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Musique : "🎹 L'avenir des pianos : les pianos acoustiques sont-ils en voie de disparition ? 🎹" :

SYNOPSIS :

Bienvenue pour une nouvelle plongée dans l'univers en constante évolution des pianos et de la création musicale moderne. Dans l'épisode d'aujourd'hui, nous explorons l'une des questions les plus stimulantes auxquelles sont confrontés musiciens et producteurs d'aujourd'hui : les pianos acoustiques sont-ils en train de disparaître ?

Rejoignez votre animateur, Stu Harrison, qui décortiquera la tension entre tradition et technologie, en examinant comment les innovations des pianos numériques, des instruments VST et de la modélisation hybride remodèlent le paysage pianistique. De la chaleur d'un piano à queue à la flexibilité des instruments virtuels, nous explorerons ce que l'avenir réserve à cet instrument intemporel.

Ce que vous apprendrez dans cette vidéo :
L'essor des pianos numériques et virtuels, et comment ils se comparent à leurs homologues acoustiques.
Comment les avancées technologiques en matière d'échantillonnage, de modélisation et de réponse au toucher redéfinissent le « réalisme ».
Les points de vue de pianistes professionnels, de professeurs et de producteurs sur l'évolution du rôle du piano dans la musique moderne. Les éléments émotionnels et tactiles qui rendent les pianos acoustiques irremplaçables, et où ils brillent encore.
Prédictions pour la prochaine décennie : Les pianos acoustiques deviendront-ils des objets de collection de niche, ou une renaissance se profile-t-elle à l'horizon ?

Principaux points de discussion :
L'héritage du piano acoustique : Pourquoi cet instrument vieux de plusieurs siècles conserve une puissance émotionnelle inégalée.

Innovation dans les technologies sonores : Un aperçu de la manière dont des entreprises comme Yamaha, Steinway et Native Instruments comblent le fossé entre la beauté analogique et le confort numérique.

Changements culturels : Comment les contraintes d'espace, l'accessibilité et le coût abordable influencent la possession et l'apprentissage du piano.

Facteurs environnementaux et économiques : Exploration des défis de durabilité et de production auxquels sont confrontés les fabricants de pianos modernes.

Que se passe-t-il ensuite : Une perspective équilibrée sur la coexistence possible des instruments acoustiques et numériques dans l'avenir de la musique.

L'importance de cette vidéo :
Il ne s'agit pas seulement d'un débat sur le son, mais d'une réflexion sur l'évolution de l'expression musicale. Que vous soyez pianiste traditionnel, producteur numérique ou simple mélomane, cette discussion vous invite à réfléchir à la véritable signification de l'« authenticité » à l'ère de l'innovation.

Quand vous voyez le son des synthétiseurs Yamaha haut de gamme, c'est vraiment réaliste.

Moins cher qu'un piano, beaucoup moins encombrant, et transportable. Pour ceux qui n'ont pas un grand appartement, ni beaucoup d'argent, le choix est vite fait.

Depuis avant-hier, jeudi, je fais face à une violente campagne de menaces et de harcèlements destinée à obtenir mon renvoi de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, où j'enseigne depuis bientôt neuf ans.

Chargé de travaux dirigés, puis conférencier en amphi, j'y ai donné, au fil des années, des cours de philosophie du droit, de droit civil, de droit constitutionnel, de droit des sociétés...

Tout a commencé mercredi soir, lorsqu'un article m'a été consacré sur le site d'extrême-gauche Révolution Permanente. Dès le lendemain, plusieurs syndicats étudiants d'extrême-gauche (le Poing Levé et le SAP1) réclamaient ma mise à l'écart. Par deux fois, ils ont même diffusé sur la messagerie interne de la faculté un courriel adressé à des milliers d'étudiants (voir plus loin) pour réclamer mon renvoi.

Le motif de cette chasse tient en peu de mots, affichés sur les montages qui circulent : "Un militant d'extrême-droite enseigne à Paris I."

On me reproche d'avoir été candidat aux législatives de 2024 sous l'étiquette du Rassemblement National, d'avoir cofondé, il y a dix ans, la Cocarde Étudiante, et d'être par conséquent, à les entendre, un dangereux fasciste. L'accusation ferait sourire, si elle ne trahissait pas tant d'ignorance : quiconque a lu mes travaux et écouté mes longs entretiens (et non les passages tronqués) sait la distance qui me sépare de ces caricatures. Mais c'est bien mon opinion, ou ce qu'on suppose être la mienne, qui sert aujourd'hui de prétexte à une chasse coordonnée. Cette campagne vise un but clair au vu de l'acharnement et des commentaires : me mettre une cible dans le dos dans mon quotidien d'enseignant.

