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Crise financière et économique : "Mamie fait de la résistance" - Version avec son rehaussé
Vidéo # 7309 en Français () insérée le Lundi 2 Juin 2014 à 4h 07m 12s dans la catégorie "Crises"
Durée : 51 min 05 sec
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Cette vidéo est un road movie de Havard Bustnes de 2014 où avec leurs déambulateurs à moteur, Shirley et Hinda, deux vieilles dames courageuses de 90 ans, posent la question brûlante : comment sortons-nous de cette crise ?
Synopsis :
Deux grands-mères traversent les États-Unis pour comprendre les tenants et les aboutissants de la crise financière.
Ayant connu, enfants, la crise de 1929, elles restent circonspectes face aux analyses de la plupart des économistes d’aujourd’hui. Pour tenter de comprendre les tenants et les aboutissants de la crise actuelle, et surtout pour bousculer l’idée selon laquelle la croissance serait la clé de tous nos maux, les deux femmes entreprennent un voyage à travers les États-Unis, à la rencontre de professeurs, d’économistes, de chercheurs hétérodoxes comme le physicien Albert Allen Bartlett ou l’économiste écologiste Joshua Farley qi sont plus disposés à leur répondre que les décideurs de Wall Street, et même de ceux qui tiennent les cordons de la bourse amérciane.
Les nonagénaires Shirley et Hinda ont vu la crise de 1929 à travers leurs yeux d’enfants. Quatre-vingts ans et une nouvelle récession plus tard, elles n’ont rien perdu de leur impertinence et de leur curiosité.
Elles ne comprennent pas les discours qu’on leur assène : consommer, relancer la croissance… Mais pourquoi, au juste ? À quoi mène cette obsession du PIB dans un monde aux ressources limitées ? En accumulant toujours plus de biens, ne s’enfonce-t-on pas dans la crise au lieu d’en venir à bout ?
Armées de leur esprit critique et d’un culot à la Michael Moore, elles partent pour un road trip à travers les États-Unis, à la rencontre de ceux qui pourront les renseigner. Les chercheurs hétérodoxes comme le physicien Albert Allen Bartlett ou l’économiste écologiste Joshua Farley sont plus disposés à leur répondre que les décideurs de Wall Street en plein banquet. Avec leurs questions faussement naïves et leur irrévérence, elles démontrent par l’absurde la nécessité de se détacher du dogme de la croissance à outrance.
Source : mixing personnel depuis Arte et Le Monde.
La critique du journal Le Monde :
Réalisé par le Norvégien Havard Bustnes, ce film est un bijou d’humour, de clairvoyance et même de poésie (certaines séquences plus contemplatives sur la vieillesse sont magnifiques).
Mis en scène avec vivacité, intelligence et modestie, celui qui demeure un documentaire rappelle le travail de Michael Moore par son côté « rentre dedans », faussement naïf, vraiment comique et au final très convaincant.
Reposant sur le casting génial de ces deux irrésistibles vieilles dames en colère, ce film consacré à des problématiques économiques complexes est un modèle quant à l’originalité de son écriture, didactique et enlevée.
"Si on tient compte des limites de nos ressources naturelles, on ne peut pas se développer à l’infini », leur explique, dans le film, Albert Bartlett (1923-2013), professeur émérite de physique à l’université du Colorado. Tout au long de sa vie et des quelque mille six cents conférences qu’il a données à l’université, il a martelé que « la plus grande faiblesse de l’homme est son incapacité à comprendre la fonction exponentielle. Il y a un temps pour la croissance, quand on est petit. Mais l’heure n’est plus à la croissance. Aujourd’hui, on estime que si tout le monde avait le même taux de consommation que les Américains, il faudrait quatre ou cinq planètes Terre pour répondre à nos besoins !", conclut-il, face à Shirley et Hinda, conquises.
Source : le Monde.
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