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Lundi 10 Novembre 2025 - News # 99713Une soirée au restaurant avec Thomas Legrand et ses amis, qui rêvent à haute voix d'interdire CNews et d'«arrêter» Vincent Bolloré - Voir [ici] (
).
Ces gens sont des malfaisants, des antidémocrates totalitaires.
Réuni dans un cirque avec une statue de clown pour les accueillir... Tout un symbole...
En complément sur Thomas Legrand :
Samedi 8 Novembre 2025 - News # 99688MATHIEU BOCK-CÔTÉ : « L'instrumentalisation de la menace russe m'inquiète » - Par Omerta :
SYNOPSIS :
Sociologue québécois, éditorialiste pour CNEWS. Mathieu Bock-Côté, a publié aux Presse de la Cité « La révolution socialiste et autres virus idéologiques », « Le totalitarisme sans le goulag ». Il revient avec un nouvel ouvrage « Les deux occidents ». RencontreNon évalué.
En complément sur Omerta :
En complément sur Mathieu Bock-Côté :
Mardi 4 Novembre 2025 - News # 99581
Journée spéciale, organisée par Polémia sur le thème "Alarmisme climatique : nouvel avatar de la pensée totalitaire ?" Voir [ici] (
).
Le samedi 15 novembre, vous aurez l'occasion de voir des intervenants de haut vol évoquer le sujet épineux de l'alarmisme climatique. Est-ce une nouvelle façon de nous priver de nos libertés ? Le réchauffement, danger réel ou dogme à abattre ? Attention, places limitées !
Nous avons souhaité croiser les approches scientifiques, philosophiques et journalistiques, tout en donnant la parole à différentes générations. Les interventions de Raphaël Ayma et de Lucas Chancerelle offriront sans doute un regard distinct de celui de Michel Geoffroy ou de Jean-Yves Le Gallou, car l'alarmisme climatique ne se vit pas de la même manière selon qu'on y a été formé à l'école ou qu'on l'a vu naître dans les médias. C'est aussi cela, la liberté de débat : confronter les certitudes à l'expérience.
Confronter les idées, alerter, protéger nos libertés, voilà le programme. Venez nombreux au Forum de la Dissidence le 15 novembre à Paris !
Programme de la journéeIntroduction : de l'écologie au catastrophisme climatique
Jean-Yves Le Gallou, Polémia
Première partie : l'évolution du climat, fausses certitudes et vraies incertitudes
Peut-il y avoir vérité scientifique sans libre débat ?
Olivier Battistini, philosophe, maitre de conférences en histoire grecque, auteur de Platon
Que sait-on vraiment du climat et de ses changements : recension des points de vue alternatifs ?
Johan Hardoy, Polémia
L'alarmisme médiatique : lavage de cerveau et propagande permanente
Adélaïde Motte, journaliste
La jeunesse : entre endoctrinement climatique et souci du patrimoine naturel
Raphal Ayma, auditeur de l'Institut Iliade, porte-parole de Tenesoun
Seconde partie : de quoi l'alarmisme climatique est-il le nom ?
L'alarmisme au service de la révolution Arc-en-ciel
Martin Peltier, essayiste, auteur du Vrai nom du grand bordel : Arc-en-ciel. Au bout de la Révolution, un empire et sa religion
Le catastrophisme climatique, idéologie de la régression occidentale
Michel Geoffroy, Polémia
L'écologie contre l'environnement
Bertrand Alliot, ingénieur en gestion de l'environnement, auteur de L'incroyable écologie, analyse d'un écolo-traitre
L'alarmisme climatique : un business prospère
Fabien Bouglé, lanceur d'alerte, auteur de Guerre de l'énergie, directeur de Transitions et énergies
Conclusion : n'ayons pas peur !
Lucas Chancerelle, PolémiaOrganisé par Jean-Yves Le Gallou de Polémia : ça sera sans doute passionnant !
En complément sur Polémia :
En complément sur climat :
En complément sur Jean-Yves Le Gallou :
Mardi 28 Octobre 2025 - News # 99414Rififi à gauche : après un simple tweet critiquant la chasse à l'homme visant Pierre Gentillet, le compte Actuel Moyen Âge accusé de « collaborer », qualifié d'« ennemi » et menacé de mort par l'extrême-gauche ... - Voir [ici] (
).
