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Physique quantique : "Les antiparticules remontent-elles le temps ?" - Par Livres Et Science :

SOMMAIRE :

protons, neutrons et électrons
pourquoi l'antimatière est-elle si rare ?
les équations de Schrödinger et de Dirac
Carl Anderson découvre le positon
les antigalaxies
antimatière et gravité
l'antimatière remonte-t-elle le temps
l'expérience Alpha-g au CERN sur l'antihydrogène

Éric Zemmour attaque le député LFI Raphaël Arnault : l'ASLA (Association de Soutien aux Lanceurs d'Alerte) à ses côtés :

L'ASLA annonce prendre en charge la plainte immédiate devant le tribunal correctionnel engagée par Éric Zemmour à l'encontre de Raphaël Arnault, député LFI du Vaucluse.

Fondateur du groupuscule d'extrême gauche, La Jeune Garde, aujourd'hui dissous, connu pour son passé militant violent et son triple fichage S, Raphaël Arnault devra prochainement comparaître devant la justice pour répondre de ses propos.

Le contexte : tout est parti d'un message publié sur X par Patrick Jardin, père de Nathalie, une des victimes du Bataclan, qui exprimait sa douleur à l'approche des dix ans de l'attentat où sa fille a été "assassinée par des islamistes"

En réaction, Raphaël Arnault s'en est pris publiquement à M. Jardin en le qualifiant de fasciste.

Éric Zemmour est alors intervenu pour défendre le père endeuillé, dénonçant « l'inhumanité » des attaques du député d'extrême gauche.

En réponse, Raphaël Arnault lui a adressé cette phrase, massivement relayée :

« Suprémacistes religieux ou nationalistes, on va tous vous dézinguer. »

Ces échanges ont immédiatement suscité une forte réaction politique.

Des élus du Rassemblement National ont saisi le procureur de la République, confirmant que l'affaire dépasse les querelles partisanes et relève désormais d'une urgence juridique et démocratique.

Ces propos d'une extrême gravité relèvent clairement de la provocation au crime et de menaces caractérisées.

Pour qu'ils ne restent pas sans suite, Éric Zemmour, accompagné par les avocats de l'ASLA, a choisi la voie de la citation directe, une procédure rapide et adaptée à la gravité des faits.

Cette action en justice doit créer un précédent dissuasif pour les militants et élus d'extrême gauche qui pensent pouvoir intimider impunément leurs opposants politiques.

Soutenir l'ASLA, c'est permettre de faire condamner le plus rapidement possible Raphaël Arnault. Chaque procédure exige des moyens considérables, sans votre soutien, ces combats ne peuvent pas être menés jusqu'au bout.

Soutenez Eric Zemmour face au député LFI dès maintenant et faites condamner Raphaël Arnault, en faisant un don [la] (

Chroniques des chances pour la France et migrants racailles : Lorient (56) : un homme tué par des policiers en se jetant sur eux avec un couteau (L'assailant était Mohammed H., un migrant soudanais connu pour ses antécédents psychiatriques et déjà condamné pour violences aggravées) - Voir [ici] (

Déclin de la France et perte de patrimoine : Villefranche-sur-Saône (69). Fondée en 1881, l'entreprise Blédina va fermer. “Un coup de massue” pour le député LR, le ministre “prend acte avec gravité” de l'annonce - Voir [ici] (

Racailles versus Police : Grave refus d'obtempérer près de Cavaillon (13) : trois policiers blessés dont un grièvement, victime d'une fracture ouverte. Le chauffard, à bord d'une voiture volée, arrêté après 60 km de course-poursuite. « Les FDO ont ouvert le feu » - Voir [ici] (

Islamisation de la France et islamo-gauchistes de collabos : Maubeuge (59) : infiltration islamiste chez LFI, fracture entre deux gauches et militants qui dénoncent un “noyautage” - Voir [ici] (

Pour que des militants qui dénoncent un noyautage, c'est que la situation est grave.

Sylvain Ferreira : "La Chute de Pokrovsk est plus Grave que vous ne le Pensez ..." - Par Idriss Aberkane :

SYNOPSIS :

INTRODUCTION

La chute de Pokrovsk, survenue aux alentours du début novembre 2025, marque un nouveau chapitre tragique dans la guerre en Ukraine. Cette ville stratégique du Donbass, hub logistique crucial pour les forces ukrainiennes, est tombée aux mains des troupes russes après des mois d'assauts intenses. Les avancées russes, soutenues par une supériorité en drones et en artillerie, ont progressivement encerclé la ville, rendant sa défense intenable. Pourtant, les "amis" occidentaux de l'Ukraine, motivés par des considérations politiques et symboliques stupides, ont poussé Kiev à tenir à tout prix, trahissant ainsi le pays en ignorant les réalités militaires sur le terrain.

