Synopsis :

Les questions que se posent les consommateurs autour de l'eau sont nombreuses. Faut-il préférer celle du robinet ou celle en bouteille ? Quels risquent encourent-ils en consommant l'une plutôt que l'autre ? Quel avenir pour cette ressource naturelle ?

En France, l'industrie de l'eau en bouteille génère environ 3,5 milliards d'euros de bénéfices par an et représente 2,5 % de l'industrie agroalimentaire. Dans le même temps, la facture d'eau que doivent régler les particuliers s'alourdit régulièrement depuis 15 ans. La qualité de l'eau, sous toutes ses formes, ne cesse quant à elle de se dégrader. Sa mise aux normes de distribution s'avère de plus en plus coûteuse.

Le réalisateur a notamment mené l’enquête auprès du maire d’un village de l’Yonne, de responsables de l’eau de Paris et de celle de Grenoble, de minéraliers et de structures qui travaillent à la «remunicipalisation» de l’eau.

À l'occasion de la semaine de l'eau, des responsables de distribution, des minéraliers et des partisans de la remunicipalisation de l'eau décryptent ce marché, sous tension.

Source : Programme TV

Une vidéo montrant une fois de plus que Nestlé Waters est une saloperie de firme, qui travaille à fond son image auprès du public mais qui dans la réalité est un pollueur et possède des méthodes indignes et répréhensibles.

Enfin, le documentaire montre l'empreinte terrible des sociétés privées comme Veolia, la Lyonnaise des eaux (suez), et Saur, qui vampirisent les français d'un montant annuel de plus de 6 milliards d'euros, alors même que leur gestion coûte jusqu'à 40% plus cher que ce font les régies municipales. La collectivité doit de débarrasser de ces vampires au nom de l'intérêt public et du bien commun.

Évolution du prix en euros de l'eau à la tonne en France : Veolia, La lyonnaise des eaux (Suez), et Saur,
s'en mettent plein les poches en prenant dans nos poches à tous.

 Confier la gestion d'une ressource vitale, d'un bien commun, 
 à des entreprises privées est une totale absurdité, 
 un non-sens, une aberration, une solution opposée en essence à la notion de bien commun 
 puisque c'est remettre une ressource et des profits publics à des intérêts privés. 

Un bon documentaire tout à fait édifiant. On regrettera seulement la voix et le ton nunuches de la narratrice qui a vraiment été mal choisie pour un documentaire dont le sujet est si important.

À voir !

Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 7 dB.