Depuis, je vois passer des centaines de messages d'injures, de menaces, parfois de la part d'étudiants de Paris I. Et je redoute, un peu, le retour dans ces couloirs où j'ai tant aimé enseigner.

A cette heure, l'Université n'a pas réagi et du peu de contact que j'ai eu, on se contente simplement de déplorer la situation. J'ai presque le sentiment désagréable d'être le problème. Je n'en attendais guère autre chose, et ne leur en veux pas. L'Université m'a déjà montré, l'an passé, de quoi elle est capable lorsqu'elle a peur. Je ne me fais pas d'illusion sur ma situation, contractuelle : l'an prochain, on m'écartera doucement, avec des mots polis et de prétextes, comme on éteint une lampe qu'on juge inutile.

L'an dernier déjà, après mon engagement politique, on m'avait retiré tous mes enseignements. Parfois sans raison, parfois en m'avouant tout bas la vraie cause. Pour continuer à exercer, il m'a fallu, dérisoire subterfuge, enseigner sous le nom de ma mère. Ainsi, j'ai pu poursuivre ce qui, pour moi, n'a jamais été un simple gagne-pain, mais une vocation. Je ne me suis jamais plains de cet épisode. Je n'en voyais pas l'utilité.

Enseigner à la faculté n'est pas une affaire d'argent, et tous les collègues le savent bien. Mais il m'offrait, à moi qui travaille seul au quotidien, ce lien si précieux avec le monde universitaire et avec cette maison que j'aimais, jadis, comme étudiant.

Pendant neuf ans, j'ai enseigné à Paris I. J'y ai connu des centaines d'étudiants, de visages, de voix. Jamais je n'ai mêlé mes convictions à mes cours ; j'ai toujours respecté la diversité des opinions et encouragé la réflexion libre. J'ai donné sans compter, souvent hors de mes heures, parce que j'y trouvais un sens supérieur à mon métier d'avocat, tout simplement.

C'était un supplément d'âme en même temps que mon quotidien car je suis tous les jours en Sorbonne. Une manière de garder et de tisser le lien avec des générations d'étudiants. Ce qui me blesse aujourd'hui, plus que tout le reste, c'est d'avoir été dénoncé par l'un d'eux, à l'origine de toute cette cabale.

Je suis assez lucide et préparé : je sais contre quoi je me dresse. Ces groupuscules viendront peut-être troubler mes cours, m'invectiver, me guetter dans les couloirs. Qu'ils le fassent : j'y suis préparé. Je crains aussi de ne bénéficier d'aucune protection physique ou juridique de l'Université. J'en ai fait la demande pour le principe. Au mieux ils me diront que "pour ma sécurité" je ne dois plus enseigner jusqu'à fin décembre. Nous verrons bien. Et de toute façon je n'ai plus ni l'énergie ni les moyens d'ouvrir de nouveaux fronts par mes propres moyens : j'ai déjà deux plaintes en diffamation qui suivent leur cours. Depuis un an je fais face seul, mais lucide, à toutes les suites de l'engagement politique.

J'avais cru, naïvement, que je pourrais enseigner jusqu'à mes vieux jours, que transmettre était un droit aussi naturel que respirer. Peut-être avais-je tort.

L'enseignement à la Sorbonne fut, je le crois, le sens discret mais essentiel des dix dernières années. Je n'avais aucune illusion sur ma carrière, au regard de mes engagements politiques. Les événements d'hier et d'aujourd'hui prouvent assez qu'elle eût été brève si j'avais voulu m'y consacrer pleinement comme doctorant puis éventuellement maitre de conférences.
Mais enseigner, transmettre, demeurait pour moi un acte de foi, une manière de tenir encore à ce que j'aime de ce pays : son intelligence.

A cette heure, j'ignore encore si je dirais bientôt adieu à neuf années d'Université : neuf années de dévouement, de sens et de liens tissés avec tant d'étudiants que j'ai tant aimés instruire.

Si ce semestre doit être le dernier, je veux leur dire, si par hasard ils lisaient ce message, que leur curiosité, leur sérieux, leur intelligence et parfois leur bienveillance ont donné à ma vocation sa plus belle justification.

L'extrême gauche est une saloperie que je ne cesse de dénoncer, et qui ne cesse de détruire la société.

Concernant les écoles et universités, j'ai vu juste depuis des années : il faut y interdire l'activisme et la politique, exclure tous les contrevenants, et criminaliser toutes personnes de l'extérieur qui viole ce principe.

"Liberté d'expression, débats dans les médias, éducation... Conversation avec Frédéric Taddeï" :

SYNOPSIS :

"On est dans une période où tout le monde veut tout interdire. Selon les bords, on ne va pas interdire la même chose"

Conversation avec un animateur et journaliste rebelle : FRÉDÉRIC TADDEÏ

Y a t'il trop d'interdits dans notre société ? Les débats ont-ils encore leur place dans les médias ? Comment les hommes se situent face au plaisir féminin ? Comment élever nos enfants pour leur apprendre à se passer de nous ?

