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Lundi 23 Juin 2025 - News # 96029Astronomie et insolite : Un astéroïde s'écrasant sur la Lune risque d'endommager des satellites, selon une étude - Voir [ici] (
En complément sur astronomie :
En complément sur astéroïde :
En complément sur insolite :
Samedi 21 Juin 2025 - News # 95967"L'intelligence artificielle militaire peut-elle nous échapper ?" - Par Idriss Aberkane :
SYNOPSIS :
L'IA MILITAIRE PEUT-ELLE DEVENIR INCONTRÔLABLE ? LES PROGRÈS D'ANDURIL ET PALISADE RESEARCH
Cette vidéo explore une question brûlante : l'IA militaire risque-t-elle d'échapper à tout contrôle ? À travers les avancées d'Anduril Industries et les découvertes de Palisade Research, nous analysons les progrès vers l'AGI, la singularité technologique et les dangers de la militarisation de l'IA. Découvrez comment ces acteurs redéfinissent la guerre moderne et les risques d'un futur où l'IA pourrait agir sans supervision humaine.
LES INNOVATIONS D'ANDURIL INDUSTRIES
Fondée en 2017 par Palmer Luckey, Anduril Industries révolutionne la défense avec des systèmes autonomes. Leur plateforme Lattice OS intègre en temps réel des données de drones, capteurs et véhicules autonomes, offrant une coordination avancée pour les opérations militaires. En 2024, Anduril a levé 1,5 milliard de dollars, atteignant une valorisation de 14 milliards, et en février 2025, des discussions pour 2,5 milliards supplémentaires pourraient porter sa valeur à 28 milliards. Leur chiffre d'affaires 2024 avoisine 1 milliard de dollars, défiant des géants comme Lockheed Martin.
Anduril a développé le Seabed Sentry, un réseau de capteurs sous-marins sans câbles, optimisé par l'IA pour une surveillance discrète. Ils ont intégré des propulseurs efficaces dans leurs véhicules sous-marins autonomes, améliorant performance et coût. En décembre 2024, un partenariat avec Palantir a été annoncé pour combiner Lattice OS avec l'IA de Palantir, visant à décrocher des contrats gouvernementaux. Anduril a aussi repris le programme de casques de réalité augmentée de Microsoft pour l'armée américaine (22 milliards de dollars) et travaille sur le système antimissile Golden Dome, basé sur des satellites et l'IA. Leur usine Arsenal-1, prévue pour 2025 en Ohio, produira des systèmes autonomes à grande échelle, renforçant leur position dans l'industrie.
LES DÉCOUVERTES DE PALISADE RESEARCH
Palisade Research, une organisation à but non lucratif, étudie les risques des capacités offensives de l'IA. En 2024, ils ont déployé un système de honeypot dans 10 pays, analysant 1,7 million d'interactions pour détecter les attaques autonomes par IA. Ce système distingue les menaces IA des attaques traditionnelles, renforçant la cybersécurité. Ils ont aussi démontré qu'il est possible de contourner les protections du modèle Llama 2-Chat 70B pour moins de 200 dollars, une découverte présentée lors d'audiences sénatoriales américaines en 2024. Ces travaux ont influencé des recommandations pour réguler les modèles IA à double usage, soulignant les risques d'une IA offensive incontrôlable.
RISQUES ET SINGULARITE
Les avancées d'Anduril et les alertes de Palisade mettent en lumière les dangers de l'IA militaire. Les systèmes autonomes, comme les drones d'Anduril, pourraient déclencher des escalades involontaires en supprimant le jugement humain, violant potentiellement le droit international. Les biais dans les données d'entraînement risquent d'amplifier les erreurs, notamment en reconnaissance faciale. Palisade avertit qu'une IA atteignant l'AGI pourrait surpasser les capacités humaines, rendant le contrôle difficile. La course mondiale à l'armement IA, impliquant les États-Unis, la Chine et la Russie, complique la régulation, certains pays rejetant l'interdiction des armes autonomes.Non évalué.
