arborent un autocollant qui s'oppose à la création de la "North American Union", ceux qui luttent contre les puces RFID, les Nations Unies, etc.,

• Le "profilage" systématique des individus par divers services gouvernementaux,

• Le création de fausses organisations qui propagent des mensonges, relayés bien sûr par les médias alignés,

• Le rapport du "Homeland Security Department" daté du 7 Avril 2009 qui affirme que les vétérans et les gens armés sont LA menace prioritaire que l'armée des États-Unis doit combattre,

• Le contrôle total de tous les grands médias, qu'ils soient télévisés, radiophoniques, ou journalistiques,

• La suspension du premier amendement (interdisant au Congrès des États-Unis de faire des lois limitant la liberté de religion et d'expression, la liberté de la presse ou le droit à s'assembler pacifiquement) pour les manifestations qui sont désormais interdites dans le centre des villes, pour être reléguées dans un stade, une église, etc.,

• "L'Army Regulation 2010-35" du "Civilian Inmate Labor Program" créé en 1986, et demeuré secret pendant plus de 10 ans, qui stipule de convertir des bases militaires en prisons géantes pour les civils, incluant un système de travail forcé, et qui détiennent actuellement des milliers de prisonniers, qui sont des condamnés civils…,

• Le nombre de camps de travaux forcés a été doublé, le faisant passer de 12 à 24,

• Le nombre des camps inouï de le FEMA : 600, en 2009,

• Les nouvelles brigades du "Homeland Security" qui sont passées de 3000 à plus de 40.000 hommes, et qui sont constituées de troupes de combat aguerries ayant dirigé des camps en Irak, qui pourront être appelées en cas de troubles civils et pour le contrôle des foules, et ce, malgré le "Posse Comitatus" ("Pouvoir du Comté") adopté le 16 Juin 1878, interdisant formellement aux forces armées américaines d'effectuer le travail des forces de l'ordre, sauf en cas de dérogation de la constitution ou du Congrès, mais dont la loi H.R. 5122, le "John Warner Defense Act" de 2006, signé par le président Georges W. Bush, réduit à néant le "Posse Comitatus",

• Le "USA Patriot Act" qui autorise les forces de l'ordre d'arrêter et d'incarcérer les citoyens américains, indéfiniment et sans charge, à conduire sans mandat des fouilles secrètes dans les possessions et propriétés des Américains,

• Le "Military Commission Act" qui dissout la constitution en supprimant la pratique de "l'Abeas Corpus" permettant ainsi l'emprisonnement permanent de combattants ennemis en rejetant tout recours à un tribunal afin de savoir pourquoi on a été mis en prison,

• L'infâme projet de loi "Violent Radicalisation Homegrown Terrorism Prevention Act" faisant des manifestations, et des protestations, des actes de terrorisme, et donnant à leurs organisateurs, ainsi qu'à tout dissident, le titre de "criminel de la pensée" (C'EST le roman de Georges Orwell "1984" !) et la qualification de "terroriste domestique",

• Le "National Emergency Centers Establishment Act" ou loi H.R. 645 autorisant les bases militaires à être transformées en centre d'urgence de la FEMA selon une réplique des camps d'internements des américains japonais dans les années 40, tout cela présenté pour le "bien de la population"…,

• Etc., etc., etc… (et la suite du documentaire va vous laisser "sur le cul"),

on perçoit la nature profondément ultra-fasciste de ceux qui prennet les décisions aux États-Unis, et tout cela, dans le but de soit disant "maintenir l'ordre politique et social existant"… Absolument effarant, absolument consternant, absolument hallucinant…

Nota Bene : La mention "100% IMPURS PORCS FASCISTES" n'a absolument aucune connotation religieuse, et fait directement référence, de manière ironique, à la mention "100% PUR PORC" apposée sur certains produits alimentaires.