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Victoire de Pierre Gentillet contre les gauchistes de La Sorbonne (et quelques soucis) :

Chers amis,

Je vous écris pour partager avec vous les coulisses de la victoire de l'avocat Pierre Gentillet contre les militants gauchistes qui voulaient le chasser de la Sorbonne.
Au-delà de sa personne, il s'agit d'une importante victoire dans notre combat contre le politiquement correct et nous y avons été pour quelque chose – vous comme nous !
Rappelons brièvement les choses. Depuis neuf ans, Pierre Gentillet enseigne le droit à l'université Paris I.
Mais récemment, un étudiant gauchiste affilié aux LGBT a « repéré » celui qui est aussi une figure médiatique de droite et l'a dénoncé.

Jeudi 23 octobre, Pierre Gentillet a été la cible d'un article de délation sur le site Révolution permanente. Le lendemain, des syndicats d'étudiants gauchistes utilisaient le fichier d'adresses de la Sorbonne (20 000 courriels), pour dénoncer la présence d'un « militant d'extrême droite » au sein de l'université. Le samedi, l'information était relayée par un article complaisant du Parisien.

Que reprochait-on à Gentillet ? D'avoir fondé la Cocarde étudiante, association estudiantine de droite ; d'être invité dans des médias de droite ; et d'avoir été candidat RN aux législatives.
Bref, d'avoir, comme des centaines d'enseignants de gauche ou du centre, des engagements politiques.

Il se trouve que j'ai été le premier à prévenir Pierre Gentillet de l'article de Révolution permanente. Nous avons aussitôt compris ce qui allait se passer et imaginé une contre-attaque.

Initialement, nous souhaitions faire publier un article dans un média plus « institutionnel » que Radio Courtoisie afin de toucher le plus large public. Ensuite, nous aurions repris l'information en y ajoutant quelques éléments exclusifs. Puis les réseaux sociaux et les autres médias auraient donné encore plus d'impact.
Mais face à la frilosité navrante de certains confrères supposés de droite, il a fallu se battre avec nos propres moyens.

Dès dimanche, Pierre a publié un message sur son compte X et nous avons enregistré un entretien à distance pour Ligne droite. Le sujet est monté en flèche et a vite dépassé le million de vues sur les réseaux.

Nous avons ensuite publié une liste de tous les militants LFI ou socialistes enseignant à l'université. Maylis Clauzel a rappelé le passé universitaire de l'ignoble tortionnaire communiste Georges Boudarel.
En coulisses, j'ai appelé de nombreux amis journalistes et nous avons enfin crevé le mur du silence. Beaucoup d'auditeurs comme vous ont partagé ou fait connaître ces informations et je tiens à vous en remercier chaleureusement !

Pierre Gentillet sera en revanche placé sous « protection fonctionnelle » pour échapper aux menaces de mort des gauchistes. Il sera affecté à une salle spéciale, isolée, avec présence de gardiens et fouille des sacs pour éviter une agression... Je vous laisse imaginer le poids qui pèsera sur ses épaules à chaque cours.

Quoi qu'il en soit, voilà une belle victoire, dont Radio Courtoisie peut légitimement se réjouir, car il s'agit d'un vrai point de bascule.

Rendez-vous compte ! Pour la première fois depuis des années, la droite fait reculer la gauche à l'université et c'est grâce à vous !

Grâce à la mobilisation des auditeurs de Radio Courtoisie qui ont partagé le message ou nous soutiennent fidèlement pour nous permettre de faire notre travail et d'accomplir ce genre d'actions.

C'est pourquoi je m'inquiète quand notre trésorier pointe un déficit de 200 000 euros qu'il nous faut combler pour finir l'année à l'équilibre.
Face à cette situation financière critique, nous avons dû renoncer à salarier notre chère Adèle, qui était en alternance avec nous depuis les premières heures de Ligne droite.
Vous avez pu entendre, ce vendredi matin, l'émission où nous lui rendions hommage pour son engagement à nos côtés. Voilà hélas une conséquence cruelle et concrète de notre manque de moyens.
Si nous ne parvenons pas à mobiliser plus d'auditeurs militants, il nous faudra encore licencier d'autres collaborateurs et réduire la voilure.
Au moment où nous efforts paient enfin, où notre poids est de plus en plus notable (pour la première fois de son histoire, Radio Courtoisie entre dans les classements de Médiamétrie !), vous serez d'accord avec moi pour dire que notre radio ne doit pas disparaître !
Vous pouvez compter sur nous pour poursuivre le combat, marquer des points et porter des coups à nos adversaires. Mais nous comptons sur vous pour nous aider à y parvenir !

Faites un don, [la] (

).

Par avance merci !

Pierre-Alexandre Bouclay.
Président de Radio Courtoisie.

Bravo à Radio Courtoisie et à Pierre Gentillet pour leur héroïque combat contre les tentacules politiques du Mal que sont les infâmes gauchistes !