En complément sur Idriss Aberkane :
Jeudi 19 Juin 2025 - News # 95926Israël versus Iran :
- La Maison-Blanche affirme que l'Iran n'aurait besoin que de deux semaines pour assembler une bombe nucléaire.
C'est n'importe quoi toutes ces déclaration sur ces délais.
- Le président américain estime «substantielle» la possibilité de négociations avec Téhéran. En pleine réflexion sur l'attitude à adopter, Donald Trump «prendra la décision d'attaquer ou non l'Iran dans les deux semaines à venir».
- Le chef du Hezbollah dit que son mouvement «agira comme il l'entend» dans la guerre Iran-Israël.
- Sous la menace de frappes américaines, l'Iran refuse de capituler.
- Le général Kurilla, au centre des préparatifs militaires américains.
- Des dizaines d'avions militaires américains ont été retirés du tarmac de l'une des plus grandes bases américaines du Moyen-Orient, selon des images satellites, ce qui protégerait le matériel d'éventuelles frappes de Téhéran.
- 65 % des missiles tirés par l'Iran au cours des dernières 24 heures ont été interceptés par Israël, contre près de 90 % la veille.
Si l'information est véridique, cela signifie que les Israéliens commencent à manquer de munitions.
- Le Pentagone doute encore de la capacité des bombes GBU-57 à détruire le site nucléaire de Fordo.
Samedi 14 Juin 2025 - News # 95787"Situation en Israël et enjeux cachés de la guerre avec l'Iran | en direct avec Meron Rapoport" - Par Idriss Aberkane :
SYNOPSIS :
1. Aperçu des frappes iraniennes
Horaire : Les frappes ont commencé vers 03h30 heure locale (01h00 BST) le 13 juin 2025, en réponse aux frappes israéliennes sur l'Iran plus tôt ce jour-là.
Échelle : L'Iran a lancé environ 100 à 150 missiles balistiques en deux salves et plus de 100 drones visant le territoire israélien.
Cibles : Les frappes visaient des installations militaires, dont la base de Glilot près de Tel-Aviv (abritant le Mossad et l'Unité 8200), d'autres bases militaires et des zones civiles. Des explosions signalées à Tel-Aviv, Jérusalem, Ramat Gan et dans le sud d'Israël.
Interception : Le Dôme de fer, le système antimissile Arrow 4 et les forces alliées (États-Unis, Royaume-Uni) ont intercepté la majorité des projectiles. Environ 88 % des missiles et 92 % des drones ont été abattus.
2. Déclarations iraniennes
Guide suprême Ali Khamenei : A qualifié les frappes israéliennes de « déclaration de guerre » et affirmé qu'Israël « devrait s'attendre à une punition sévère ». Il a insisté pour ne pas exagérer ni minimiser l'attaque.
Ministre des Affaires étrangères Abbas Araghchi : A dénoncé les actions israéliennes comme des « actes d'agression » et une « déclaration de guerre », revendiquant le droit de l'Iran à défendre sa souveraineté « avec toute sa force et de la manière qu'il juge appropriée ». L'Iran a condamné les frappes comme une violation du droit international et tenu les États-Unis pour responsables en tant que principal soutien d'Israël.
Général Mohammad Pakpour (IRGC) : A promis d'ouvrir « les portes de l'enfer » en représailles, signalant une réponse militaire forte.
Président Massoud Pezeshkian : A déclaré que l'Iran ne cherche pas la guerre mais fournira une « réponse proportionnée » à l'agression israélienne au moment opportun.
Contexte de la riposte : L'Iran a présenté les frappes comme une légitime défense en réponse aux attaques israéliennes des 12-13 juin 2025, visant les installations nucléaires (Natanz, Fordow) et tuant des officiers militaires et scientifiques.
3. Évaluation des dommages
Pertes et dégâts israéliens :
Victimes : Entre 16 et plus de 40 blessés signalés, dont 2 graves, 1 modéré et 13 à 37 légers. Aucun décès israélien confirmé.
