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Armement nucléaire fou et procédure insensée de main morte : "L'arme la plus meurtrière de Russie a été découverte, mais elle est impossible à détruire" - Par DarkTech:
SYNOPSIS :
Depuis plus de quarante ans, un signal radio est émis depuis Moscou. Chaque seconde, cette impulsion électronique traverse les vastes étendues sauvages russes jusqu'à une installation cachée sous les montagnes de l'Oural.
Aujourd'hui, à 1 300 kilomètres à l'est du Kremlin, des images satellite révèlent quelque chose qui ne devrait pas exister. Un gigantesque chantier de construction produit d'énormes amas de déblais miniers éparpillés à flanc de montagne. De nouvelles entrées souterraines ont été creusées dans le granit massif. La porte d'entrée de l'installation est même visible sur Google Earth, photographiée par quelqu'un assez courageux pour s'en approcher.
Ce qui se cache sous le mont Kosvinsky reste l'un des secrets les plus dangereux de la planète. Trois soldats attendent dans l'obscurité, armés d'un pouvoir qui pourrait anéantir la civilisation elle-même. Tant que ce signal radio perdure, le monde reste en sécurité. Mais si jamais il s'arrête...
De la folie furieuse !
Voilà le résultat des intellectuels, des érudits instruits ne fonctionnant qu'avec leur centre intellectuel, sans le coeur ni la consience !
À voir !
Compléments :
En quoi consiste une bombe au cobalt ?
Une bombe au cobalt est un type d'arme nucléaire hypothétique conçue pour maximiser la contamination radioactive sur le long terme, en rendant une zone inhabitable pendant des décennies, voire des siècles. Voici en quoi elle consiste précisément :
🔧 Principe de fonctionnement
Une bombe au cobalt repose sur une bombe thermonucléaire classique (comme une bombe H), entourée d'un enveloppe de cobalt-59 (isotope stable).
Lors de l'explosion, les neutrons produits transforment le cobalt-59 en cobalt-60, un isotope hautement radioactif.
Le cobalt-60 émet un rayonnement gamma très intense, avec une demi-vie de 5,27 ans.
La poussière radioactive retombant au sol (retombées nucléaires) rend le terrain contaminé extrêmement dangereux pour toute forme de vie pendant environ 100 ans.
🎯 Objectif stratégique
Contrairement aux bombes classiques visant à détruire par explosion, une bombe au cobalt vise à :
Empoisonner durablement l'environnement
Anéantir toute vie dans une vaste zone, sans nécessairement tout raser
Créer une "arme de l'apocalypse" : dissuasion absolue (idée du doomsday device)
⚠️ A-t-elle été construite ?
Non. Aucune bombe au cobalt n'a jamais été fabriquée ni testée officiellement. Elle reste théorique et est souvent évoquée dans la littérature militaire ou la science-fiction (ex : Dr. Strangelove).
🧠 En résumé
Élément
Détail
Type d'arme
Nucléaire, à retombées prolongées
Fonction
Contamination radioactive massive
Matériau ajouté
Cobalt-59 (devient cobalt-60)
Effet
Rayons gamma mortels, contamination sur 50–100 ans
Usage réel
Jamais fabriquée (concept dissuasif)
Tu es bien sûr de toi : pas sûr qu'un pays n'est pas construit cette saloperie.
Vous avez raison d'être sceptique.
📌 Voici ce qu'on peut affirmer factuellement sur les bombes au cobalt :
✅ Fait établi :
Aucune preuve publique et vérifiable n'existe montrant qu'un pays a effectivement construit ou testé une bombe au cobalt. Les documents déclassifiés américains, russes, britanniques ou français ne mentionnent pas de production concrète de telles armes. Cela reste un concept théorique largement discuté durant la Guerre froide.
⚠️ Mais... ce qu'on ne peut pas exclure :
Il est parfaitement possible qu'un pays (USA, URSS, Chine, voire Israël) ait expérimenté ou conçu un prototype à des fins d'étude sans jamais le tester ou en gardant le secret absolu.
Certains essais nucléaires aériens non détaillés (notamment soviétiques) auraient pu inclure des matériaux inhabituels, mais rien ne prouve qu'ils incluaient du cobalt.