Rififi à gauche : après un simple tweet critiquant la chasse à l'homme visant Pierre Gentillet, le compte Actuel Moyen Âge accusé de « collaborer », qualifié d'« ennemi » et menacé de mort par l'extrême-gauche ... - Voir [ici] (

Les gauchistes dans leurs oeuvres de totalitaires abjects et de fascistes pour certains.

"SCANDALE de la Sorbonne : cible d'un HARCÈLEMENT de l'extrême gauche, Pierre Gentillet s'explique !" - Par Radio Courtoisie :

SYNOPSIS :

🚨EXCLUSIF - Pierre Gentillet s'explique sur le scandale à la Sorbonne.
"J'irai à mes cours quoi qu'il arrive"
Depuis jeudi, l'avocat Pierre Gentillet est la cible d'une campagne de harcèlement organisée part l'extrême gauche pour lui faire perdre son poste d'enseignant en droit à Paris I Sorbonne.
Il s'explique ici sur les origines de l'affaire et les suites qu'il envisage

Depuis avant-hier, jeudi, je fais face à une violente campagne de menaces et de harcèlements destinée à obtenir mon renvoi de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, où j'enseigne depuis bientôt neuf ans.

Chargé de travaux dirigés, puis conférencier en amphi, j'y ai donné, au fil des années, des cours de philosophie du droit, de droit civil, de droit constitutionnel, de droit des sociétés...

Tout a commencé mercredi soir, lorsqu'un article m'a été consacré sur le site d'extrême-gauche Révolution Permanente. Dès le lendemain, plusieurs syndicats étudiants d'extrême-gauche (le Poing Levé et le SAP1) réclamaient ma mise à l'écart. Par deux fois, ils ont même diffusé sur la messagerie interne de la faculté un courriel adressé à des milliers d'étudiants (voir plus loin) pour réclamer mon renvoi.

Le motif de cette chasse tient en peu de mots, affichés sur les montages qui circulent : "Un militant d'extrême-droite enseigne à Paris I."

On me reproche d'avoir été candidat aux législatives de 2024 sous l'étiquette du Rassemblement National, d'avoir cofondé, il y a dix ans, la Cocarde Étudiante, et d'être par conséquent, à les entendre, un dangereux fasciste. L'accusation ferait sourire, si elle ne trahissait pas tant d'ignorance : quiconque a lu mes travaux et écouté mes longs entretiens (et non les passages tronqués) sait la distance qui me sépare de ces caricatures. Mais c'est bien mon opinion, ou ce qu'on suppose être la mienne, qui sert aujourd'hui de prétexte à une chasse coordonnée. Cette campagne vise un but clair au vu de l'acharnement et des commentaires : me mettre une cible dans le dos dans mon quotidien d'enseignant.

Depuis, je vois passer des centaines de messages d'injures, de menaces, parfois de la part d'étudiants de Paris I. Et je redoute, un peu, le retour dans ces couloirs où j'ai tant aimé enseigner.

A cette heure, l'Université n'a pas réagi et du peu de contact que j'ai eu, on se contente simplement de déplorer la situation. J'ai presque le sentiment désagréable d'être le problème. Je n'en attendais guère autre chose, et ne leur en veux pas. L'Université m'a déjà montré, l'an passé, de quoi elle est capable lorsqu'elle a peur. Je ne me fais pas d'illusion sur ma situation, contractuelle : l'an prochain, on m'écartera doucement, avec des mots polis et de prétextes, comme on éteint une lampe qu'on juge inutile.

L'an dernier déjà, après mon engagement politique, on m'avait retiré tous mes enseignements. Parfois sans raison, parfois en m'avouant tout bas la vraie cause. Pour continuer à exercer, il m'a fallu, dérisoire subterfuge, enseigner sous le nom de ma mère. Ainsi, j'ai pu poursuivre ce qui, pour moi, n'a jamais été un simple gagne-pain, mais une vocation. Je ne me suis jamais plains de cet épisode. Je n'en voyais pas l'utilité.

Enseigner à la faculté n'est pas une affaire d'argent, et tous les collègues le savent bien. Mais il m'offrait, à moi qui travaille seul au quotidien, ce lien si précieux avec le monde universitaire et avec cette maison que j'aimais, jadis, comme étudiant.

Pendant neuf ans, j'ai enseigné à Paris I. J'y ai connu des centaines d'étudiants, de visages, de voix. Jamais je n'ai mêlé mes convictions à mes cours ; j'ai toujours respecté la diversité des opinions et encouragé la réflexion libre. J'ai donné sans compter, souvent hors de mes heures, parce que j'y trouvais un sens supérieur à mon métier d'avocat, tout simplement.

C'était un supplément d'âme en même temps que mon quotidien car je suis tous les jours en Sorbonne. Une manière de garder et de tisser le lien avec des générations d'étudiants. Ce qui me blesse aujourd'hui, plus que tout le reste, c'est d'avoir été dénoncé par l'un d'eux, à l'origine de toute cette cabale.