Dégâts matériels : Dommages minimes rapportés. Neuf sites d'impact de missiles confirmés à travers Israël, avec des impacts à Tel-Aviv et dans le sud. Un incendie de forêt déclenché par des éclats.
Bases militaires : Aucun dégât significatif aux installations clés comme la base de Glilot ou le site nucléaire de Dimona, bien que des impacts aient été signalés près de sites militaires. La base aérienne de Nevatim a subi des dommages mineurs mais reste opérationnelle.
Revendications iraniennes :
Les médias d'État et officiels iraniens ont minimisé les frappes israéliennes, affirmant des « dommages limités » aux systèmes radar et sites militaires à Téhéran, Khouzestan et Ilam.
L'Iran a rapporté quatre soldats et un civil tués lors des frappes israéliennes, avec des allégations non vérifiées de victimes civiles, y compris des enfants.
Revendications israéliennes :
Israël a revendiqué des dommages importants aux programmes nucléaire et balistique iraniens, avec des frappes sur Natanz et Fordow causant un recul estimé de 6 à 8 ans. Une fuite de Cs-137 aurait eu lieu à l'UCF d'Ispahan, et les installations de missiles de Parchin auraient été détruites.
La plupart du réseau de défense aérienne iranien, y compris les systèmes S-300, aurait été neutralisé, laissant Téhéran vulnérable à de futures frappes.
Vérification indépendante :
L'AIEA a signalé aucune augmentation des niveaux de radiation à Natanz, contredisant les allégations de dommages nucléaires significatifs.
Les analyses d'images satellites et open-source sont en attente, mais les premiers rapports suggèrent que l'infrastructure militaire iranienne a subi plus de dégâts que ce qui est officiellement admis.
4. Contexte et risques d'escalade
Déclencheur israélien : Les frappes iraniennes répondaient à l'opération israélienne des 12-13 juin 2025 (« Lion rugissant »), ciblant les sites nucléaires iraniens et tuant des figures clés comme des commandants du CGRI et des scientifiques nucléaires.
Dynamiques régionales : Les États-Unis ont appelé à la désescalade, le président Biden espérant que cela marque la fin des échanges directs.
Réponse iranienne potentielle : Les renseignements suggèrent que l'Iran pourrait planifier une riposte limitée, peut-être via des proxies en Irak, pour éviter une guerre totale.
Implication des alliés : Les forces américaines, britanniques et jordaniennes ont aidé à intercepter les projectiles iraniens, soulignant le soutien de la coalition à Israël.Non évalué.
En complément sur Idriss Aberkane :
En complément sur Meron Rapoport :
Vendredi 13 Juin 2025 - News # 95746Israël versu Iran : "Mossad, F-35 et Pizzas : Les Secrets de l'Opération Rising Lion en Iran" - Par Idriss Aberkane :
SYNOPSIS :
1. Contexte de l'attaque israélienne
Date : 13 juin 2025.
Objectifs : Frappes sur le site nucléaire de Natanz, usines de missiles balistiques, bases aériennes et résidences de scientifiques iraniens. L'opération « Rising Lion » visait à freiner le programme nucléaire iranien.
Contexte : Tensions après l'échec des négociations nucléaires, avec un ultimatum américain de 60 jours. Réaction à l'attaque iranienne d'octobre 2024 (True Promise II).
Ampleur : Plus de 100 avions (F-35 furtifs) et opérations au sol du Mossad.
2. Opérations du Mossad
Actions : Infiltration d'unités du Mossad pour neutraliser les défenses antiaériennes iraniennes (S-300).
Moyens : Drones et dispositifs de brouillage déployés près des batteries sol-air (SAM). Une base secrète de drones a ciblé les lanceurs.
Résultat : Défenses iraniennes désactivées, permettant aux F-35 d'opérer sans opposition.
Impact : Destruction de la capacité de production de missiles balistiques pour un an, selon des sources britanniques.
3. Vol de Netanyahou à Athènes
Confirmation : Flightradar24 et posts sur X confirment qu'un avion gouvernemental israélien (probable indicatif IAF001) a atterri à Athènes le 13 juin, transportant Benjamin Netanyahu.