💥 Kiffez ce Bangerz, avec Frédéric Taddeï, celui qui pense que « La vie est belle quand on n'en n'a pas peur. »

#️⃣ Frédéric Taddeï :
Son compte Instagram : https://www.instagram.com/natachacale (

)...

📘 Ses livres:
Les birthday Books : https://www.grasset.fr/livres-birthda (

)...

THÉMATIQUES :

00:00 - Présentation
01:10 - Un âge pour se réaliser ?
10:53 - C'était mieux avant ?
12:24 - Education et confiance en soi
14:13 - L'importance de l'ennui
16:46 - Croire en Dieu, prières & superstitions
20:05 - Les gens disent n'importe quoi
23:31 - Derniers instants avec Thierry Ardisson
26:15 - Préparer son enfant à se passer de nous
29:20 - La vie est belle quand on n'en a pas peur
31:37 - Liberté d'expression & volonté de tout interdire
38:38 - Ce que les femmes peuvent envier aux hommes
40:06 - Les hommes face au plaisir féminin
42:35 - Interdire la diffusion de C8
43:57 - Les peines d'inéligibilité
45:50 - C-News et liberté dans les médias
48:26 - Patron autoritaire ?
51:32 - Un regret ? La prison
52:45 - L'interview "Emoticône"

Frédéric Taddeï est un esprit libre, quelqu'un sortant de l'ordinaire, et c'est rafraichissant.

Triste jour... : Robert Badinter va entrer au Panthéon aujourd'hui. Et la céromonie va être retransmise à la télévision... - Voir [ici] (

Dans une démocratie, c'est le demos kratos, le pouvoir du peuple, c'est le peuple, et le peuple seul (et pas un uluberlu intellectuel), qui décide s'il veut tuer ou pas un criminel !

Robert Badinter est l'exemple même de l'intellectuel ténébreux, dissimulé derrière des airs polissés, qui enfume les esprits par une rhétorique sournoise et léchée, arrivant à faire passer des criminels pour des gens à respecter, des gens ayant une dignité. Mais la dignité n'est pas un capital infini. On peut la perdre, l'épuiser. La preuve : il existe les mots "indigne" et "indignité".

Sur le fronton du Panthéon est gravé : "Aux grands hommes la patrie reconnaissante"...
En quoi notre patrie devrait-elle être reconnaissante à Robert Badinter ? Pour avoir laissé vivre des criminels et laisser mourir des milliers d'innocents tués par les premiers ?

Même Dieu châtie les criminels en les tuant. La hiérarchie divine tue des milliers de gens chaque jour, mais môssieur Badinter, en bon pédant vaniteux qu'il est, croit mieux savoir que Dieu et sa hiérarchie ce qu'il convient de faire...

D'ailleurs son nom que Dieu lui a affublé dit tout : Robert, c'est un guignol, un badin, il n'est pas sérieux.

Quel que soit le bout par lequel on aborde la question de la peine de mort, Robert Badinter a tout faux.

Complément : La tombe de Robert Badinter profanée et taguée au cimetière de Bagneux le jour de son entrée au Panthéon - Voir [ici] (

Bravo aux patriotes lucides et courageux ayant fait ce coup de poing hautement symbolique !

Et que des meurtriers et des assassins vivent, et soient entretenus par la société !!! En quoi c'est humaniste Ducon ?!!!

On vit vraiment dans une période satanique, de mensonge intégral, et d'inversion de toutes les valeurs, et de toutes les vérités.

Ces gens sont prêts à toutes les bassesses, à tous les renoncements, pour être élus.

SYNOPSIS :

Hervé Lehman, avocat et ancien juge d'instruction, est l'invité d'Anne-Emmanuelle Isaac dans Points de Vue.

Il n'y a plus de Justice, mais une double peine pour les victimes et la société !!!

SYNOPSIS :

Sur LigneDroiteMatinale notre porte-parole a pu dénoncer les méfaits de cet idole de la gauche, à qui on fait l'honneur d'une entrée au Panthéon.

Pardon de casser ce bel unanimisme, mais faire entrer Robert Badinter au Panthéon c'est aussi sanctifier une vision de la justice qui a désarmé la société face aux criminels. Il a été le grand avocat des "peines alternatives à la prison" et a promu le laxisme judiciaire. Il est aussi celui qui a transformé le Conseil constitutionnel en un outil de contrôle politique qui permet depuis des décennies d'encadrer l'action des gouvernements de droite.

Je sais que la droite se sent toujours obligée d'applaudir les hommes de gauche, mais au nom de toutes les victimes du laxisme d'État, permettez-moi de m'abstenir.

