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Les jeunes hommes proches de la droite radicale sont les plus satisfaits de leur vie, selon l'Institut Montaigne – précarité et détresse psychologique dominent chez ceux attirés par la gauche radicale - Voir [ici] (

Gérald Darmanin annonce que l'État va rapatrier des djihadistes français détenus en Irak. Parmi eux, la terroriste Djamila Boutoutaou “gravement malade” qui devrait donc être soignée en France - Voir [ici] (

Mais laissez les crever sur place, bordel ! Ces gens sont des terroristes, ils tuent des gens, ce sont des barbares...

Gérald Darmanin est décidément vraiment un nuisible ! Il s'inquiète du sort des terroristes malades mais laisse crever les Français honnêtes sous les coups de couteaux de nos chances pour la France et de migrants racailles : toujours aucune loi anti-couteaux.

Islamisation de la France et traîtres gauchistes : «L'islamo-gauchisme est un symptôme d'une maladie qui gangrène l'université et se développe à bas bruit», alerte ce maître de conférence - Voir [ici] (

"TRUMP, LE PEN, RUSSIE : ALAIN SORAL ANALYSE LA GRANDE ACCÉLÉRATION MONDIALE | GPTV" - Par Géopolitique Profonde :

SYNOPSIS :

L'Europe traverse une crise existentielle majeure, coincée entre une Union européenne autoritaire et un empire américain prêt à tout pour maintenir son hégémonie. Derrière la façade des « valeurs démocratiques », c'est une guerre de survie qui se joue : Washington impose son tempo, Bruxelles exécute, et les peuples paient l'addition. Guerre en Ukraine, sanctions suicidaires, endettement massif, répression des oppositions : chaque élément participe à une stratégie globale de vassalisation.

Trump a tracé la voie d'un néo-protectionnisme. L'objectif : déstabiliser l'économie des oligarchies occidentales, notamment européennes, pour prolonger la domination du dollar. L'OTAN redevient l'instrument militaire de cette guerre invisible, pendant que l'UE criminalise toute contestation interne pour éviter son éclatement.

Mais le réveil gronde. En Allemagne, en France, en Italie, les peuples refusent de mourir pour les délires impériaux de Kiev ou les diktats de Bruxelles. La résistance s'organise face à une Union européenne qui choisit la guerre pour éviter la désintégration. Ce choc, déjà engagé, ne peut que s'intensifier.

Et si la vraie guerre ne se jouait pas là où on croit ?
Alain Soral expose son point de vue en direct sur Géopolitique Profonde.

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LES CHAPITRES DE LA VIDÉO :

00:00:00 Introduction
00:02:00 Édition de Lénine : Le Gauchisme, maladie infantile du communisme
00:16:58 La condamnation de Marine Le Pen
00:35:52 Les scénarios possibles pour Marine
00:53:49 Jordan Bardella, l'avenir du RN ?
01:05:33 Bruno Retailleau le nouveau Sarkozy ?
01:13:37 Questions : Front de la foi, islamisme, musulmans français, quel avenir politique ?
01:41:45 Edouard Philippe, nouveau Macron ?
01:45:08 L'Europe de la guerre
01:53:51 Trump, Poutine, Israël, hystérie du monothéisme abrahamique
02:08:27 L'Amérique de Trump, civilisation d'équilibre ? Espoir pour l'Europe ?
02:22:40 Paris, capitale où loge le Diable - Guerre impossible, réalité économique
02:44:49 Leçon politique de Lénine, la question Loubavitch, Soral créationniste par le Loup ?
03:08:24 L'importance de la résistance économique, l'organisation, le sacrifice
03:24:34 L'affaire Matzneff, l'arbre qui cache la forêt
03:47:10 Un Trump français impossible en France ?
04:00:28 On annonce la fin (on s'est trompé)
04:00:48 L'avenir de Macron
04:12:06 Retour de l'identité Français ? Parenthèse Foot-Rugby
04:17:22 Pourquoi un manque d'espoir pour la France ?
04:52:00 Ouvrages de références pour la nouvelle génération
05:10:40 Les confessions d'Alain Soral : Paternité, Vieillesse, Regrets, Espoirs, "Mémoires d'un âne"
05:46:08 Conclusion

"Intelligence artificielle : quand les centres de données grugent nos ressources" :

SYNOPSIS :

Plus l'industrie des services infonuagiques et de l'intelligence artificielle se développe, plus elle consomme de l'énergie, ce qui met les fournisseurs américains sous une énorme pression. L'existence de ces gigantesques bâtiments pourrait-elle mener à une crise énergétique? Découverte s'est rendu en Virginie pour y voir plus clair.