L'URSS avait une logique de surenchère destructrice dans les années 1950-60, avec la Tsar Bomba par exemple. On sait que Sakharov avait proposé de remplacer le plomb de l'enveloppe par du cobalt, mais cela n'a pas été fait.
🎩 Donc :
Non, on ne peut pas garantir qu'aucun État n'en a jamais fabriqué un modèle ou une version de laboratoire.
Mais aucune donnée vérifiable ou fuite crédible n'a permis de l'affirmer à ce jour.
🧪 Hypothèse raisonnable :
Vu la toxicité, l'impossibilité de contrôle, et le manque d'intérêt militaire (car le territoire contaminé ne peut pas être conquis ni utilisé), la plupart des experts pensent que le projet n'a jamais dépassé le stade théorique.
Souhaitez-vous que je fouille les archives ouvertes ou bases de données militaires pour voir s'il y a de nouveaux éléments sur ce point ?
Ok.
Vous avez raison de porter un esprit critique : plongeons dans les faits vérifiables.
🔍 Ce qui est établi publiquement
Aucune bombe au cobalt n'a jamais été construite ou testée officiellement. Le concept est resté théorique, étudié mais jamais matérialisé en arme opérationnelle Reddit+9Wikipédia+9calendar-uk.co.uk+9.
En 1957, les Britanniques ont effectué un essai (Opération Antler/Round 1 à Maralinga, Australie) avec des pastilles de cobalt comme traceur radiologique mais l'expérience a été jugée un échec et non renouveléenuclearweaponarchive.org+4Wikipédia+4calendar-uk.co.uk+4.
🧠 Théorie et spéculations sur des projets secrets
La fameuse machine « Status‑6 » russe (aussi appelée Poseidon), dévoilée dans un document fuitée en 2015, laisserait entendre que cette torpille nucléaire sous-marine ultra-puissante pourrait être conçue pour saler la zone avec du cobalt‑60 radioactif capable de rendre une large zone inhabitable pendant des décenniesWikipédia+2Wikipédia+2Teknopedia+2.
Néanmoins, aucune confirmation fiable ne permet d'affirmer que ce projet inclut vraiment un dispositif salé au cobalt. Des experts comme Edward Geist doutent de la faisabilité opérationnelle réelle d'un tel engin et estiment que la contamination ne pourrait pas être contrôlée efficacement pour être stratégiquement utile .
🧾 Témoignages d'experts et consensus
Selon de nombreux experts spécialisés dans le désarmement nucléaire, la bombe au cobalt est un concept dépassé car les bombes thermonucléaires classiques produisent déjà des retombées longues et puissantes, sans besoin d'ajouter du cobalt, et avec une efficacité prédictible .
Un internaute sur Reddit, citant le consensus scientifique, résume bien :
Une bombe au cobalt a-t-elle déjà été construite ?
Non, aucune preuve publique ni officielle à ce jour
Y a-t-il eu étude ou test secret ?
Certains pays ont étudié le concept (USA, URSS) mais rien de confirmé
Le statut du projet russe Status‑6 ?
Document fuitée évoque le cobalt, mais c'est incertain, spéculation possible
Pourquoi l'intérêt est-il faible pour les États ?
Difficulté de contrôler les retombées, manque d'intérêt militaire stratégique réel, disponibilité de bombes classiques efficaces
En conclusion : il est tout à fait légitime de douter que certains États aient franchi le pas. L'absence de preuves crédibles ainsi que les défis stratégiques et techniques rendent la bombe au cobalt une arme hautement improbable en pratique, malgré son importance dans la culture populaire et les scénarios théoriques.
Semi-conducteurs, TSMC, et l'importance de Taïwan : "Cette technologie pourrait causer la 3e guerre mondiale" - Par Rtbf Ixpé :
SYNOPSIS :
Cette technologie pourrait causer la 3e guerre mondiale
Smartphones, voitures, ordinateurs, avions, machines médicales : notre environnement est truffé de puces électroniques. Ces composants minuscules sont devenus indispensables à notre quotidien et l'île de Taïwan est au coeur de leur production.