Motif : Probable mesure de sécurité face à d'éventuelles représailles iraniennes ou réunion diplomatique. Aucune confirmation officielle israélienne.
Contexte : Netanyahou a revendiqué l'attaque dans une vidéo, annonçant des frappes « réussies » contre le programme nucléaire iranien, à poursuivre « si nécessaire ».
4. « Pizza Meter » du Pentagone
Concept : Hausse des commandes de pizzas près du Pentagone, indicateur informel d'activité militaire.
Prédiction : Posts sur X signalent une augmentation des commandes avant le 13 juin, suggérant que les États-Unis anticipaient l'attaque israélienne.
Limites : Anecdotique, mais cohérent avec l'information préalable des États-Unis sur l'opération.
5. Réactions américaines
Position : Informés à l'avance, les États-Unis (sous Trump) n'ont pas participé. Trump a insisté sur Truth Social pour un accord nucléaire iranien rapide.
Soutien : Renseignements satellites fournis à Israël, selon des sources. Trump prêt à défendre Israël en cas de riposte iranienne.
Désescalade : Appel à la retenue via l'ONU, relayé par certains officiels américains, pour éviter une guerre régionale.
6. Réactions iraniennes
Dénonciation : Ali Khamenei promet une « punition sévère » à Israël.
Pertes : Morts confirmées :
Général Hossein Salami (Gardiens de la révolution).
Général Mohammad Bagheri (état-major).
Six scientifiques nucléaires, dont Fereydoun Abbasi.
Dégâts : Iran minimise (« dégâts limités »), mais destructions majeures à Natanz, Tabriz, Téhéran.
Riposte : 100 drones lancés contre Israël, majoritairement interceptés. Promesse d'une réponse « puissante ».
7. Conséquences
Victimes : 95 blessés en Iran, dégâts dans des zones civiles.
Aérien : Suspension des vols à Téhéran, fermeture de l'espace aérien irakien, annulations Air France vers Tel-Aviv. Flightradar24 montre un trafic quasi nul.
Risque : Affaiblissement militaire iranien, mais menace d'escalade régionale.Non évalué.
Complément : Qu'est-ce que l'«indice pizza», qui aurait permis de prévoir l'attaque d'Israël sur l'Iran ? - Voir [ici] (
En complément sur Idriss Aberkane :
En complément sur Israël Iran :
Lundi 2 Juin 2025 - News # 95377"UKRAINE : DRONES CONTRE BASES MILITAIRES - NOUVEAU DANGER MONDIAL ?" - Par Ate Chuet :
SYNOPSIS :
Dans cette vidéo, nous allons revenir sur l'attaque "Spiderweb" de l'armée ukrainienne, avec l'utilisation de 117 drones déployés à travers toute la Russie.
Fly safe !
"Até"
CHAPITRAGE :
00:00 DRONES CONTRE BASES MILITAIRES : NOUVEAU DANGER MONDIAL ?
03:47 SPIDERWEB
06:56 PEARL HARBOR ?
09:06 2 CENTS18 mois de préparation, une logistique démente, 4 bases touchées... Bref, une super opération qui fait penser à celle d'Israël avec des talkies-walkies et bipeurs piégés livrés aux membres du Hezbollah.
J'ai peur que les Russes se couchent encore. Alors même que leur doctrine nucléaire prévoit une réponse nucléaire lorsque des éléments de la stratégie nucléaire russe sont attaqués. Que va faire Vladimir Poutine ? Va-t'il oser tirer un missile nucléaire tactique sur une zone dépeuplée pour envoyer un signal clair et exiger la capitulation sans conditions ? Pas du tout sûr... Quelles rétorsions les Russes vont-ils infliger à l'Ukraine ? Affaire à suivre...
À voir !