Les gauchistes dans leurs oeuvres de totalitaires abjects et de fascistes pour certains.
Et ils osent se dire antifas...
On reconnaît un arbre à ses fruits.
Dimanche 26 Octobre 2025 - News # 99326"Procès Lola : le comportement lamentable des médias de gauche - Ivan Rioufol, journaliste et écrivain" :
Les gaucho-progressistes ne supportent pas les faits qui démontrent qu'ils ont tort, que leur idéologie est fausse et mensongère. Et donc, à fortiori si on en parle, et qu'on les analyses et les expliquent.
Alors, pour résoudre la "douleur" psychologique de cette dissonance cognitive, ils font tout pour nier les faits, et quand c'est trop gros, pour attaquer ceux qui mentionnent et expliquent ces faits, en les diabolisant : accusations de récupération, d'être d'extrême droite, de pétainisme, de nazi, etc.
Ceci démontre, et le reste de leurs actes (comme le totalitarisme, le déni de démocratie, le harcèlement des opposants, etc.), que les gaucho-progressistes ont des personnalités en voie de satanisation. Les pires sont les gauchistes, qui sont les tentacules politiques du Mal, mais les "progressistes" sont leurs gants de velours : c'est enveloppé, moins direct, plus sournois, mais tout autant malfaisant. Regardez leur comportement au sein de l'odieux visuel de sévices public, que ce soit la télévision ou la radios (France-Inter notamment).
En complément sur Lola :
En complément sur Ivan Rioufol :
Dimanche 26 Octobre 2025 - News # 99319"Star Academy : une candidate menacée d'exclusion pour des posts pro-RN" - Par Boulevard Voltaire - Voir [ici] (
).
Inique !
Elle a le droit d'avoir des opinions politiques !
"Il faut l'exclure de l'émission !", a exigé le chroniqueur Gilles Verdez : moi je dis que que c'est toi Gilles Verdez qu'on doit exclure de la télévision, inique totalitaire !
En complément sur Boulevard Voltaire :
En complément sur Gilles Verdez :
Samedi 25 Octobre 2025 - News # 99314Les gauchistes totalitaires et fascistes dans leurs oeuvres... :
Depuis avant-hier, jeudi, je fais face à une violente campagne de menaces et de harcèlements destinée à obtenir mon renvoi de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, où j'enseigne depuis bientôt neuf ans.
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) October 25, 2025
Chargé de travaux dirigés, puis conférencier en amphi, j'y ai donné, au... pic.twitter.com/MNaBJAcCN9Depuis avant-hier, jeudi, je fais face à une violente campagne de menaces et de harcèlements destinée à obtenir mon renvoi de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, où j'enseigne depuis bientôt neuf ans.
Chargé de travaux dirigés, puis conférencier en amphi, j'y ai donné, au fil des années, des cours de philosophie du droit, de droit civil, de droit constitutionnel, de droit des sociétés...
Tout a commencé mercredi soir, lorsqu'un article m'a été consacré sur le site d'extrême-gauche Révolution Permanente. Dès le lendemain, plusieurs syndicats étudiants d'extrême-gauche (le Poing Levé et le SAP1) réclamaient ma mise à l'écart. Par deux fois, ils ont même diffusé sur la messagerie interne de la faculté un courriel adressé à des milliers d'étudiants (voir plus loin) pour réclamer mon renvoi.
Le motif de cette chasse tient en peu de mots, affichés sur les montages qui circulent : "Un militant d'extrême-droite enseigne à Paris I."
On me reproche d'avoir été candidat aux législatives de 2024 sous l'étiquette du Rassemblement National, d'avoir cofondé, il y a dix ans, la Cocarde Étudiante, et d'être par conséquent, à les entendre, un dangereux fasciste. L'accusation ferait sourire, si elle ne trahissait pas tant d'ignorance : quiconque a lu mes travaux et écouté mes longs entretiens (et non les passages tronqués) sait la distance qui me sépare de ces caricatures. Mais c'est bien mon opinion, ou ce qu'on suppose être la mienne, qui sert aujourd'hui de prétexte à une chasse coordonnée. Cette campagne vise un but clair au vu de l'acharnement et des commentaires : me mettre une cible dans le dos dans mon quotidien d'enseignant.
Depuis, je vois passer des centaines de messages d'injures, de menaces, parfois de la part d'étudiants de Paris I. Et je redoute, un peu, le retour dans ces couloirs où j'ai tant aimé enseigner.