Ce qui suscite les convoitises de grandes puissances comme la Chine ou les États-Unis . Faut-il craindre un conflit pour le contrôle de cette technologie ? Quel est l'impact réel des semi-conducteurs sur le monde ? Et jusqu'où va notre dépendance ?
Dans ce dernier épisode de la saison d'On n'est pas des ienclis, Nadiro s'est rendu sur place pour comprendre comment cette petite île est devenue la plaque tournante mondiale des semi-conducteurs.
Une expertise unique, un savoir-faire inégalé, et des enjeux colossaux...
CHAPITRES
00:00 Intro
2:14 C'est quoi un semi-conducteur ?
9:19 La complexité de fabrication
13:30 L'industrie qui a refaçonné Taïwan
15:35 L'enjeu géopolitique
17:13 Un équilibre mondial
20:32 Le futur de Taïwan
21:47 Outro
"PROCÉDURE BAILLON, EXPLICATIONS" - Par Régis De Castelnau :
SYNOPSIS :
Et voilà ! Il fallait que ça arrive !
Me voilà mis en examen.
Bon, il faut dire que je l'ai cherché, à force de dire tout haut ce que beaucoup d'entre vous pensent tout bas.
Chez moi, il arrive qu'on finisse par s'agacer et qu'on me demande jusqu'à quand je vais continuer à brailler. Pour les gilets jaunes, contre Macron et son illibéralisme liberticide, contre la propagande russophobe délirante du système médiatique, en soutien au peuple palestinien confronté à l'horreur. Je m'en tire par cette pirouette : « j'arrêterai quand je serai mort. Et encore c'est pas sûr ! »
En tout cas, vos réactions de soutien m'ont profondément touché. Nous devons continuer à mettre en cause ce système et ce recours aux procédures bâillon destinées à intimider.
J'ai pu prendre connaissance de certains des éléments du dossier. Et je suis en mesure de fournir d'ores et déjà quelques explications que j'ai exposées dans cette vidéo.
J'ai d'ores et déjà été invité dans certains médias de la réinfosphère. Et je vous invite à également vous y référer. Il est indispensable de mener le combat contre ces gens qui mélangent allègrement arrogance, indécence et cupidité.
Restez à l'écoute car je vous tiendrai au courant de la suite.
Dans un environnement marqué par la censure, plus que jamais nous avons besoin de votre soutien ! Abonnez-vous, poussez-nous, partagez nous !
Nous avons besoin de vous !
Le soutien matériel est évidemment le bienvenu. Pour nous permettre d'exister et pour nous défendre.
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"Débat Rieu vs Kuzmanovic : la remigration est-elle possible ? La Matinale du 20/06" - Par Frontières :
SYNOPSIS :
Lors de notre matinale du 20 juin, nous vous offrons un débat exceptionnel entre Damien Rieu, lanceur d'alerte et Georges Renard - Kuzmanovic, rédacteur en chef de Fréquence Populaire. La remigration est-elle possible, et souhaitable ?
Pour la séquence de l'Invité Exceptionnel, Bertrand Alliot, environnementaliste et porte-parole de l'association Écologie Action est notre invité. Nous discutons de la sortie de son ouvrage, "Comprendre l'incroyable écologie".
SOMMAIRE :
00:00 : Intro
01:40 : Le Débat Sans Frontières, avec Damien Rieu, lanceur d'alerte et Georges Renard - Kuzmanovic, rédacteur en chef de Fréquence Populaire. La remigration est-elle possible, et souhaitable ?
57:20 : C'est Nicolas qui paie, la chronique d'Antonin Ferreira.
1:14:20 : L'Invité Exceptionnel avec Bertrand Alliot, environnementaliste et porte-parole de l'association Écologie Action. Nous discutons de la sortie de son ouvrage, "Comprendre l'incroyable écologie".
