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Greffes : Le cochon, futur fournisseur d’organes pour l’homme ?
News # 1270 insérée le 30 juin 2014 dans la catégorie Santé
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MEDECINE - La
recherche avance sur le sujet alors que la pénurie de greffons est toujours
importante…
Qu’elles soient nationales, européennes ou
mondiales, les journées du don d’organe ne parviennent pas encore à endiguer la
pénurie de greffons dans les hôpitaux. Chaque année, les chirurgiens de la
transplantation regrettent le manque d’organes alors que plus de 17 000 malades
attendent actuellement une greffe. Dans 94% des cas, l’organe salvateur provient
d’un donneur en état de mort encéphalique au moment du prélèvement. Mais la
recherche planche sur d’autres pistes, portant sur notamment les "xénogreffes"
ou greffes interespèces. Interdites en France en tant que telles, elles
pourraient résoudre un jour le problème de la pénurie, même
"s’il y a des progrès scientifiques immenses à réaliser
avant de l’envisager", calme d’emblée le professeur Renard,
néphrologue au CHU de Montpellier. L’idée de greffer un organe animal sur
l’homme date pourtant de 1905, lorsqu’un médecin lyonnais avait tenté
d’implanter un rein de chèvre sur une femme. L’opération s’était conclue par un
rejet brutal, comme d’autres expériences, notamment avec des organes de singes. Des transplantations porcines
envisagées pour les diabétiques Désormais, c’est avec le
cochon que l’espoir d’une transmission d’organes est le plus grand.
Il y a quelques années, les scientifiques avaient créé des porcs "OGM", dont un
gène impliqué dans le rejet a été modifié. Des gènes humains leur ont aussi été
ajoutés. Mais l’expérimentation des greffes sur des singes s’est traduite par un
échec puisque l’espérance de vie des animaux transplantés est restée très
faible. Cela n’empêche pas certains pays comme les
États-Unis, Israël ou la Suisse de poursuivre leurs phases d’expérimentations. Récemment, deux professeurs de l’hôpital de
Genève ont promis que des transplantations de porcs sur
des patients diabétiques de type 1 seraient possibles avant 2017. Il
ne s’agit pas de greffer un rein porcin en tant que tel à un humain mais des
amas de ces cellules pancréatiques, appelés îlots de Langerhans. Le pancréas du
cochon sécrétant une insuline quasi identique à celle de l’homme. Encapsulation et
transformation des cellules souches Pour Eric Renard, l’avenir proche de la recherche
passe par la pratique des "encapsulations".
Les cellules naturellement sécrétrices de substance sont enveloppées ou
"encapsulées" dans une membrane puis greffées chez des patients pour permettre
le relâchement de la substance en question. "Les
cellules greffées seraient placées à l’abri du système immunitaire et de
l’organisme humain", précise le diabétologue tout en restant prudent. Une autre piste porte sur ce que les spécialistes
appellent "la transdifférenciation" de
cellules-souches. Il s’agit de la transformation de cellules généralistes
fœtales en cellules spécifiques (cardiaque, rénale, ou pancréatique).
"Des cellules-souches animales dérivées en cellules
humaines, pourquoi pas, souffle le diabétologue. Comme la cellule est fœtale,
elle n’exprimerait pas les caractéristiques d’une cellule animale. Elle serait
tolérée par l’organisme humain. Mais, toute cette ingénierie tissulaire reste du
domaine de l’exploration." En matière de xénogreffes, la science n’a
pas encore franchi le stade de la recherche fondamentale. Un préalable
indispensable avant d’envisager l’étape clinique et une éventuelle modification
de la loi. Source : 20 Minutes.fr du 30 juin 2014 (http://www.20minutes.fr/article/1412807/ynews1412807?xtor=RSS-176)
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