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Alimentation saine, Bio, rejet de la grande distribution par des circuits courts :
"Qualité et prix : faut-il consommer local ?"
Vidéo # 8058 en Français () insérée le Samedi 10 Octobre 2015 à 4h 00m 11s dans la catégorie "OGM, Produits Chimiques, Agriculture, et Alimentation"
Durée : 01 hr 51 min 38 sec
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Cette vidéo est une émission de la série "Capital" de la chaine française privée M6, portant sur la consommation alimentaire locale et les circuits courts.
Sommaire :
L'arnaque des circuits classiques :
les pigeons sont les producteurs (qui sont sous-payés, ne ne gagnent pas dès lors assez leur vie, et sont obligés de faire de la relative mauvaise qualité)
et les consommateurs (qui payent 2 à 3 fois le prix de production, pour au final manger des aliments de qualité médiocre).
Les fautifs : les spéculateurs que sont les grossistes, les centrales d'achats, et la grande distribution
qui se gavent sur le dos des producteurs et des consommateurs en s'intercalant entre eux. Des parasites qui vont finir tôt ou tard par disparaître,
car de plus en plus gens ne veulent plus de ces vampires de la mondialisation qui nuisent à l'économie, à la prospérité, et à la qualité de vie de tous.Du champ à l'assiette : les nouveaux circuits.
Acheter des aliments frais c'est l'espoir de manger plus sainement, de savoir d'où vient ce que l'on consomme et de le payer au juste prix.
Et c'est exactement la promesse de nouveaux points de vente qui se multiplient partout en France : ils s'appellent « La Ruche qui dit Oui » ou « O'Tera ».
Leur principe : supprimer les intermédiaires entre producteur et consommateur.
Derrière cette belle affiche, comment fonctionnent ces circuits courts ? Peut-on croire aux arguments de qualité et de juste prix mis en avant ? Comment les grandes surfaces ripostent-elles face à cette nouvelle concurrence ?
Que cachent les cuisines des cantines ?
Concevoir des menus équilibrés et savoureux avec un budget très serré, c'est le défi que se lancent chaque jour les cantines scolaires de France pour tenter de satisfaire les 6 millions d'écoliers qui y déjeunent.
Pour faire baisser les coûts sans rogner sur la qualité, l'approvisionnement local semble être la solution. Mais entre les contraintes sanitaires et logistiques, est- ce vraiment possible ?
D'où viennent les aliments servis à vos enfants ?
Comment sont-ils préparés ?
Capital a repris le chemin de la cantine pour y répondre.Labels régionaux, un gage de qualité ?
Impossible d'y avoir échappé car elles occupent une place de choix dans les rayons des supermarchés.
Les marques collectives régionales font de plus en plus recette.
À chaque région son label, comme « Saveurs en'Or » pour le Nord, « Gourmandie » pour la Normandie, ou encore « Terroirs de Picardie ».
Des marques collectives qui prônent toutes les mêmes valeurs : la défense de l'emploi dans leur région ainsi qu'un gage d'authenticité et de qualité des produits.
Mais ces labels régionaux sont-ils tous aussi exigeants sur le caractère « local » de leurs produits et leur fabrication ?
Comment les labels sont-ils attribués ?
Qui se cache derrière ces logos ?
Est-ce un vrai gage de qualité ?
Oeufs bio : l'envers de la coquille
Durs, brouillés, au plat ou en omelette, les Français mangent en moyenne 216 oeufs par an.
Et depuis quelques temps, nous privilégions les oeufs bios.
Ils coûtent 2 fois plus cher que les àeufs standards, pourtant leur consommation augmente de 8% par an.
Il faut dire que la grande distribution s'est emparée du phénomène.
Aujourd'hui, 60% des oeufs bios sont achetés en supermarché.
Alors quelles recettes producteurs et distributeurs ont-ils mises en place pour nous vendre des oeufs bios ?
Ne paye-t-on pas les àeufs bios trop chers ?
Quelles sont nos garanties d'avoir un oeuf 100% bio dans notre assiette et quelles sont les vertus nutritives de ces oeufs ?Source : Programme TV.
Une transaction saine : du producteur au consommateur, par le système des
paniers.
Le local et les circuits courts ont le vent en poupe, et c'est tant mieux. Puisque les politiciens sont des traîtres, vendus à l'Europe de Bruxelles, aux mondialistes genre Jacques Attali, aux marchés, aux multinationales, et aux banques, et bien organisons-nous nous-mêmes !
Un tour d'horizon enthousiasmant, mais qui montre aussi comment la saloperie de grande distribution et certaines entreprises cupides ont commencé à s'adapter à cet engouement des français pour le sain et naturel, le bio, les circuits courts, et les productions locales.
Le local est l'avenir des peuples et de l'Humanité !
Très intéressant.
À voir !
Nota Bene : pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 5 dB.
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