Immobilier : "Visitez le plus grand appartement en forêt de béton de Chine : où vivent 500 000 personnes" - Par Cn Walking :
SYNOPSIS :
Bonjour ! Voici le quartier de Huaguoyuan, dans la ville de Guiyang, en Chine. Autrefois le plus grand bidonville de Chine, il est devenu, après rénovation et réaménagement, l'un des plus grands quartiers résidentiels du pays. Aujourd'hui, au moins 500 000 personnes y vivent, atteignant jusqu'à un million d'habitants aux heures de pointe. Le quartier s'étend sur 10 kilomètres carrés et comprend plus de 200 gratte-ciel, la plupart d'environ 43 étages. On y trouve des stations de métro, des parcs, des écoles, des hôpitaux et d'autres infrastructures performantes, facilitant ainsi la vie quotidienne. On y trouve une grande variété de spécialités locales, et le coût de la vie y est relativement bas.
La température moyenne estivale y est d'environ 23 degrés Celsius. Chaque été, des milliers de personnes viennent s'y réfugier pour échapper à la chaleur, ce qui en fait l'un des meilleurs lieux de villégiature de Chine. Les prix relativement bas de l'immobilier et des matières premières ont incité de nombreux habitants d'autres régions à y acheter des biens immobiliers, les considérant comme leur résidence secondaire.
SOMMAIRE :
00:00 Aperçu
00:52 Place des Orchidées
06:53 Quartier Huaguoyuan M
11:30 Environnement autour des immeubles
16:44 Visite des passerelles entre les immeubles
21:53 Vue des toits
23:15 Structures de ponts complexes, avec des voies ferrées en dessous
29:27 Sous les ponts
32:57 Magnifique promenade au sommet de la colline
36:27 Parc de la zone humide de Huaguoyuan
Quelle laideur...
Quelle inhumanité.
Le Soleil est caché.
D'horribles cage sà lapins.
Les hommes sont fous.
La fornication engendre une démographie insensée générant une infinité de conséquences et de problèmes, dont cette forêt de béton est un exemple.
Il faut absolument revenir à une Humanité d'au maximum 750 millions de personnes. Pour un développement durable en équilibre avec la Nature et les ressources de tous types.
"Chaque couche d'Internet expliquée en 12 ninutes" - Par Le Labo De La Curiosité :
SYNOPSIS :
🔍 Les Couches de l'Internet Expliquées Facilement
Dans cette vidéo, nous explorons toutes les couches d'Internet — du web de surface jusqu'au dark web et même les couches théoriques comme le Mariana's Web. À travers une approche simple et accessible, vous comprendrez enfin ce qui se cache vraiment derrière les termes comme deep web, dark net, ou encore web invisible.
💡 Idéal pour les débutants, les curieux, ou ceux qui veulent simplement comprendre comment fonctionne Internet sous la surface.
📌 Au programme :
Qu'est-ce que le web de surface ?
La vérité sur le deep web
Le fonctionnement du dark web
Les niveaux d'Internet expliqués simplement
Les mythes comme le Mariana's Web ou The Fog
Internet expliqué comme un iceberg
Chaque Couche d'Internet Expliquée
Une excellente synthèse à ne pas manquer !
Compléments :
Le Mariana's Web existe-t'il ?
Le Mariana's Web est largement considéré comme un mythe ou une légende urbaine. Il s'agirait d'une couche supposée de l'internet, encore plus profonde que le dark web, accessible uniquement via des technologies avancées comme des ordinateurs quantiques et des algorithmes complexes (ex. « Polymeric Falcighol Derivation »). Cependant, il n'existe aucune preuve concrète de son existence. Les rumeurs sur son contenu – allant de secrets gouvernementaux à une IA toute-puissante – relèvent plus de la spéculation que de faits vérifiables.
Des sources comme Skeptics Stack Exchange et Engadget soulignent que le concept est apparu autour de 2011 via un infographique non fondé, possiblement créé pour détourner l'attention des démantèlements de marchés du dark web, comme Silk Road. Les experts en cybersécurité et les techniciens estiment que les prétendues exigences techniques (ordinateurs quantiques, algorithmes spécifiques) sont soit fictives, soit irréalisables avec la technologie actuelle. Certains suggèrent que des réseaux ultra-sécurisés, comme ceux des gouvernements, pourraient inspirer ce mythe, mais sans correspondre à la description sensationnaliste du Mariana's Web.
En résumé, aucune preuve ne confirme l'existence du Mariana's Web. C'est probablement une fiction amplifiée par la fascination pour les mystères du numérique.
Et quid du Mediator Layer ?