Exemple 1 : l'eau. Celle-ci n'est pas polluée et retourne à la Nature. Ce n'est pas comme les industriels fabricants de sodas qui eux la consomment vraiment.

Enfin le témoignage gnangnan de la woke qui chouine sur des prairies où une bataille a eu lieu est pathétique. Les gauchistes sont décidément hors-sol, mus par des émotions négatives surjouées de sentimentalisme mal placé. Ce sont des malades émotionnels et mentaux.

Il faut s'y faire : au Royaume-Uni de 2025, on ne va plus en prison pour avoir tué quelqu'un, on y va pour avoir eu une opinion. Ou plutôt, pour avoir eu la mauvaise opinion, au mauvais moment, et appartenir à la mauvaise catégorie sociale (minorités blanches).
Lucy Connolly, mère de famille, mariée à un élu local malade et affaiblie par la perte d'un enfant, croupit derrière les barreaux depuis bientôt 8 mois. Son crime ? Un tweet. Supprimé au bout de 4 heures. 31 mois de prison ferme pour « incitation à la haine raciale ».
Lucy a écrit, sous le coup de l'émotion après un triple assassinat d'enfants à Southport, qu'elle en avait « assez », qu'elle était « écœurée » et qu'on devrait « brûler les hôtels de migrants ». Propos excessifs ? Bien sûr. Punissables ? Peut-être. Mais 31 mois ? Pendant que des chauffards responsables de morts sortent avec un bracelet au pied ?
Ce n'est pas une affaire judiciaire. C'est une affaire idéologique. Une démonstration de force. On envoie un message : si vous exprimez votre colère hors du cadre défini par les élites moralisatrices, vous serez détruit.
Lucy Connolly n'a pas été privée de sa liberté pour protéger la société. Elle a été sacrifiée pour calmer Twitter, les ONG et les journalistes de salon qui n'ont jamais mis les pieds dans une cellule. Son droit à une libération temporaire, pourtant prévu pour permettre à des détenus de renouer avec leurs proches, est bloqué non pas pour des raisons de sécurité – elle n'est ni terroriste, ni pédophile, ni meurtrière – mais parce qu'elle est "trop connue". Trop visible. Trop gênante.
Son mari, gravement malade, s'effondre. Sa fille, 12 ans, s'écroule à l'école. Et l'administration pénitentiaire traîne les pieds, effrayée à l'idée qu'un tabloïd parle d'elle si elle passe un week-end à la maison.
Pendant ce temps, des délinquants dangereux sortent plus tôt pour désengorger les prisons, grâce aux lois d'urgence. Mais Lucy, elle, reste enfermée, car ce n'est pas sa dangerosité qui dérange : c'est son profil.
Blanche. Mère de famille. Patriote. Indignée.
La justice britannique a créé une catégorie invisible de citoyens : ceux pour qui la loi ne s'applique plus de manière égale. Une justice à deux vitesses, où la gravité de la peine dépend moins de ce que vous avez fait que de qui vous êtes et de ce que vous pensez.
Et c'est exactement pour ça que des gens comme Lucy craquent. Pas parce qu'ils sont "haineux", mais parce qu'ils voient que plus rien n'a de sens. Que l'État ne les protège plus. Qu'il préfère condamner un tweet que les tueurs d'enfants. Et qu'il préfère que leur famille souffre en silence plutôt que de reconnaître une erreur judiciaire.
Le 15 mai, elle fait appel. Mais ce procès ne sera pas le sien. Ce sera celui de la justice britannique elle-même.