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"C dans l'air : qui espionne qui ?" - 13 Juin 2013
Vidéo # 6007 en Français () insérée le Dimanche 16 Juin 2013 à 8h 38m 21s dans la catégorie "Renseignement, Espionnage, Guerre électronique, et Surveillance"
Durée : 01 hr 05 min 32 sec
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Synopsis :
Les révélations d’Edward Snowden, un ex-employé de la CIA, sur le programme de surveillance de l’Internet (Prism) de l’agence de sécurité nationale (NSA) américaine provoquent une polémique planétaire et relancent le débat sur la protection de la vie privée, à l’heure de la révolution numérique.
C’est une nouvelle affaire qui tombe mal pour l'administration Obama. Après les écoutes téléphoniques des journalistes d'AP (Associated Press), la presse anglophone a dévoilé l'existence d'un programme de surveillance des citoyens étrangers. Photos, réseaux sociaux, sites consultés… de nombreuses données ont été transmises aux autorités américaines par le biais du programme Prism. Mais que se cache-t-il derrière ce nom qui fait réagir la planète entière ?
Détaillé dans une présentation Powerpoint fournie par Edward Snowden, un ancien employé de la CIA, et publiée sur le site du Washington Post, le programme américain de surveillance des internautes étrangers reste un mystère à bien des égards. Son fonctionnement exact est le sujet de déclarations contradictoires, depuis sa révélation, vendredi 7 juin 2013. D'abord compris comme un accès direct de la National Security Agency (NSA) et du Federal Bureau of Investigation (FBI) aux serveurs de neuf géants d'Internet, comme Yahoo, Google, Microsoft ou Facebook, le système a par la suite été décrit comme un moyen de centraliser les informations collectées par les services de renseignement américains à l'étranger.
Pour l’heure, difficile de savoir si la NSA a pioché directement dans les serveurs à l’insu des entreprises ou si ces dernières lui ont ouvert les portes. Quoi qu’il en soit, cette affaire relance le débat sur la surveillance des États au nom de la sécurité et sur le respect de la vie privée à l’heure de la révolution numérique.
Ainsi, outre-Atlantique, l'une des principales organisations de défense des droits civiques, l'ACLU (American Civil Liberties Union), a porté plainte, mardi 11 juin 2013, contre le Prism. Elle vise James Clapper, le directeur du renseignement, les responsables de la NSA, du département de la Justice, du département de la Défense et du FBI. L'ACLU estime que le Prism viole la Constitution américaine : la liberté d'expression (1er amendement) et la protection de la vie privée (4e amendement). De son côté, la Fondation Mozilla a publié une pétition réclamant au Congrès de faire la lumière sur l'étendue du programme Prism : Stop Watching Us (en français, « Arrêter de nous surveiller »). Et selon les derniers sondages, la majorité des Américains se disent choqués par cette affaire.
Interpellé, Barack Obama a tenté de désamorcer les critiques. Dans un discours pour défendre les agences, le président américain a déclaré la semaine dernière que l'on ne pouvait pas avoir en même temps « 100 % de sécurité et 100 % de confidentialité ». Le chef de la NSA a, de son côté, défendu hier devant le Sénat l'utilité de ce programme de surveillance d'Internet, qui aurait contribué à empêcher « des dizaines d'actes terroristes », alors que les réactions sont de plus en plus vives aux États-Unis mais aussi en Europe. L'affaire Prism n'a pas fini de faire débat, semble-t-il.
Source : France 5.
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