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Meurtre de Lola : Dahbia Benkired n'a pas fait appel de sa condamnation à la perpétuité incompressible - Voir [ici] (

Quand je pense qu'on va entretenir ce monstre durant toute sa vie... Et elle a 27 ans.

Et elle idiote, en plus : elle n'a rien à perdre à faire appel de sa condamnation, surtout dans le système judiciaire laxiste d'aujourd'hui.

"Un arnaqueur pro nous dévoile les pires scams de 2025" - Par Underscore_ :

SYNOPSIS :

Les techniques d'arnaque les plus redoutables exposées par quelqu'un qui connaît le système de l'intérieur.

Cette vidéo confirme mon point de vue sur les faussaires, les arnaqueurs, etc. : il faut des peines dissuasives terribles, du genre en camp de travail forcés et des amendes records.

Racailles voleurs : EN DIRECT - Braquage au Louvre : un bijou retrouvé, les suspects en fuite - Voir [ici] (

Le laxisme judiciaire qui ne fait que laisser les criminels prospérer, ça suffit !

Complément : Braquage au Louvre : plusieurs bijoux inestimables dérobés. Dans leur fuite, les voleurs ont fait tomber et brisé la couronne de l'impératrice Eugénie, un joyau impérial de 1.354 diamants et 56 émeraudes (MàJ) - Voir [ici] (

Dénis de justice : pour les victimes, la double peine

Le 15 octobre dernier paraissaient deux articles dans les colonnes du Figaro qui en disent long sur l'état de délabrement de notre système judiciaire et sur le manque criant de moyens dont disposent les services de police pour protéger les Français correctement.

Pour qui est lucide sur la situation du pays, ces révélations ne seront malheureusement pas surprenantes. En revanche, pour qui s'est enfermé dans l'idée que tout va bien dans le meilleur des mondes possibles, la réalité est là, crue, implacable, brutale.

S'appuyant sur un rapport confidentiel conjoint de l'inspection générale de la justice (IGJ) et de l'inspection générale de l'administration (IGA) publié en 2023, le premier article s'attarde ainsi sur « ces millions de plaintes jamais traitées » et nous apprend :
- que la justice pénale comptait, à la fin de l'année 2022, près de 2,7 millions de procédures en attente de traitement, dont un quart depuis plus de trois ans !
- que la capacité de traitement par les services d'investigation est inférieure de 10% au nombre d'affaires nouvelles à traiter ;
- que dans ce stock, des affaires graves de viols et d'agressions sexuelles, pour lesquelles les auteurs présumés étaient identifiés ou localisés, dorment dans des cartons depuis des années...

Mais ce n'est pas tout. Le lecteur lira, non sans intérêt, que, pour apurer les stocks, le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, aurait donné aux procureurs la consigne d'employer la « procédure 72 » qui permet de classer les affaires « pour incapacité de traitement par la police dans des délais raisonnables ». Terrible aveu d'échec. Aboutissement de longues années d'une inexorable dérive de notre système judiciaire...

Quant au second article, il détaille « le naufrage annoncé de la justice criminelle ». Tout aussi édifiant que le premier, nous découvrons par exemple :
- que le procureur général près de la Cour de cassation évalue aujourd'hui à plus de 4000 les dossiers criminels non jugés, un nombre en constante augmentation et une situation dont il avoue qu'elle aboutira immanquablement à la libération de dangereux criminels ;
- et que le procureur général d'Aix-en-Provence regrette qu'il faille désormais « 75 mois pour juger un viol », soit près de 6 ans ! Imagine-t-on seulement le surcroît de souffrance que ces délais ne doivent pas manquer d'engendrer chez les victimes ?

Les causes de ce désastre sont multiples. Nous les connaissons : hausse de la délinquance et de la criminalité, découragement des services de police, manque d'enquêteurs, procédures pénales complexes et chronophages, manque de places dans les prisons, laxisme judiciaire, multiplication des zones de non-droit, importation massive sur notre sol de cultures incompatibles avec nos modes de vie... Autant de raisons qui poussent une majorité de nos compatriotes à réclamer une coalition des droites chargée de rétablir l'ordre.

Notre système judiciaire s'effondre. Le chaos s'installe. Et cependant les irresponsables politiques qui nous gouvernent ont fait le choix honteux, en échange d'un maigre sursis leur permettant de conserver leurs prébendes, de laisser quelques apparatchiks socialistes, encore encartés dans un parti sans aucune légitimité, dicter leurs exigences.

Les victimes, doublement victimes parce que la justice leur est trop souvent déniée, méritent assurément autre chose que cette triste et mauvaise farce qui n'a décidément que trop duré.

Robert Badinter, dont la tombe a été profanée lâchement, est bien sûr l'incarnation d'une époque révolue où les politiques avaient une culture qui donnait de la tenue au débat. Mais l'hommage au Panthéon dépasse les destins individuels. C'est un choix éminemment politique.

Aux grands hommes, la patrie reconnaissante.
C'est ce qu'il y a écrit au fronton du Panthéon.
C'est sous cette glorieuse épitaphe que Robert Badinter va y entrer aujourd'hui.

Mais la patrie n'est pas reconnaissante à l'homme qui a aboli la peine de mort pour les criminels endurcis, mais pas pour les victimes.

La patrie n'est pas reconnaissante au ministre de la Justice qui, dès son arrivée place Vendôme en mai 1981, a vidé les prisons.
Combien de vols, de viols, de meurtres, combien de victimes éplorées ont-elles pâti de cette fausse générosité ?