Je suis assez lucide et préparé : je sais contre quoi je me dresse. Ces groupuscules viendront peut-être troubler mes cours, m'invectiver, me guetter dans les couloirs. Qu'ils le fassent : j'y suis préparé. Je crains aussi de ne bénéficier d'aucune protection physique ou juridique de l'Université. J'en ai fait la demande pour le principe. Au mieux ils me diront que "pour ma sécurité" je ne dois plus enseigner jusqu'à fin décembre. Nous verrons bien. Et de toute façon je n'ai plus ni l'énergie ni les moyens d'ouvrir de nouveaux fronts par mes propres moyens : j'ai déjà deux plaintes en diffamation qui suivent leur cours. Depuis un an je fais face seul, mais lucide, à toutes les suites de l'engagement politique.

J'avais cru, naïvement, que je pourrais enseigner jusqu'à mes vieux jours, que transmettre était un droit aussi naturel que respirer. Peut-être avais-je tort.

L'enseignement à la Sorbonne fut, je le crois, le sens discret mais essentiel des dix dernières années. Je n'avais aucune illusion sur ma carrière, au regard de mes engagements politiques. Les événements d'hier et d'aujourd'hui prouvent assez qu'elle eût été brève si j'avais voulu m'y consacrer pleinement comme doctorant puis éventuellement maitre de conférences.
Mais enseigner, transmettre, demeurait pour moi un acte de foi, une manière de tenir encore à ce que j'aime de ce pays : son intelligence.

A cette heure, j'ignore encore si je dirais bientôt adieu à neuf années d'Université : neuf années de dévouement, de sens et de liens tissés avec tant d'étudiants que j'ai tant aimés instruire.

Si ce semestre doit être le dernier, je veux leur dire, si par hasard ils lisaient ce message, que leur curiosité, leur sérieux, leur intelligence et parfois leur bienveillance ont donné à ma vocation sa plus belle justification.

L'extrême gauche est une saloperie que je ne cesse de dénoncer, et qui ne cesse de détruire la société.

Concernant les écoles et universités, j'ai vu juste depuis des années : il faut y interdire l'activisme et la politique, exclure tous les contrevenants, et criminaliser toutes personnes de l'extérieur qui viole ce principe.

Pierre Gentillet : "📢 Le RIC : seul moyen pour le peuple de reprendre le pouvoir !" :

SYNOPSIS :

📢 « Le meilleur outil pour que le peuple puisse s'exprimer aujourd'hui, ce serait le Référendum d'initiative citoyenne. Il y a deux voies pour moi qu'il nous reste : la première voie, c'est l'élection présidentielle et ensuite il y a le référendum ! Le général de Gaulle a fait plus de référendums dans la moitié de son mandat qu'Emmanuel Macron !»

Réécouter l'émission 🔗 https://youtu.be/ZQ0juGdMCAs (

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🗣️ Pierre Gentillet défend le retour du référendum comme arme démocratique

"Ce sont EUX les INTOLÉRANTS" : Pierre Gentillet réagit à l'ACTUALITÉ - Grand Entretien - Par Valeurs Actuelles :

SYNOPSIS :

En l'espace de quelques jours, le monde a vu les terribles images de la mort d'Iryna Zarestska, lâchement poignardée dans un bus au États-Unis. Mais aussi celle de l'assassinat de Charlie Kirk, vaillant conservateur américain adepte du débat. Et enfin, l'énorme manifestation anti-immigration dans les rues de Londres. Quel est le point commun entre tous ces évènements ? La France a-t-elle des choses à apprendre de ce qu'il se passe chez les anglo-saxons ? L'avocat sans langue de bois, Pierre Gentillet décrypte l'actualité.

"Bruno Retailleau veut dissoudre la Jeune Garde : après les paroles, enfin les actes ? La Matinale du 5" - Par Frontières :

SYNOPSIS :

Dans notre matinale du 5 mai, nous accueillons Martin Garagnon, conseiller national Renaissance ainsi que Julien Odoul porte-parole et Député du Rassemblement national. Tous deux débattront de la loi sur la fin de vie.

Lors de notre Interview Frontale, nous accueillons Pierre Gentillet, avocat. Nous discuterons des consultations menées par François Bayrou avec les partis pour instaurer la proportionnelle à l'Assemblée nationale. Nous aborderons aussi les déclarations de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, qui envisage de dissoudre les groupuscules Jeune Garde et Urgence Palestine.

SOMMAIRE :

00:00 : Intro
02:05 : Le Flash
05:20 : Le Débat Sans Frontières, nous accueillons Martin Garagnon, conseiller national Renaissance ainsi que Julien Odoul porte-parole et Député du Rassemblement national. Tous deux débattent de la loi sur la fin de vie.
43:45 : Lino Debunk, la chronique de Lino Bauer.
49:40 : L'Interview Frontale avec Pierre Gentillet, avocat. Nous discuterons des consultations menées par François Bayrou avec les partis pour instaurer la proportionnelle à l'Assemblée nationale. Nous aborderons aussi les déclarations de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, qui souhaite dissoudre les groupuscules Jeune Garde et Urgence Palestine.
1:25:35 : Le Grand Échiquier, la chronique internationale de Julien Girard.

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