Compléments :
Commentaire de @abuseofmainstreammediacanh5713 :
Je suis surpris de voir que si peu d'analystes mentionnent l'implication du partage des données de position de la flotte de bombardiers stratégiques russes (contrats de sécurité nucléaire) des États-Unis avec l'Ukraine. Pourquoi personne ne mentionne que les bombardiers russes étaient stationnés à l'air libre conformément aux traités de désarmement - délibérément visibles pour les satellites de reconnaissance américains, mais donc aussi sous la garantie de sécurité des États-Unis, si je suis bien informé. Je trouve que la possibilité (la probabilité) que ces renseignements issues de mesures de confiance aient été transmis à l'Ukraine en tant que données "target" par les États-Unis mérite d'être mentionnée. Pourquoi personne n'en parle ?
Commentaire de @francois-xaviergonnet7216 :
Il faut quand même imaginer une salle avec des dizaines de pilotes de drones, tous connectés via des téléphones portable à leur matériel, et prêt à lancer une immense attaque combiné sur des dizaines de cibles en différents endroits de la Russie.
C'est vraiment un très gros coup...
Y-a-t'il un traité impliquant aux Russes et aux Américains d'exposer leurs bombardiers à la vue de tous ? Oui, le traité impliquant que les Russes et les Américains exposent leurs bombardiers stratégiques à la vue de tous, notamment pour une vérification par satellite, est le traité New START (Strategic Arms Reduction Treaty), signé le 8 avril 2010 à Prague entre les États-Unis et la Russie. Ce traité, qui limite les arsenaux nucléaires stratégiques des deux pays, inclut des mesures de transparence et de vérification, telles que l'obligation de maintenir les bombardiers stratégiques dans des bases où ils peuvent être observés par des satellites, facilitant ainsi le contrôle du respect des plafonds d'armements (1 550 ogives déployées et 800 lanceurs, y compris les bombardiers lourds). Cela permet à chaque partie de surveiller les moyens de projection nucléaire de l'autre, comme mentionné dans plusieurs posts sur X.
Cependant, il est important de noter que la Russie a suspendu sa participation aux inspections prévues par le traité New START en février 2023, en réponse à l'aide occidentale à l'Ukraine, bien que certaines pratiques de visibilité des bombardiers semblent avoir été maintenues par les deux parties.
En complément sur Ate Chuet :
En complément sur Spiderweb :
Lundi 2 Juin 2025 - News # 95370Ukraine versus Russie : "UKRAINE : L'AVIATION RUSSE DÉTRUITE ?" - Par Omerta :
SYNOPSIS :
Alors que des pourparlers de paix s'ouvrent aujourd'hui à Istanbul, l'Ukraine affirme avoir abattu 40 bombardiers russes lors d'une opération d'envergure sans précédent. Cette perte massive pourrait-elle marquer un tournant stratégique et diplomatique dans la guerre ? Entre efforts de paix et escalade sur le terrain, l'avenir des négociations semble plus incertain que jamais.Démentiel !
Vu le nombre d'avions détruits ou enmdommagés, dans le doute, j'ai posé la question à Grok :
Combien de bombardiers stratégiques russes ont été détruit pas des drones lancés par les Ukrainiens récemment ? Selon des sources ukrainiennes, notamment le Service de sécurité de l'Ukraine (SBU), environ 41 bombardiers stratégiques russes auraient été détruits ou endommagés lors d'une opération massive de drones le 1er juin 2025, ciblant quatre aérodromes militaires russes, dont ceux de Belaïa, Olenya, Dyagilevo et Ivanovo. Cette opération, nommée "Toile d'araignée" (Pavutyna), a visé des appareils tels que des Tu-95, Tu-22M3 et A-50. Les dégâts sont estimés à 7 milliards de dollars par le SBU, qui revendique avoir touché 34 % des porte-missiles stratégiques russes.
Cependant, Moscou confirme l'attaque sans préciser le nombre exact d'avions touchés, et seules 11 destructions ont été visuellement confirmées par des sources indépendantes à ce jour. Les chiffres exacts restent à vérifier via des images satellites dans les prochains jours.