La patrie n'est pas reconnaissante au socialiste qui a noyauté tous les rouages de son ministère avec les militants du Syndicat de la magistrature, qui, depuis quarante ans, ont contaminé la justice française de leur idéologie sectaire, laxiste et victimaire.

La patrie n'est pas reconnaissante au président du Conseil constitutionnel qui a achevé sa transformation en une Cour suprême à l'américaine, qui ne respecte ni la lettre ni l'esprit des institutions voulues par le Général de Gaulle, et qui a fait que notre Ve République n'est plus une démocratie dont le souverain serait le peuple, mais une théocratie où neuf juges-prêtres règnent sur la France au nom de la religion des droits de l'homme.

Entre ici, Robert Badinter, t'accueillera tout à l'heure Emmanuel Macron.
Logique filiation. Celui-ci est le petit-fils de celui-là.
Macron est le produit de Badinter : c'est le même humanisme abâtardi en humanitarisme, et le même universalisme abâtardi en mondialisme, qui tuent la France.

Triste jour... : Robert Badinter va entrer au Panthéon aujourd'hui. Et la céromonie va être retransmise à la télévision... - Voir [ici] (

Dans une démocratie, c'est le demos kratos, le pouvoir du peuple, c'est le peuple, et le peuple seul (et pas un uluberlu intellectuel), qui décide s'il veut tuer ou pas un criminel !

Robert Badinter est l'exemple même de l'intellectuel ténébreux, dissimulé derrière des airs polissés, qui enfume les esprits par une rhétorique sournoise et léchée, arrivant à faire passer des criminels pour des gens à respecter, des gens ayant une dignité. Mais la dignité n'est pas un capital infini. On peut la perdre, l'épuiser. La preuve : il existe les mots "indigne" et "indignité".

Sur le fronton du Panthéon est gravé : "Aux grands hommes la patrie reconnaissante"...
En quoi notre patrie devrait-elle être reconnaissante à Robert Badinter ? Pour avoir laissé vivre des criminels et laisser mourir des milliers d'innocents tués par les premiers ?

Même Dieu châtie les criminels en les tuant. La hiérarchie divine tue des milliers de gens chaque jour, mais môssieur Badinter, en bon pédant vaniteux qu'il est, croit mieux savoir que Dieu et sa hiérarchie ce qu'il convient de faire...

D'ailleurs son nom que Dieu lui a affublé dit tout : Robert, c'est un guignol, un badin, il n'est pas sérieux.

Quel que soit le bout par lequel on aborde la question de la peine de mort, Robert Badinter a tout faux.

Complément : La tombe de Robert Badinter profanée et taguée au cimetière de Bagneux le jour de son entrée au Panthéon - Voir [ici] (

Bravo aux patriotes lucides et courageux ayant fait ce coup de poing hautement symbolique !

Et que des meurtriers et des assassins vivent, et soient entretenus par la société !!! En quoi c'est humaniste Ducon ?!!!

On vit vraiment dans une période satanique, de mensonge intégral, et d'inversion de toutes les valeurs, et de toutes les vérités.

Ces gens sont prêts à toutes les bassesses, à tous les renoncements, pour être élus.

SYNOPSIS :

Hervé Lehman, avocat et ancien juge d'instruction, est l'invité d'Anne-Emmanuelle Isaac dans Points de Vue.

Il n'y a plus de Justice, mais une double peine pour les victimes et la société !!!

SYNOPSIS :

Sur LigneDroiteMatinale notre porte-parole a pu dénoncer les méfaits de cet idole de la gauche, à qui on fait l'honneur d'une entrée au Panthéon.

Pardon de casser ce bel unanimisme, mais faire entrer Robert Badinter au Panthéon c'est aussi sanctifier une vision de la justice qui a désarmé la société face aux criminels. Il a été le grand avocat des "peines alternatives à la prison" et a promu le laxisme judiciaire. Il est aussi celui qui a transformé le Conseil constitutionnel en un outil de contrôle politique qui permet depuis des décennies d'encadrer l'action des gouvernements de droite.

Je sais que la droite se sent toujours obligée d'applaudir les hommes de gauche, mais au nom de toutes les victimes du laxisme d'État, permettez-moi de m'abstenir.

Islamisation de la France : « Ils veulent détruire la France » : la montée de l'antisémitisme et de l'islamisme. - Par Erik Tegnér :

SYNOPSIS :

Erik Tegnér était de retour sur CNews dans 100 % Politique, l'émission de Gauthier Le Bret, pour décrypter la montée de l'antisémitisme et de l'islamisme en France.

Dans cette émission, il alerte sur un laxisme d'État devenu insupportable : Elias Dimsalen, fiché S, a pu appeler à l'intifada à Paris sans véritable sanction, pendant que des banderoles antisémites envahissent la place de la République. Résultat : une haine anti-juive banalisée, qui prospère dans nos rues sous les yeux des autorités.

Pendant que des criminels violents échappent aux peines de prison et que les OQTF ne sont pas exécutées, la République laisse s'installer un climat de menaces, de guillotines en manifestation et de slogans appelant à la haine. Un symptôme d'une justice à deux vitesses et d'un État incapable de protéger les Français.

📺 Erik est à l'antenne du lundi au jeudi de 21h à minuit sur CNews dans 100 % Politique, et de 11h30 à 13h sur Europe 1 dans Christine Kelly et vous.

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	Dans une démocratie, la justice ne peut plus exercer le pouvoir de tuer.
Robert Badinter, 17 septembre 1981.

	Éternelle est leur reconnaissance, les assassins, les pédos, les violeurs, la République le sanctifient.
Tags sur la tombe de l'infâme Robert Badinder.