CONTEXTE STRATÉGIQUE

Pokrovsk, située dans l'oblast de Donetsk, a été un objectif prioritaire pour les forces russes depuis l'été 2025. Les offensives russes, lancées en août, ont visé à couper les lignes d'approvisionnement ukrainiennes vers l'est du pays. Selon des évaluations de l'Institute for the Study of War (ISW - pro-ukrainien) datées du 3 novembre 2025, les troupes russes ont intensifié leurs opérations autour de la ville, avançant dans les quartiers résidentiels et industriels malgré une résistance farouche. L'Ukraine, affaiblie par des pertes en hommes et en matériel, a tenté de maintenir la ligne pour des raisons symboliques : Pokrovsk représentait un bastion contre l'expansion russe, et sa perte aurait des implications psychologiques et logistiques dévastatrices. L'Union européenne a encouragé cette tenue obstinée contre l'avis de plusieurs généraux ukrainiens. Cette pression politique, déconnectée du réel militaires, a conduit à une trahison flagrante...

LA CHUTE DE POKROVSK

Les derniers jours d'octobre 2025 ont vu l'encerclement progressif de Pokrovsk. Des rapports du 1er au 3 novembre indiquent que les forces russes ont pénétré les faubourgs ouest et nord de la ville, coupant les routes d'approvisionnement principales. Des frappes aériennes et de drones ont détruit des dépôts de munitions et des positions fortifiées, forçant les unités ukrainiennes à se replier bloc par bloc. Même Reuters et le Kyiv Post, ont confirmé les percées russes significatives le 3 novembre. La réalité sur le terrain – images satellites et témoignages à l'appui – montre une retraite chaotique. Des milliers de soldats ukrainiens risquaient l'encerclement, rappelant les débâcles de Bakhmout ou Avdiivka. La chute, survenue autour du 4 novembre, a été précipitée par l'incapacité à renforcer la garnison. Les alliés, en insistant sur une défense à outrance pour projeter une image de résilience, ont ignoré les avertissements des commandants ukrainiens sur la vulnérabilité aux drones russes. Cette obstination politique a transformé une position défendable en piège mortel, trahissant les intérêts ukrainiens au profit de narratifs occidentaux.

L'ÉCHEC DES OPÉRATIONS SPÉCIALES EN BLACK HAWK

L'opération spéciale du 29 octobre 2025, supervisée par Kyrylo Budanov, chef du HUR (renseignement militaire ukrainien), visait à débarquer des forces d'élite près de Pokrovsk pour sécuriser une zone industrielle et une intersection clé. Deux à trois hélicoptères UH-60 Black Hawk, acquis via des fonds tchèques et slovaques, ont été utilisés pour transporter environ 11 à 33 opérateurs. Les troupes ont été immédiatement détectées par des drones de reconnaissance russes équipés d'imagerie thermique, clouant les hélicoptères au sol et abattant plusieurs opérateurs. Au moins 4 à 5 ont été confirmés tués dès les premières minutes, les Russes revendiquant la destruction totale de l'unité et d'un hélicoptère. La tactique, qualifiée d'« illettrée » par le journaliste ukrainien Yuri Butusov, exposait les forces à un « kill zone » ouvert, où les drones russes dominaient l'espace aérien. Malgré le courage exceptionnel des opérateurs – formés à des insertions risquées et comparables aux SAS de la Seconde Guerre mondiale – l'opération a été vaine: les cartes post-opération montrent aucune avancée significative, et les Russes ont continué leur progression.

ANALYSE DES RESPONSABILITÉS

Cette opération démontre le fossé abyssal entre le courage des forces spéciales ukrainiennes et l'incompétence des politiciens. Les opérateurs HUR, élite du pays, ont risqué leur vie dans une mission suicidaire, prouvant que l'Ukraine dispose encore de combattants hautement motivés et compétents. Cependant, les décideurs à Kiev, influencés par des pressions de l'Union Européenne, ont opté pour des actions spectaculaires mais inutiles. Les "amis" de l'Ukraine, en encourageant cette posture, ont trahi le pays une fois de plus : au lieu de pousser pour des négociations ou un redéploiement stratégique, ils ont sacrifié des vies pour des gains symboliques. Une critique interne, comme celle de Butusov, appelle à plus de réalisme tactique, mais elle reste ignorée au profit d'un narratif déconnectée...