A cette heure, l'Université n'a pas réagi et du peu de contact que j'ai eu, on se contente simplement de déplorer la situation. J'ai presque le sentiment désagréable d'être le problème. Je n'en attendais guère autre chose, et ne leur en veux pas. L'Université m'a déjà montré, l'an passé, de quoi elle est capable lorsqu'elle a peur. Je ne me fais pas d'illusion sur ma situation, contractuelle : l'an prochain, on m'écartera doucement, avec des mots polis et de prétextes, comme on éteint une lampe qu'on juge inutile.
L'an dernier déjà, après mon engagement politique, on m'avait retiré tous mes enseignements. Parfois sans raison, parfois en m'avouant tout bas la vraie cause. Pour continuer à exercer, il m'a fallu, dérisoire subterfuge, enseigner sous le nom de ma mère. Ainsi, j'ai pu poursuivre ce qui, pour moi, n'a jamais été un simple gagne-pain, mais une vocation. Je ne me suis jamais plains de cet épisode. Je n'en voyais pas l'utilité.
Enseigner à la faculté n'est pas une affaire d'argent, et tous les collègues le savent bien. Mais il m'offrait, à moi qui travaille seul au quotidien, ce lien si précieux avec le monde universitaire et avec cette maison que j'aimais, jadis, comme étudiant.
Pendant neuf ans, j'ai enseigné à Paris I. J'y ai connu des centaines d'étudiants, de visages, de voix. Jamais je n'ai mêlé mes convictions à mes cours ; j'ai toujours respecté la diversité des opinions et encouragé la réflexion libre. J'ai donné sans compter, souvent hors de mes heures, parce que j'y trouvais un sens supérieur à mon métier d'avocat, tout simplement.
C'était un supplément d'âme en même temps que mon quotidien car je suis tous les jours en Sorbonne. Une manière de garder et de tisser le lien avec des générations d'étudiants. Ce qui me blesse aujourd'hui, plus que tout le reste, c'est d'avoir été dénoncé par l'un d'eux, à l'origine de toute cette cabale.
Je suis assez lucide et préparé : je sais contre quoi je me dresse. Ces groupuscules viendront peut-être troubler mes cours, m'invectiver, me guetter dans les couloirs. Qu'ils le fassent : j'y suis préparé. Je crains aussi de ne bénéficier d'aucune protection physique ou juridique de l'Université. J'en ai fait la demande pour le principe. Au mieux ils me diront que "pour ma sécurité" je ne dois plus enseigner jusqu'à fin décembre. Nous verrons bien. Et de toute façon je n'ai plus ni l'énergie ni les moyens d'ouvrir de nouveaux fronts par mes propres moyens : j'ai déjà deux plaintes en diffamation qui suivent leur cours. Depuis un an je fais face seul, mais lucide, à toutes les suites de l'engagement politique.
J'avais cru, naïvement, que je pourrais enseigner jusqu'à mes vieux jours, que transmettre était un droit aussi naturel que respirer. Peut-être avais-je tort.
L'enseignement à la Sorbonne fut, je le crois, le sens discret mais essentiel des dix dernières années. Je n'avais aucune illusion sur ma carrière, au regard de mes engagements politiques. Les événements d'hier et d'aujourd'hui prouvent assez qu'elle eût été brève si j'avais voulu m'y consacrer pleinement comme doctorant puis éventuellement maitre de conférences.
Mais enseigner, transmettre, demeurait pour moi un acte de foi, une manière de tenir encore à ce que j'aime de ce pays : son intelligence.
A cette heure, j'ignore encore si je dirais bientôt adieu à neuf années d'Université : neuf années de dévouement, de sens et de liens tissés avec tant d'étudiants que j'ai tant aimés instruire.
Si ce semestre doit être le dernier, je veux leur dire, si par hasard ils lisaient ce message, que leur curiosité, leur sérieux, leur intelligence et parfois leur bienveillance ont donné à ma vocation sa plus belle justification.L'extrême gauche est une saloperie que je ne cesse de dénoncer, et qui ne cesse de détruire la société.
Concernant les écoles et universités, j'ai vu juste depuis des années : il faut y interdire l'activisme et la politique, exclure tous les contrevenants, et criminaliser toutes personnes de l'extérieur qui viole ce principe.
Tout mon soutien Pierre !
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