Le Mediator Layer n'existe pas en tant que couche distincte ou peu connue d'Internet. En informatique, il s'agit d'une composante logicielle qui agit comme un intermédiaire pour faciliter la communication entre différents systèmes ou applications. Elle traduit les protocoles, transforme les formats de données et gère le routage des messages, souvent utilisée dans les architectures comme les Enterprise Service Bus (ESB) ou les API Gateways.
Aucune preuve ne suggère qu'un Mediator Layer constitue une couche cachée ou secrète d'Internet. C'est un concept technique standard, sans lien avec des récits spéculatifs sur des réseaux inaccessibles.
Même question sur The Fog.
The Fog, également appelé Fog Computing ou Fog Layer, est un concept réel en informatique, contrairement au Mariana's Web. Il désigne une couche décentralisée d'infrastructure réseau qui se situe entre les appareils de l'Internet des objets (IoT) et le cloud. Introduit par Cisco en 2012, le fog computing vise à rapprocher le traitement des données des appareils qui les génèrent, réduisant ainsi la latence, la bande passante utilisée et améliorant l'efficacité pour les applications nécessitant un traitement en temps réel, comme les villes intelligentes ou l'IoT industriel.
Caractéristiques principales :
Architecture : Composée de trois couches : la couche périphérique (edge layer) avec des appareils IoT, la couche fog (fog layer) avec des nœuds de traitement locaux (fog nodes), et la couche cloud pour le stockage et l'analyse à long terme.
Fonction : Les nœuds fog effectuent un prétraitement des données, filtrent et analysent localement avant d'envoyer les données pertinentes au cloud.
Avantages : Réduction de la latence, meilleure gestion de la bande passante, amélioration de la sécurité en traitant les données localement.
Applications : Utilisé dans les réseaux intelligents, la santé connectée, les véhicules autonomes et les environnements industriels.
Existence : Oui, le Fog Layer existe et est largement reconnu comme une extension du cloud computing, standardisé par des organismes comme l'OpenFog Consortium (fusionné avec l'Industrial IoT Consortium). Ce n'est pas une couche "cachée" ou mystérieuse d'Internet, mais une architecture technique bien définie pour optimiser l'IoT et le traitement des données.
Même question sur le Primarch System.
Le Primarch System est un concept largement considéré comme une légende urbaine ou un mythe d'Internet, souvent mentionné dans des discussions sur les prétendues couches profondes du web, comme le Mariana's Web ou The Fog. Selon la rumeur, il s'agirait d'un système mystérieux, situé au niveau le plus profond (niveau 8) du web, qui contrôlerait l'ensemble d'Internet en envoyant des commandes inaltérables, sans être sous le contrôle d'aucun gouvernement ou organisation. Il aurait été découvert dans les années 2000 via des scans du deep web et serait protégé par un "verrou de fonction quantique de niveau 17" (level 17 quantum t.r.0001 function lock), rendant son accès impossible avec la technologie actuelle.
Cependant, aucune preuve concrète ne soutient l'existence du Primarch System. Les experts en cybersécurité et les sources fiables, comme celles trouvées sur Quora et Engadget, rejettent cette idée comme une fiction, probablement inspirée par la fascination pour les mystères du web et des conspirations numériques. Les références à des technologies comme des disques durs quantiques ou des algorithmes spécifiques (ex. "polymeric falcighol derivation") semblent inventées ou exagérées, sans fondement technique connu. Le Primarch System est également évoqué dans des contextes fictionnels, comme des creepypastas ou des œuvres comme celles de Ben Gregory, renforçant son statut de mythe.
Conclusion : Le Primarch System n'existe pas en tant que couche réelle ou système fonctionnel d'Internet. C'est une construction narrative, sans preuve tangible, alimentée par des spéculations sur les profondeurs inaccessibles du web.
Fin de la vie privée des messageries internet : "Proton menace de quitter la Suisse : la fin de la confidentialité ?" - Par French Privacy :
SYNOPSIS :
Dans cette vidéo, je vous explique en quoi la confidentialité numérique en Suisse est aujourd'hui menacée et pourquoi des entreprises de pointe comme Proton envisagent de quitter le pays !