Immigration clandestine : Fabrice Leggeri : "Rien n'est fait pour traiter cette arrivée migratoire !" - Par Frontières :

SYNOPSIS :

Fabrice Leggeri, ancien directeur de Frontex, l'agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, actuellement député européen RN, nous livre son analyse de la situation migratoire en Europe. Cet entretien a été réalisé dans le cadre du documentaire Invasion migratoire : sur la route des passeurs, disponible sur Frontières+

Retrouvez le documentaire Invasion migratoire, sur la route des passeurs : https://www.frontieresmedia.fr/plus/d (

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FRONTIÈRES+, c'est l'occasion pour notre média de vous proposer des formats longs, des documentaires, des séries sur des thématiques variées telles que la culture, l'économie, l'histoire, la société, la géopolitique et la natalité, en plus de nos thèmes phares : l'immigration, l'insécurité et l'islamisme.

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Nous cherchons à agrandir notre équipe ! Pour cela, nous recrutons des alternants en montage vidéo et journalisme à partir de septembre sur Paris.
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Immigration clandestine : Xavier Driencourt : "Nous ne sommes pas armés pour lutter contre l'immigration illégale !" - Par Frontières :

SYNOPSIS :

Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie et expert des relations diplomatiques nous livre son analyse de la situation migratoire en Europe. Cet entretien a été réalisé dans le cadre du documentaire Invasion migratoire : sur la route des passeurs, disponible sur Frontières+.

Retrouvez le documentaire Invasion migratoire, sur la route des passeurs : https://www.frontieresmedia.fr/plus/d (

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"La nouvelle méga-gare de Chine : 5 fois plus grande que la Gare du Nord !" - Par Cn Walking :

SYNOPSIS :

Bonjour à tous ! Aujourd'hui, je visite la gare de Chongqing Est, une gare ferroviaire nouvellement construite et extrêmement vaste en Chine. Avec une superficie totale de 1,23 million de mètres carrés, soit cinq fois la taille du Grand Central Terminal de New York et sept fois celle de la gare de Tokyo, son ampleur est tout simplement époustouflante.

Elle peut accueillir jusqu'à 10 000 passagers simultanément, avec 28 quais, permettant aux voyageurs de changer facilement de ligne en seulement 5 minutes.

La construction a duré 38 mois. Les plans étaient extrêmement complexes ; les ingénieurs ont déclaré que leur équipe avait passé quinze jours à les étudier. La structure en acier du toit pèse jusqu'à 4 400 tonnes et, grâce à une technologie de contrôle de précision millimétrique, ils ont réussi à réaliser cette imposante structure en forme d'arbre aux multiples courbes.

Le hall principal de la gare est très spacieux. Pour y accéder, il suffit de passer le contrôle de sécurité – aucun billet n'est requis – du thé et de l'eau sont offerts à l'intérieur. Lors des chaudes journées d'été, de nombreux habitants du quartier viennent s'y réfugier pour échapper à la chaleur, notamment le week-end, où les gens affluent pour prendre des photos et consulter les réseaux sociaux.

Il faut environ 40 minutes de métro pour rejoindre la gare de Chongqing Est depuis le centre-ville. Dès la sortie, vous apercevrez immédiatement les imposantes colonnes en forme d'arbres à l'intérieur, véritablement majestueuses et impressionnantes. C'est notamment l'endroit idéal pour admirer le coucher de soleil le soir, et de nombreuses personnes viennent y tourner de courtes vidéos.

Le toit est doté d'un mur-rideau en verre spécial qui laisse entrer la lumière naturelle pendant la journée, projetant au sol des motifs évoquant les vagues ondulantes d'une rivière. Cela crée une atmosphère de « pôle de transport fluvial et montagneux », faisant écho à l'identité urbaine unique de Chongqing, « une ville au milieu des montagnes, traversée par l'eau ».

Aujourd'hui, laissez-moi vous faire visiter cet incroyable projet centenaire !

SOMMAIRE :

00:00 Aperçu vidéo
00:45 Vue de jour autour de la gare
03:44 Boutiques en construction au 2e étage
08:29 Entrée dans le hall ouest au crépuscule
11:19 Touristes prenant des photos au coucher du soleil
14:13 Salle d'attente au 2e étage
18:40 Plafond intérieur futuriste
21:13 À l'intérieur de la salle d'attente
24:01 Embarquement dans un train roulant à 350 km/h

	Dans une démocratie, la justice ne peut plus exercer le pouvoir de tuer.
Robert Badinter, 17 septembre 1981.

	Éternelle est leur reconnaissance, les assassins, les pédos, les violeurs, la République le sanctifient.
Tags sur la tombe de l'infâme Robert Badinder.