Puis à ChatGPT :
Parle moi de l'opération Spider Web. Lors de l'Opération Toile d'araignée (Operation Spider Web), menée le 1er juin 2025, l'Ukraine a revendiqué la destruction ou l'endommagement de 41 avions militaires russes, dont une part significative de bombardiers stratégiques. Wikipédia
Détails de l'opération :
Cibles principales : les bombardiers stratégiques russes, notamment les Tu-95MS et Tu-22M3, ainsi que des avions de détection avancée A-50. The Times
Méthode d'attaque : 117 drones FPV, dissimulés dans des conteneurs en bois transportés par des camions, ont été lancés à proximité de cinq bases aériennes russes : Belaïa, Diaguilevo, Ivanovo Severny, Olenia et Voskressensk. The Australian+2Wikipédia+2Wikipédia+2
Impact stratégique : Selon le Service de sécurité d'Ukraine (SBU), environ 34 % de la flotte de bombardiers stratégiques russes ont été neutralisés, infligeant des pertes estimées à 7 milliards de dollars. Wikipédia
Réaction russe : Le ministère russe de la Défense a confirmé des attaques sur plusieurs bases aériennes, reconnaissant des dommages à Olenia et Belaïa, tout en qualifiant l'opération de "terroriste". Wikipédia
Cette opération, préparée sur 18 mois, représente l'une des frappes les plus audacieuses de l'Ukraine, démontrant une capacité à mener des attaques en profondeur sur le territoire russe.
A-t'on des sources autres qu'Ukrainiennes qui corroborent le chiffre de 41 avions militaires russes impactés ? Oui, plusieurs sources non ukrainiennes corroborent les affirmations de Kyiv concernant l'Opération Spider Web, notamment en ce qui concerne les dommages infligés à environ 41 avions militaires russes, dont des bombardiers stratégiques.
Sources internationales confirmant les dommages
Reuters : a rapporté que l'attaque, menée le 1er juin 2025, a endommagé ou détruit 41 appareils, dont des bombardiers Tu-95 et Tu-22M3. Les drones explosifs étaient dissimulés dans des abris en bois transportés par camion, puis activés à distance à proximité de cinq bases aériennes russes, dont Belaya en Sibérie orientale. Reuters
The New York Post : a qualifié l'opération de "Pearl Harbor russe", soulignant que des bombardiers nucléaires stratégiques ont été touchés sur des bases situées jusqu'à 4 000 km de l'Ukraine. New York Post
The Guardian : a confirmé que l'attaque a causé des dommages estimés à 7 milliards de dollars, affectant environ un tiers de la flotte de bombardiers stratégiques russes.
Wikipedia (en anglais) : indique que l'opération a visé cinq bases aériennes russes (Belaya, Dyagilevo, Ivanovo Severny, Olenya et Ukrainka), avec 117 drones utilisés pour endommager ou détruire plus de 40 avions, selon les autorités ukrainiennes. Wikipédia
Réactions russes
Le ministère russe de la Défense a reconnu des attaques sur plusieurs bases aériennes, admettant des dommages à Olenya et Belaya, tout en qualifiant l'opération de "terroriste". Cependant, il n'a pas fourni de chiffres précis sur les pertes en avions.
Conclusion
Bien que les chiffres exacts puissent varier, plusieurs sources internationales indépendantes confirment que l'Opération Spider Web a infligé des dommages significatifs à la flotte aérienne russe, affectant notamment des bombardiers stratégiques. Ces informations sont corroborées par des rapports de médias reconnus et des analyses d'experts en défense.
Donc, il s'agit d'une opération majeure. Et elle n'a pas pu être organisée sans l'appui de pays Occidentaux, Royaume-Uni et États-Unis en tête. Sans compter bien sûr aussi L'OTAN.
Elle pose un certain nombre de questions :
- Alors que des négociations de "paix" s'ouvrent, on peut légitimement se demander si les Ukrainiens cherchent la fin de la guerre. Parce-que de tels dommages ne resteront pas impunis par les Russes.
- Il y a décidément des incompétents au sein des Forces armées de la Fédération de Russie, et certains vont sauter comme des bouchons de champagne. Il est ahurissant que des bases aussi importantes ne soient pas protégées contre l'attaque de drones.
En complément sur Omerta :
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