On revient ensemble sur le projet d'amendement controversé, ses conséquences pour nos données et l'énorme débat qu'il crée dans la société suisse.
Vous voulez comprendre ce qui se joue vraiment ? Regardez jusqu'au bout pour avoir toutes les clés sur cet enjeu essentiel !
🔒 Sources et articles cités :
Protection des données menacée - Blick
Proton menace de partir - ICT Journal
Le directeur de Proton furax - Watson
C'est grave !
Putains de traîtres de politiciens !
En l'occurrence cette saloperie de Conseil fédéral suisse, composé seulement de 7 membres :
Qui est à l'origine en Suisse d'une ordonnance pour imposer à des messageries cryptées comme Proton de transmettre les métadonnées ?
L'ordonnance en question est une proposition de révision des ordonnances suisses sur la surveillance des télécommunications (OSCPT et OME-SCPT), initiée par le Conseil fédéral suisse. Cette révision, mise en consultation publique à partir du 29 janvier 2025, vise à moderniser le cadre légal face à l'essor des messageries chiffrées et des services comme les VPN. Elle imposerait aux fournisseurs de services numériques, y compris les messageries cryptées comme Proton ou Threema, de collecter et transmettre des métadonnées (adresses IP, destinataires, localisation) en temps réel aux autorités suisses, sans pour autant exiger le déchiffrement des contenus protégés par le chiffrement de bout en bout.
Le Service de surveillance de la correspondance par poste et télécommunication (SCPT), une agence de la police fédérale suisse, est également impliqué dans la promotion de ces mesures, en lien avec les besoins d'enquêtes judiciaires. Andy Yen, PDG de Proton, a vivement critiqué cette proposition, la qualifiant d'« espionnage d'État généralisé » et menaçant de déplacer l'entreprise hors de Suisse si l'ordonnance est adoptée.
Qui compose le Conseil fédéral suisse ?
Le Conseil fédéral suisse, en 2025, est composé de sept membres, élus par l'Assemblée fédérale. Voici la composition actuelle, basée sur les informations disponibles :
Elisabeth Baume-Schneider (PS, Jura) : Département de l'intérieur
Karin Keller-Sutter (PLR, Saint-Gall) : Département des finances
Viola Amherd (Centre, Valais) : Département de la défense, de la protection de la population et des sports, Présidente de la Confédération 2025
Guy Parmelin (UDC, Vaud) : Département de l'économie, de la formation et de la recherche
Ignazio Cassis (PLR, Tessin) : Département des affaires étrangères
Albert Rösti (UDC, Berne) : Département de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication
Beat Jans (PS, Bâle-Ville) : Département de justice et police
Cette composition reflète la répartition traditionnelle des sièges selon la "formule magique", avec 2 sièges pour le PLR, 2 pour l'UDC, 2 pour le PS et 1 pour le Centre.
Une nano-oligarchie de 7 putains de traîtres !
Et même avec des solutions en local on va se faire baiser : ils pondront une loi interdisant l'utilisation de logiciels cryptographiques pour les emails, et on sera fait comme des rats. J'ai anticipé cette évolution de la restriction des libertés liées à la cryptographies dès 2008 dans cet article "Le risque, pour l'Humanité, de perdre son ultime liberté : celle de pouvoir crypter sans aucune limite afin de préserver la Liberté, les Droits fondamentaux et l'idéal démocratique", [ici] ().
Quand aux solutions que l'auteur de la vidéo propose, elles sont totalement inadaptées au citoyen lambda : beaucoup trop compliquées et techniques. Inutilisables.
La seule solution viable, c'est que les citoyens suisses organisent une votation pour interdire ce genre de réglementation et garantir la confidentialité des échanges. Et qu'ils arrêtent de voter pour des connards de traîtres pareils !
Pour afficher toutes les News du jour, cliquez [ici].
ATTENTION
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bancaire pour faire un don, mais assurez vous dans ce cas de le faire depuis un
ordinateur.
En effet, pour des raisons de sécurité, PayPal a désactivé ces paiements depuis
les smartphones et les tablettes, ce qui générera une erreur.
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Fin de la vie privée des messageries internet : "Proton menace de quitter la Suisse : la fin de la confidentialité ?" - Par French Privacy :
